“Les mauvaises manières de l'Orient”

Hommage de Georg Kausch au Docteur Ryke Geerd Hamer
en l'honneur de son quatr-vingtième anniversaire, le 17 maj 2015

Georg Kausch

Mein Studentenmädchen” (Mon amour d'étudiante) - La mélodie ancestrale magique, p. 705

Trente-quatre ans de vie créative et comme ces trente-quatre années ont été un combat sans précédent pour la reconnaissance des découvertes scientifiques du Dr Hamer, il y a quelque chose qui ne fonctionne pas dans l’organisation de notre société.

En 1983 le scandale du congrès des praticiens de santé, par l’exclusion du Dr Hamer, deux minutes avant le début du débat public, n’aurait sans doute pu avoir lieu, si nous avions disposé alors, d’une ligue renforcée et déterminée pouvant faire le poids contre les intrigues de loges.
Il s’est révélé au cours des années passées, que les ennemis du Dr Hamer n’avaient le courage de l’agresser et le persécuter que parce qu’ils le savaient seul et isolé. Il faut être conscient que la résistance contre de tels ennemis est victorieuse, non du fait de l’endurance passive, mais de par le respect qu’elle inspire... Les intrigues honteuses de 1983, à Mayence, pour empêcher la première présentation officielle de la Germanische Heilkunde® (appelée à cette époque Médecine Nouvelle) ne sont pas oubliées.

Comme pour tout événement historique significatif, ce n’est qu’avec le recul des années que l’on découvre la motivation des personnes, leurs agissements, et la toile de fond, lesquels au final, nous rendent visibles les trente-quatre années de querelles incessantes contre le Dr Hamer. Une querelle dont le public ne sait presque rien, parce que menée dans le secret depuis le début.

Le Dr Hamer en appelle à sa propre mémoire pour témoigner, de la manière et de l’endroit où elle a commencé :

Parmi ces considérations et ces découvertes à propos de personnes et de la toile de fond qui ont révélé la querelle contre moi, figure l’étouffement scandaleux et infâme de la découverte par le Grand Rabbin des Lubowitch, Menachem Schneerson, le soi-disant Messie des Juifs, en raison d’un délire religieux.

Le 4 octobre 1981, j’ai présenté à la télévision bavaroise et sur la chaîne italienne (RAI Bozen), la GermanischeHeilkunde®.

Le monde médical a été stupéfié.

Le 2 novembre 1981, j’ai soumis ma thèse de doctorat à la faculté de médecine de Tübingen.

Le Professeur Voigt, doyen et neuroradiologue, m’a serré la main, tout en me donnant sa parole d’honneur, que mon travail serait correctement vérifié selon les règles de la reproductibilité sur n’importe quel cas. D’autant plus, qu’il s’agissait à l’évidence d’un tout nouveau point de vue médical.

C’est seulement des années plus tard que le représentant juridique de l’université, Monsieur Jürgen Schwarzkopf, me rapporta qu’il pouvait me certifier que les résultats du travail étaient assurément justes, car immédiatement après la remise du document, cinq professeurs avaient vérifié en secret une centaine de cas.

Manifestement aucun cas ne s’était révélé erroné. Sinon, les professeurs m’auraient convoqué sur le champ pour m’en parler. Comme il n’en fut rien, cela signifiait que tous les cas étaient justes. Ce qu’il m’a confirmé.

Tout semblait déjà très clair après le dixième ou le vingtième cas.

Le constat était stupéfiant pour la médecine.

Les cinq professeurs du jury étant de religion juive, ils ont gardé, dans un premier temps, le résultat de la vérification “pour eux”.

À ce stade, les cinq professeurs assurés de la justesse de la Germanische Heilkunde®, avaient encore la liberté de tenir secret, le résultat, ou de le dévoiler. Mais, vu l’impact mondial que pouvait générer cette affaire, il semblerait que le Sanhédrin (Synhedrium), conseiller suprême des Juifs, et Menachem Schneerson, Rabbin suprême des Juifs lubabitchs, dit le Messie, soient intervenus.

C’est ainsi que plus tard, Ben Dennoun-Danow Josué, le grand rabbin de France à Paris, m’a rapporté que l’on avait contraint les cinq professeurs de Tübingen à ne pas révéler le véritable résultat. Ces nouvelles connaissances seraient réservées uniquement aux Juifs qui pourraient ainsi survivre à 95 % ou plus. Les non Juifs devraient continuer à mourir avec la chimio et la morphine. Ensuite, selon le Rabbin Dennoun, Schneerson aurait écrit à tous les rabbins du monde et inscrit dans le Talmud en novembre 1981, un commentaire correspondant.
Depuis, cette consigne est obligatoire pour tous les rabbins et les oncologues juifs (presque tous les oncologues sont de religion juive).

Le Rabbin Dennoun m’a dit qu’il n’était pas favorable au fait que les non Juifs atteints de cancer continuent d’être assassinés par chimio et morphine, mais que Schneerson était son supérieur et qu’il devait obéir.

Fin décembre 1981, lorsque je me suis rendu auprès de mon ancien professeur Bock, Juif et retraité, l’un des cinq professeurs du collège de vérification, dans son cabinet du Schnarrenberg, notre ancienne clinique universitaire de Tübingen, je me suis trouvé devant un professeur Bock totalement méconnaissable

- Bonjour, Professeur Bock.

- Bonjour, Monsieur Hamer.

- Que vous arrive-t-il ? Lui ai-je demandé.

- Non, rien de particulier.

- Mais vous avez totalement changé, vous n’êtes plus tel que je vous ai connu autrefois. Que s’est-il passé ?

- Rien, pourquoi ?

- Je viens demander votre soutien à une vérification de cas de patients cancéreux en vue d’une habilitation.

- Non, je ne suis pas intéressé.

- Comment, Monsieur le Professeur, vous étiez toujours le premier à nous dire que nous devions découvrir ce qui rendrait la médecine reproductible, c’est-à-dire scientifique. Et voici votre dernier assistant qui vient de le découvrir et maintenant, vous n’êtes plus intéressé ?

- Bock : (cela lui a certainement échappé par inadvertance) - Ou cela ne peut être juste ou vous n’aviez pas le droitde le découvrir.

- Mais je l’ai découvert, moi, votre “dernier assistant”, sans l’aide de l’Université et c’est juste du point de vue scientifique, c’est-à-dire reproductible dans n’importe quel cas.

Vous savez que je suis non seulement interniste, mais également théologien et scientifique.

M. le Professeur, il y a quelque chose qui ne va pas ici, quelque chose de faux.

Vous ne pouvez pas me faire passer pour un idiot. Si vous ne voulez pas me dire ce qui se passe, et bien, je le découvrirai, mais quelque chose n’est pas clair ici.

(Par la suite, j’ai appris par le tribunal administratif que Bock avait été le directeur de la commission des professeurs juifs lesquels avaient trouvé par la reproduction de quelques cas que la Germanische Heilkunde®.était absolument juste. Et maintenant, le Juif Bock niait l’évidence à cause d’un délire religieux).

Monsieur le Professeur, je ne vous souhaite que du bien, mais vous me décevez. Et votre attitude me dévoile que vous savez très bien que votre dernier assistant a raison. Espérons que vous n’ayez pas à le regretter amèrement un jour.

Pour son centième anniversaire, je lui ai écrit que des millions de patients non Juifs, le jugeaient minable, pire même. Peu de temps après il est décédé.


Le monde devra retenir la date du 4 octobre 1981, comme d’un grand événement historique. Il évoque le point de départ d’un bouleversement d’une portée incroyable, comparable à la publication du 31 octobre 1517,des 95 thèses de Martin Luthers qui déclenchèrent le mouvement de Réforme.

Le 4 octobre 1981 est la date de naissance de la Germanische Heilkunde®. C’est ce jour-là que le Dr Hamer a rendu publique sa découverte de la Loi d’Airain du cancer®.

Il ne pressentait pas alors, à quelle clique religieuse corrompue et déchue spirituellement, il lui faudrait faire face. Il avait été trop bien éduqué, pour s’attendre à une telle malhonnêteté de ses collègues.

Un scientifique, une personne normale somme toute, ne conçoit pas qu’une poignée de main avec promesse d’une vérification concrète et objective, se révèle être une tromperie sans scrupule.

Mais les professeurs de médecine faisant autorité, tous juifs, ainsi qu’il s’est avéré par la suite, n’ont eu aucun frein moral à reprendre leur parole, mentir et agir avec perfidie.

Ils ont examiné les travaux du Dr Hamer et réalisé qu’ils se trouvaient devant la découverte du XX ͤ   siècle (qu’ils auraient aimé découvrir eux-mêmes). Un témoignage atteste que suite aux premières preuves – accablantes pour des spécialistes – ils n’ont pas arrêté la vérification de la “Loi d’Airain du cancer®” pour autant, mais ont dû considérer comme justes, les découvertes de leur collègue Hamer. Une perplexité déprimante a dû s’emparer d’eux, mais apparemment, la première décision de déstabiliser le jeune collègue interniste sur l’ordre de Schneerson, le chef et “Messie” des rabbins, les a semble-t-il rassurés. Ils ont cherché à l’atteindre durement au plus profond de lui. Peut-être ainsi se résignerait-il ? Cette supposition était certainement naïve, mais vraisemblable, vu la sagacité tactique à déployer dans une telle situation, toujours est-il que cela n’a pas empêché le Dr Hamer de poursuivre quelque temps le perfectionnement de

ses découvertes à la clinique universitaire de Kiel (Cas 40). Ils sous-estimaient lourdement l’homme qui allait un jour faire sortir de ses gonds, toute la médecine d’école. Leur tactique reflétait leur compréhension limitée : refuser, dissimuler, isoler, ostraciser.

Mais le doctorat d’état avait toujours cours. Son traitement fut reporté pendant six mois par les professeurs juifs et la faculté. Leur refus de conclure se conformait à la décision du “Messie” Schneerson. Pour les non-initiés c’était une farce, façon Molière. Lors de la séance organisée par la faculté, personne n’avait pu consulter

les documents – c’était trop risqué pour les initiés. Les personnalités élitistes présentes ont été assez stupides pour mettre en place en toute impertinence, un vote qui se clôtura par 150 contre 0 pour le rejet !

Je pense que cela ne se serait jamais bien passé à Tübingen entre le Professeur Ryke Geerd Hamer et les petits esprits dotés de titres et de rang qui ne se sentaient forts que par leur appartenance à des ligues secrètes.

Je considère comme un heureux coup du destin d’avoir été préservé de cette charge douteuse.

Par la suite, toute leur abjection mentale apparut au grand jour au cours des procès que le Dr Hamer intenta contre l’université. Devant le tribunal, il y avait un doyen qui reconnaissait qu’on ne l’avait pas autorisé à vérifier la Loi d’Airain du cancer® et telle une bonne recrue, ne manifestait pas de honte à obéir sagement à cette interdiction, puis un autre qui se soumettait par manque de volonté aux prétendues décisions, se dégradant au rang de valet, un troisième pour qui une parole d’honneur non respectée ne nuisait en rien à son honneur, un quatrième qui mentait effrontément à la face du Dr Hamer, un cinquième que la haine contre l’inventeur poussait à le faire passer aux yeux du monde pour un menteur invétéré au sujet de l’objectivité scientifique. C’est une faculté qui manœuvre entre contradictions et faux fuyants afin d’évincer le marginal, elle ne respecte pas les décisions de justice… en vérité... rien ne manquait pour ce qui était de la perfidie décadente de la médecine d’école révélant son mépris public.

“L’exécution” fut communiquée “confidentiellement” à toutes les universités allemandes, avec la manière dont on avait traité le “rebelle”. Ceci explique l’extrême rapidité de la constitution d’un front uni contre le Dr Hamer.

Mais la clique médicale de Tübingen alla encore plus loin. Elle avança dans des publications, que la Germanische Heilkunde® s’était révélée fausse, bien qu’elle ne l’ait pas vérifiée officiellement, mais le pire est qu’elle l’ait vérifiée en secret et l’ait trouvée totalement juste. La conduite mensongère, calomnieuse et frauduleuse de cette université prestigieuse, est sans précédent dans l’histoire.

Elle a fait la honte des universitaires, car il est clair que sa manœuvre relevait de l’infraction pénale criminelle, mais elle s’en est tirée, car la république fédérale allemande, comme on le sait, n’est pas un état de droit.

Depuis lors, se déroule une guerre secrète permanente contre le Dr Hamer. C’est pour cela que les efforts du Dr Hamer pour traiter des patients cancéreux dans sa propre clinique, c’est-à-dire les guérir, ont été rapidement interdits. La conjuration des médecins dominants liés à leurs amis de même mentalité, dans la justice, la politique et les mass media, réussit à le faire exclure de toute entreprise, sans scrupule sur le choix des moyens.

Le scandale de Mayence nous aide à comprendre les motifs de cette querelle. Autrement, la tactique visant à cacher le Dr Hamer au public n’aurait pas de sens.

Ils auraient dû prendre position face à lui. À Mayence, en 1983, l’action très agressive des “Hiwis” subordonnés, visait à exclure, à tout prix, le Dr Hamer de la discussion. Le comportement des acteurs bien connus du public,

qui n’avaient rien contre le Dr Hamer, témoigne de l’énorme pression à laquelle ils avaient été soumis par leur loge, sur ordre de l’instance supérieure, le Sanhédrin (Synhedrium) évidemment.

Cela ne leur suffisait pas. Pour évincer le Dr Hamer à jamais, ils ont manigancé le retrait de son autorisation d’exercer, ce qui n’est pas facile, même avec leurs relations d’intrigants. Il leur était impossible de lui reprocher des fautes ou délits au sein de sa profession, n’ayant ni témoins, ni preuves.

Devant une telle “urgence”, des juges, outrepassant les droits de l’homme, de la liberté et de la justice ont, dans un langage similaire à celui des loges, trouvé un prétexte complètement fou : ils lui ont demandé textuellement, d’ABJURER ses découvertes, c’est-à-dire la Germanische Heilkunde®.                                               

Son refus de soumission à la mafia médicale a été sanctionné par le retrait de son habilitation d’exercer.

Il faut remonter à quatre cents ans, pour trouver un cas similaire dans l’histoire : l’Église contre Galilée !

Comme si l’oppression moyenâgeuse d’une vérité gênante pouvait les arrêter au XX ͤ    siècle ! Jugeant l’oppression non suffisante, ils l’ont jeté en prison en toute illégalité.

Était-ce une tactique intelligente vouée au succès ? Je suis tenté de dire que “c’était une grande stupidité !”.

S’ils avaient été intelligents - ayant sans aucun doute reconnu son génie - ils se seraient joints à lui, auraient proposé leur coopération et auraient été fiers d’élargir ses recherches.

En revanche, le Dr Hamer aurait difficilement pu se défendre contre leurs sabotages probables et les querelles internes suscitées “Seul contre tous”. Dans cette bataille, ils l’auraient littéralement écrasé et réduit à néant psychiquement et scientifiquement en s’attribuant son savoir.

Pour ce genre de tactique, les “décideurs” manquaient évidemment d’envergure d’esprit. Incapables de mener une confrontation ouverte, incapables d’empêcher l’avancement des recherches du Dr Hamer, incapables d’étouffer son œuvre connue du public, ils ont employé en dernier recours, l’ultime expédient de la corporation, le déclarer fou et le psychiatriser avec l’aide du pouvoir judiciaire. Pas seulement une fois - n’apprenant rien de leurs erreurs – mais à de nombreuses reprises soixante-seize au total) qui révèlent l’absolue nullité académique, dans la lutte contre une vérité nouvellement découverte. Comme certains de leurs JUGEMENTS portés à la postérité. Mais ils ignorent tout de l’histoire, même en ce qui concerne leur propre faculté : il y a cent soixante ans, ils avaient fait enfermer dans un asile pour malades mentaux le docteur Julius Robert Meyer qui avait découvert et prouvé la loi de l’énergie. La découverte de Meyer avait elle aussi des dessous dont on ne parle plus aujourd’hui ;à l’époque, des personnalités académiques en vue ne se gênèrent pas pour contester la découverte de Meyer, dans un premier temps, puis la voler, la falsifier, la copier ou nier sa priorité, car qui n’aurait pas aimé trouver lui-même la plus importante de toutes les lois naturelles ?

Toutes les intrigues, finement réfléchies et mises à l’œuvre avec la bassesse des “relations confraternelles”, ont échoué face à la personnalité transcendante du Dr Hamer. Il dit de lui-même :

“Grâce à mes nerfs d’acier, j’ai souvent réussi à tourner en ma faveur, à la dernière minute, des situations difficiles”.

Au travers de la vie du Dr Hamer, je suis toujours étonné de la manière dont des événements incompréhensibles enchaînent des destins humains afin que l’humanité en perdition retrouve le droit chemin. Johannes Scherr, le grand historien de la culture en savait déjà quelque chose. Ce qui nous a été donné de vivre avec le Dr Hamer est plus dramatique que chez n’importe quel autre contemporain.

Son fils Dirk n’a pas été assassiné par un quelconque quidam, non, la personne en question est l’une des sommités du judaïsme mondial, le successeur au trône du roi d’Italie en exil. Les conséquences ont été inimaginables et imprévisibles pour les deux adversaires. Le père de la victime est incorruptible, même face aux millions qui lui ont été proposés, pour que le meurtrier échappe à la justice.1

Le père du meurtrier et toute sa famille passent pour un clan de criminels aux yeux du public, le retour tant espéré en Italie et sur le trône est exclu pour toujours à cause du meurtre. Par vengeance, la famille milliardaire de Savoie, ruine toute la famille de la victime sur le plan financier et de la santé. Némésis, déesse grecque de la vengeance réprime aussitôt la malédiction de cette mauvaise action : le père, guidé par l’esprit de son fils assassiné, fait la plus grande découverte de l’histoire de l’humanité. Ce qui ramène la société secrète juive sur le devant de la scène, avec ses milliards de profits et sa jumelle aussi, une religion dévoyée qui enseigne le génocide humain comme étant un ouvrage “plaisant à Dieu”. Le génie répond avec une abondance de nouvelles découvertes, une toute nouvelle relation au monde, à la vieet à la nature, qui met tout le système dominant, hors de ses gonds.

Les alliances secrètes juives sentent le danger que représente cette manne pour leur système. Ils tentent de le faire taire et de stopper son œuvre créatrice. Vraiment par tous les moyens : exclusion de la corporation, tentatives d’assassinat, emprisonnement, menaces, interdiction judiciaire, coercition, chantage, ostracisme, soixante-seize ordonnances d’internement psychiatrique, et finalement encore l’extradition.

Et à son tour, le Dr Hamer réalise la contre-offensive : pas de façon consciente, mais comme s’il agissait sur les ordres de Némésis, la force du destin : il découvre le chant magique et en fait une arme terrible qui se retrouve dans les mains de millions de personnes.

Depuis il règne une sorte d’armistice dans le combat singulier auquel les Dieux semblent prendre part.

Nous, les petits humains, ne savons pas encore comment cela va se poursuivre, quand cessera la paix apparente des éternels ennemis de la vérité et du développement humain. Ce qui est certain, c’est que toutes les tentatives d’étouffement et les méthodes de combat ont été mises en échec par sa personnalité et échoueront dans l’avenir.
 

Cet homme est imbattable.

Face à lui, tous ses ennemis sont de pitoyables bouffons.
 

L’adversité flagrante et les intrigues des médecins, de la Mer Baltique aux Alpes, sont la preuve infaillible de l’incroyable entêtement, de l’arrogance dédaigneuse et de l’infériorité caractérielle qui semble prédominer (depuis toujours ?) dans cette faculté. On peut alors qualifier de singulière et d’admirable la reconnaissance totalement involontaire de “la justesse médicale de la Loi d’Airain du Cancer® découverte par le Dr Hamer, ordonnée par Schneerson”,le médecin et chef des rabbins, et son utilisation obligatoire pour les Juifs par les médecins juifs (Israël).

L’énorme crime moral de Schneerson est de l’interdire expressément aux non-Juifs. Une interdiction qui fit de tous les médecins cancérologues des escrocs, des assassins et des parjures. Ce ne fut pas une sage décision de la part de Schneerson. Je la trouve d’une étroitesse d’esprit sans pareil. Il aurait pu faire du judaïsme, le phare des peuples. Mais il a plutôt considéré uniquement les inévitables pertes de milliards de profits qu’il redoutait bien plus.

Car l’argent représente tout pour les Juifs. À sa mort, contre toute attente des Juifs croyants, le messie Schneerson, le plus grand auteur de génocide de l’histoire du monde, a laissé derrière lui une fortune de plus de cinq cents millions de dollars. Les hauts dignitaires, prennent toujours des décisions au regard de l’histoire.

Les motifs religieux ou monétaires sont juridiquement nuls et inadmissibles. Un acte répréhensible au point de vue moral, commis par l’un des plus élevés et des plus influents, ne peut se justifier que par une doctrine religieuse.

Némésis ne pardonne rien, elle va faire payer très cher le plus grand crime de l’histoire de l’humanité et de celle des grands prêtres juifs, même si cela doit prendre encore un peu de temps.

Concernant le congrès de Mayence, le Dr Hamer s’est exprimé de la façon suivante :

À l’époque, hormis quelques détails, la Germanische Heilkunde® était déjà suffisamment élaborée, pour soigner le cancer à 95 % de réussite, comme en Israël. Évidemment, 95 % de nos patients allemands et du monde entier auraient pu survivre alors.

L’histoire voit la découverte du Dr Hamer sous une autre lumière, pas vraiment comme “déjà accomplie”. La découverte d’une grande vérité, comme pierre angulaire d’une recherche empirique, laborieusement gagnée avec ses doutes et ses efforts, n’est en aucun cas un état définitif. Toute grande découverte va bien au-delà, elle représente le début d’une nouvelle ère.

Par comparaison : la machine à vapeur de Watts fut le succès éclatant d’une idée géniale. Nous savons maintenant qu’elle a été beaucoup plus que cela, le début de l’ère industrielle. La découverte de Watts précédait la grande révolution qui a fait faire un bond en avant à la vie de l’humanité et la modifia totalement, ce qu’aucun contemporain n’avait compris.

Les idées révolutionnaires cristallisent d’autres découvertes, inventions et progrès. Dès que la direction est indiquée ce n’est plus qu’une question de temps. Des variantes font leur apparition, d’autres domaines du savoir s’y rajoutent, des possibilités auxquelles personne n’aurait songé auparavant, s’ouvrent. Il n’y a pas de fin, le courant du siècle emporte tout et tous, seules les personnes stupides s’y opposent. Peu à peu le progrès devient parti intégrante de la culture et par là même un bien commun.

Dans notre cas, c’est la “Loi d’Airain du cancer®” qui a été constamment élargie, prolongée, complétée par de nouvelles connaissances, puis améliorée, affinée et généralisée. Par exemple, le Dr Hamer se demandait si le cancer laissait présager des modifications visibles au cerveau. La découverte des foyers de Hamer qui a rapidement suivi, confirme brillamment sa capacité singulière à relier étroitement théorie et découverte. Pionnier ici aussi, il est devenu entre-temps le plus grand expert dans le domaine du scanner.

La “Loi d’Airain du cancer®”, complète ou pas encore (à l’époque) ouvre une nouvelle ère. Seule une minorité visionnaire est consciente de sa signification future pour la race humaine.

Quelle ironie : le caractère hostile et borné des médecins d’école, y contribue de façon notoire, à leur corps défendant ! Ils n’ont jamais pu dépasser le silence ou les attaques personnelles blessantes. Ils avaient besoin d’outrages personnels pour remplacer leur incapacité à le contredire. L’expression de leur résistance ne pouvait être que maladroite, méprisante, négative et dommageable. Et ils en faisaient grand usage faute de mieux, sans s’apercevoir toutefois, que leurs méthodes étaient inefficaces. De cette manière, ils lui ont juste permis de surpasser ses premières découvertes. Aucun collaborateur sincère ne s’étant présenté, soit par lâcheté, bêtise ou cupidité, le Dr. Hamer est à la tête de toutes les avancées sur les causes originelles du cancer, suite à quoi tous les jaloux de son succès furent frappés de consternation.

Déjà en 1982, il était clair que la “Loi d’Airain du cancer®” n’était non pas une règle, mais une loi biologique naturelle, un premier pas vers d’autres vérités révolutionnaires dans l’art de guérir. Celle-ci fut immédiatement suivie de la deuxième qui détermine le caractère biphasique de tout ce que l’on appelle maladie. La profession médicale n’a jamais officiellement pris connaissance de ces deux lois, sous prétexte ridicule qu’elles avaient été découvertes par le Dr Hamer. Chez les médecins juifs, elles sont reconnues au niveau international comme une évidence, car ils ont la clé de la thérapie du cancer.

En 1984, la découverte de la troisième loi biologique naturelle par le Dr Hamer, fut vraiment décisive pour la science. Elle règle tous les processus des êtres vivants en correspondance avec l’apparition ontogénétique des feuillets embryonnaires. Ce fut la percée de l’art de guérir en tant que science. Les organes sont à appréhender selon l’évolution, ce qui permet de comprendre leurs processus biologiques. C’est une réflexion révolutionnaire car, du point de vue scientifique, elle remet en question tout ce qui est directement ou indirectement en relation avec la religion. Les philosophes, les théologiens et surtout les médecins bien sûr, sont les plus affectés, totalement désemparés et démunis devant la troisième loi biologique.

Combien de temps pourront-ils encore l’ignorer, seul l’avenir nous le dira. Le progrès des mentalités a été trop longtemps ralenti par la religion, mais depuis la découverte de la troisième loi biologique naturelle cela ne sera plus possible à long terme. 

Il en est de même pour la quatrième loi biologique naturelle. Elle décrit et explique le rôle des microbes en tant que composante vitale de l’organisme et renverse la croyance, encore pas très ancienne, selon laquelle il fallait établir une distinction entre les unicellulaires “malins” et “bénins”, “utiles” et “nuisibles”.

Avec la quatrième loi biologique naturelle, la “croyance”, à la base de toutes les religions, perd son fondement dans la médecine et disparaît définitivement de la science.

Finalement, en 1989 vint s’ajouter la cinquième loi biologique naturelle que le Dr Hamer désigne comme la “Quintessence”. Les maladies ont une fonction biologique, celle de régénérer l’organisme et de le garder en vie.

C’est ce qui a permis l’élargissement au sens général de la “Loi d’Airain du cancer”. Par ce fait, la médecine d’école, telle qu’on l’entend aujourd’hui, est devenue non scientifique, autrement dit, obsolète.

La rupture est si forte, que même les partisans du Dr Hamer ne saisissent pas encore l’incroyable portée des lois biologiques sur l’existence, la science et la culture. C’est la raison pour laquelle le Dr Hamer a rebaptisé la “Médecine Nouvelle”, ou “Médecine Nouvelle Germanique”, suite à  l’importante croissance de ce nouvel enseignement. Puis ce nom s’est avéré insuffisant et inapproprié alors le Dr Hamer a définitivement nommé sa découverte : Germanische Heilkunde®.

Sans parler des descriptions et appellations (terminologie), son enseignement n’a plus rien en commun avec la “médecine d’école” et ses innombrables hypothèses. En tant qu’Allemand, non insensible à la culture et aux performances de la nation allemande, il ne pouvait être question que d’une appellation allemande, et c’est ainsi qu’il a appelé son enseignement “Germanische Heilkunde®”. De “Docteur en médecine”, le “médecin” est devenu “Heilkundige” et le “patient” qui ne correspond plus aux critères passés, est devenu “chercheur de guérison”. Sans le vouloir, le choix de ces termes a anticipé l’avenir extraordinaire de la nouvelle science.

Dix ans plus tard, elle a été confirmée de la manière la plus éclatante.

Il est certain que les ennemis du Dr Hamer n’ont pas prévu le développement de la Germanische Heilkunde® à partir de la “Loi d’Airain du cancer®”. Depuis, la tactique du passer sous silence et du rejet n’est plus efficace.

Les cercles de diffusion des livres du Dr Hamer s’élargissent. Le succès des guérisons parle de lui-même. La diffamation par les médias sous la domination des loges a eu un effet inverse, c’est-à-dire la renommée grandissante de sa personnalité et de son action. L’expression “Il doit bien y avoir du vrai” permet d’estimer la réaction du public. Il est facile de deviner comment on a cherché des échappatoires dans les cercles secrets auxquels des médecins d’école rapportaient les dernières découvertes du Dr Hamer, tout en y exprimant leurs préoccupations.

Au nom du ciel, que fallait-il entreprendre pour arrêter la percée de la Germanische Heilkunde® ? Des faits indiscutables nous indiquent de façon certaine que l’action secrète contre le Dr Hamer a été initiée par ces cercles. Elle est beaucoup trop grossière, stupide et piteusement transparente pour ne pas être percée à jour.

Dans cette querelle ce sont les “initiés”, c’est-à-dire la judaïcité de haut rang qui joue le rôle principal avec l’aide des loges maçonniques. Celles-ci sont contraintes d’accepter sans discussion et d’exécuter les ordres de leurs dirigeants. Toutefois dans 95 % des cas, leurs membres – les frères – n’ont aucune idée des manigances de leurs supérieurs. Mais les intrigues secrètement ourdies dépendent essentiellement de leur participation. Il s’est avéré que de telles activités subversives ne se sont pas limitées à l’affaire de Mayence.

À titre indicatif, les médecins d’école ne sont pas entrés en lutte ouverte contre le Dr Hamer. Ils l’ont sans doute considéré comme cause perdue. Tout d’abord, il y a eu les amateurs qui ne connaissaient de la médecine à peine plus que l’alphabet avec laquelle elle est écrite. La nouvelle tactique était de se faire passer pour amis et élèves du Dr Hamer voulant diffuser son œuvre. Ils prétendaient avoir été amicalement instruits par lui et posséder son autorisation pour enseigner publiquement ses connaissances. Soudain, de nombreux livres et écrits, ont fait leur apparition prétextant diffuser la Germanische Heilkunde® En général, les auteurs avaient copié les textes essentiels du Dr Hamer, les modifiant sans noter, ni référence, ni arrière-plan, ni document, ce qui en édulcorait le sens. Ce qui peut être considéré comme une indication sur l’origine des instigateurs de la campagne de falsification. Le sommet fut atteint par un fils de multimillionnaire, nommé Eybl, qui travaillait avec des rabbins et avait rédigé un gros livre (reçu d’un rabbin hongrois, il n’était que l’agent provocateur, puisqu’il en faut un), dans lequel le Dr Hamer était loué et félicité à tel point que cela en était embarrassant. Les enseignements du Dr Hamer sont alors tellement dénaturés et falsifiés qu’il ne reste plus rien de la révolution dans la médecine. C’est justement ce livre qui a été discuté et présenté dans les médias de langue allemande (Cf. Wikipédia). Avec ce type d’ouvrages, l’intention d’évincer du marché les ouvrages originaux du Dr Hamer et sa maison d’édition est évidente. Que sait le simple citoyen sur la manière dont les médias manipulent la diffusion de l’information ?

Eybl est allé encore plus loin, sans doute sur ordre hiérarchique :

Par “reconnaissance”, il a versé quatre mille € sur le compte du Dr Hamer, pour l’utilisation de ses travaux. Je sais que le Dr Hamer s’est esclaffé à ce sujet. Comment un plagiaire ayant les meilleures relations avec les ennemis du Dr Hamer, mais sans contact personnel avec lui, pouvait-il être aussi bête ?

Quatre mille € ridicules afin d’obtenir son accord pour son plagiat, après que le livre ait été imprimé ? Le Dr Hamer lui renvoya son argent par retour du courrier.

Quels que soient les responsables cachés, quels que soient leurs objectifs, le rassemblement dispendieux et bruyant des plagiaires n’était pas une prestation intelligente, ni à court, ni à long terme, au contraire. Si les “illuminés par la sagesse de la foi” ne sont pas capables de réussir une chose plus sensée que la débilité clinique de tenter de corrompre un homme de l’envergure du Dr Hamer, et de falsifier ses livres, il reste encore de l’espoir pour le reste du monde. Finalement la campagne de falsification par des personnes extérieures, témoigne de la reconnaissance officielle, imprimée et documentée, des travaux et des prestations du Dr Hamer. Il est évident que tous les autres plagiats parlent – involontairement, bien sûr – pour lui et pas du tout contre lui. Toutes les tentatives ultérieures de le copier, spolier, falsifier, se briseront devant le fait accompli de la priorité reconnue par les contre-travaux des adversaires. Contre le verdict de la date, il n’y a pas d’échappatoire.

En parallèle à la campagne de dilution, se déroulait une autre entreprise qui semblait provenir d’un autre cercle beaucoup plus élevé et influent. L’absence de scrupules de sa mise en œuvre est caractéristique.

La méthode est connue dans l’histoire et donc pas nouvelle, il s’agit de l’usage de la force contre le gêneur. Le Dr Hamer a été traîné devant tous les tribunaux possibles sous des prétextes absurdes, maltraité en prison en Allemagne, en Espagne, en France. Le summum de cette persécution continuelle du Dr Hamer a 

été perpétré encore une fois par ceux qui se plaisent à se désigner comme des éternels persécutés, c’est-à-dire la haute judaïcité qui fait autorité. Les rabbins dirigeants de France (le Grand Rabbin et juge, François Bessy) entreprirent une tentative de chantage telle que l’on ne pourrait imaginer plus méprisable. Le Dr Hamer devait leur remettre tout son enseignement devant notaire, ne plus jamais soigner ; dans le cas contraire, il ne pourrait jamais sortir de prison. Ils lui dirent qu’ils en avaient le pouvoir.

Ce chantage effronté échoua face au caractère invincible de leur victime, ce qu’ils n’avaient pas escompté.

Quelle méprise grotesque sur un non-Juif, qu’ils haïssaient avec cynisme. Ce qui n’excuse pas le forfait non abouti, car selon le code pénal, même “la tentative est passible d’une peine”.

Ce crime est incontestable et les auteurs ne l’ont pas contesté. Mais ce que personne n’a vu, c’est que le chantage en soi représente la reconnaissance illimitée et inconditionnelle de la justesse scientifique de l’ensemble des travaux du Dr Hamer. Car il n’a jamais été question de parties isolées de sa performance, les criminels voulaient tout ou rien. L’entreprise, risquée du point de vue juridique, aurait été totalement absurde pour un seul petit litige.

À côté de cela, les obsédés de religion reconnaissaient à quel point ils voyaient leur pouvoir – et leur système de domination, touchés par la Germanische Heilkunde®. Ces esprits confus craignaient le génie, sinon ils n’auraient pas harcelé sans cesse le Dr Hamer afin qu’il abandonne toute recherche dans la nouvelle façon de soigner(avec menace de sanction). Lorsqu’ils ont pensé à se présenter avec cette exigence, il était beaucoup trop tard pour l’arrêter. En vingt ans, le résultat des recherches du Dr Hamer avait déjà dépassé toutes les possibilités de les faire disparaître. Trente ans plus tôt, ils auraient pu espérer un succès avec une proposition de collaboration, mais ils ont choisi le silence et une déclaration de guerre secrète.

C’est ainsi qu’ils ont manqué le moment propice. Ce qui prouve l’étroitesse d’esprit de ceux qui combattent le Dr Hamer. Ils en ont une peur terrible et indescriptible, mais maintenant, ils le craignent encore davantage en tant que martyre éventuel. Ils ont des raisons de craindre la colère de Jehovah, s’ils tentaient à nouveau de s’enprendre à lui. Car au travers de son enseignement qui n’est actuellement autorisé qu’aux Juifs, le Dr Hamer a sauvé des millions d’entre eux d’une mort atroce.

Il est devenu le plus grand bienfaiteur des Juifs de tous les temps.

Jusqu’à ce jour aucun Juif ne l’a remercié et cela ne se produira pas non plus.

Et le Dr Hamer ne le désire pas non plus.

Ses succès et – ses épreuves – prennent-elles fin dans son exil ? Profite-t-il enfin de ses vieux jours en paix, en espérant que l’histoire le vengera un jour dans la mémoire des hommes ? Non !

Pour un grand homme la vie est éternelle. Les coups les plus méprisables de ses ennemis qui ont détruit son bonheur familial ne l’ont pas abattu. Au contraire, ils l’ont rendu plus fort, plus solide, plus résistant, plus combatif. L’énergie inépuisable de sa pensée, de ses recherches et de leur action, perdure à ce jour.

En 2006, il est tombé sur une découverte scientifique sans précédent.

La chanson qu’il a écrite, il y a plus de quarante ans pour son épouse bien-aimée, s’est révélée être une “mélodie archaïque” qui correspond exactement à la deuxième loi biologique. Voilà un lien étroit entre la Germanische Heilkunde® et l’art, musical ici.

Coïncidences singulières – ou pas : en 1983, l’année du scandale de Mayence, le CD a fait sa première apparition sur le marché. Et étrangement, en 2006, l’année de la découverte des “mélodies archaïques” la diffusion du CD a atteint le sommet de sa popularité. Maintenant il y a des millions d’appareils permettant à toute la population d’écouter sa musique.

De façon singulière, la “mélodie magique” permet de constater la manière dont le progrès technologique et le destin interagissent, et qu’il faut d’abord que le moment soit venu pour un renouveau majeur. Ce CD a été décisif pour cette nouvelle découverte du Dr Hamer, car elle n’aurait sans doute pas connu le succès avec les appareils à bande (cassettes). La technologie des CD, lui a permis de réaliser le pouvoir magique du “chant archaïque”, la chanson magique, sur l’âme. Trois ans plus tôt (2012), personne au monde n’aurait tenu cela pour possible et aurait rejeté une idée aussi farfelue.

Mais maintenant, il y a des centaines de cas où la mélodie archaïque “Mein Studentenmädchen®” a provoqué des réactions organiques prouvées, dépassant entièrement toutes les possibilités imaginables et les connaissances actuelles. En poursuivant ses recherches avec le chant magique, il a découvert des relations avec certaines maladies chroniques qui avaient jusqu’à présent résisté à toutes explications et thérapies.

J’étais présent lorsque cette découverte qui couvre de honte la médecine d’école a fait ses premiers pas dans le monde des réalités.

Le Dr Hamer pensait qu’avec le “chant magique” “Mein Studentenmädchen®”, “l’affaire serait maintenant bouclée”.

Il deviendrait “le deuxième pilier” sur lequel reposait la Germanische Heilkunde®. Je n’étais pas d’accord avec lui.

Pour moi, sa découverte était incontestable, je ne la voyais pas comme une prolongation des “Mélodies Archaïques”, mais comme une performance de premier rang, révolutionnaire et originale, véritablement un événement dans le monde de la science et de l’art de guérir.

Le progrès et de nouvelles découvertes de cette jeune branche de l’art de soigner, lui ont donné raison. Lorsque la première édition a été publiée fin 2013, les quatre “pouvoirs magiques” avaient déjà été découverts.

D’autres sont en cours. Et chaque cas traité délivre des surprises inattendues. L’avancée du “chant magique” dans des régions tout à fait inconnues de l’art de soigner est maintenant une réalité incontestable.

Sans des preuves scientifiques irréfutables, Mein Studentenmädchen® n’aurait pas d’appui solide et les preuves demandent à être travaillées. Oui, nous sommes certes encore à un stade précoce, mais, un énorme travail a été fait !

Et de nouveau, comme autrefois lors de la découverte de la “Loi d’Airain du cancer®”, des “Foyers de Hamer”, des cinq lois biologiques naturelles, etc. Le Dr Hamer a réalisé tout seul l’ensemble des résultats de ses recherches avec Mein Studentenmädchen®, le chant magique. Personne ne l’a aidé, ni concurrencé. La médecine d’école, est désespérément affaiblie, rétrograde, totalement démunie face à la nouvelle découverte.

Jusqu’ici nous n’avons pas reçu de réactions du camp adverse ! Nous sommes dans l’incertitude de savoir s’il s’agit à nouveau de la répétition de la tactique du passer sous silence des années quatre-vingt, ou si leurs pensées dépravées ne saisissent pas la nouvelle révolution, ou s’ils sont dépourvus d’idées – ce qui est le plus vraisemblable.
La rupture est inguérissable, seuls les inconscients pensent que la Germanische Heilkunde®, peut, ou devrait “réformer” la médecine d’école.

Mein Studentenmädchen® a préparé la fin méritée à de telles conceptions qui ne perçoivent pas l’ampleur du bouleversement.

Combien de découvertes a fait le Dr Hamer dans le domaine de l’art de soigner ? Vingt ? Cinquante ? Cent ?

Je ne peux pas les compter et le Dr Hamer non plus. Il est probable que plus d’un jeune médecin d’école aimerait bien en découvrir une, afin de pouvoir obtenir son diplôme avec des félicitations.

Le Dr Hamer est véritablement l’homme des sciences de notre temps, dans l’art de soigner, ses découvertes lui reviennent tout simplement ! Sa connaissance des relations entre l’âme, le cerveau et le corps est unique.

En apparence, il trouve facilement les lacunes de la connaissance. Il y a un autre constat à faire : les cas sont toujours compliqués, mais leur solution est réalisable ! L’ensemble des progrès de la Germanische Heilkunde®  au cours des trente-quatre dernières années est hallucinant, d’autant plus si on la compare à la médecine d’école depuis deux, trois mille ans. Qu’en est-il résulté de la querelle des médecins d’école contre le Dr Hamer ?

Après trente-quatre ans de lutte contre le Dr Hamer, nous pouvons mesurer l’ampleur de l’échec de la médecine d’école. De façon objective, il faut constater que la querelle a échoué, elle s’est plutôt retournée de plein fouet contre ses instigateurs. Nous nous permettons ici d’exprimer nos remerciements et notre reconnaissance

au manque d’intelligence de l’ensemble des adversaires (livre : “Alle gegen Einen” “Tous contre un”) ! En conclusion, nous pouvons constater de plus en plus, que la médecine d’école a creusé sa propre tombe !

N’est-ce pas porteur d’espérance pour l’humanité souffrante ?

Malheureusement, non. Aujourd’hui les résistances sont encore trop grandes pour pouvoir parler d’un délai.

Il s’agit d’ARGENT à gagner avec la maladie. Pas de misérables millions, mais de centaines de milliards de dollars, d’euros, etc. Dans ce genre d’affaires qui rappellent les génocides des guerres mondiales, des millions de morts font froidement partie des calculs. L’on ne parle jamais d’eux, et n’érige pas de monuments pour eux comme aux victimes de la guerre. Au point de vue moral, le développement de la médecine et de son industrie est une infamie contre l’humanité.

La Germanische Heilkunde® gâche le système criminel de ce business, parce qu’elle ne coûte presque rien, laisse seulement la nature parler et agir. La société des “élus” vivant de ce système monétaire d’exploitation pour laquelle nous ne sommes que des esclaves bon marché, doit tomber, être renversée, vaincue, rejetée et détruite, sans quoi elle perdurera jusqu’à la chute de l’humanité.

Mais les choses n’iront pas aussi loin. Depuis que je connais le Dr Hamer, je suis très confiant dans le fait que nous marchons vers un changement sans précédent, jamais connu dans l’histoire universelle.

Une énorme réorientation dans les sciences humaines modifiera notre rapport au système dominant.

Singulièrement, ce sont les plus grands ennemis de l’homme libre qui ouvrent la voie. Certes, ils désirent le contraire, c’est-à-dire la soumission totale, la déformation, l’uniformisation et le nivellement de tous les dominés.

Mais, en raison de leur étroitesse d’esprit (causée par leur religion), ils ont échoué dans toutes les entreprises qu’ils avaient envisagées dans leur lutte secrète contre le Dr Hamer. Leur esprit figé ne suffit pas à étouffer la Germanische Heilkunde®. Ils vont encore échouer souvent avec leurs projets ! En plus, ceux qui se nomment “élus”, “illuminés”, “élite”, etc. ne représentent qu’une infime minorité désireuse d’arrêter la marche du temps ;sa pensée rétrograde aspire aux époques révolues. Ils sont victimes de leurs propres illusions.

Plus ils gravissent vers le ciel “promis”, d’où ils rêvent d’exercer leur pouvoir divin, plus leur chute augmente inexorablement de façon abyssale.

Au point de vue historique, l’on voit depuis cent vingt-cinq ans l’avancée progressive de la grande réorientation de l’humanité.

Beaucoup de grands esprits l’ont déjà préparée pas à pas dans les sciences exactes, dans l’économie nationale, dans la conception du monde et dans l’art de guérir. L’on ne ressent, peut-être pas toujours clairement, comment chaque découverte d’une vérité en amène une autre, éclaire notre pensée et devient source d’inspiration pour les expériences futures. Un grand pont émerge sur de nouveaux rivages.

L’un de leurs plus jeunes ingénieurs est mon cher ami, le Dr Hamer. Sa création, la Germanische Heilkunde®,représente déjà un long passé, en effet, elle a un chemin de vie derrière elle et n’a pas encore atteint son but.

Au moment du bouleversement, son importance sera cruciale.

Je m’estime heureux, de pouvoir participer à sa vie et à son œuvre et de travailler avec lui pour la future réglementation de la vie naturelle, biologique, économique, juridique et étatique.

Je voudrais lui dédier ce mémoire en cadeau pour l’accomplissement de sa quatre-vingtième année de vie.

Georg Kausch, le 19.04.2015

***

Réponse aux vœux de son ami Georg Kausch,
historien de renomet auteur du livre “Die unbequeme Nation” (La nation inconfortable).

Cher Georg,

Avec ta diction aiguisée et en tant qu’historien émérite, tu réussis à enfoncer le clou :

Avec l’exemple du successeur juif au trône du roi d’Italie et son meurtre avec préméditation sur la personne de Dirk, pour lequel il n’a même pas été puni par le tribunal de rabbins constitué pour l’occasion et de son propre chef, par Mitterrand et de la famille de Dirk, la victime, qui a été totalement détruite par la famille du meurtrier et ses amis juifs, auxquels appartient aussi le plus grand rabbin (Lubawitch) du monde et “Messie”, M. Schneerson.

(Dirk assassiné, sa mère décédée d’un cancer du sein (mère/enfant), son père n’avait qu’une chance sur cent de survivre après l’opération du cancer du testicule, avec une ascite tuberculeuse).

Avec ces deux familles, représentatives de tout notre peuple et de l’esclavage actuel du monde entier par les Juifs, tu montres comment, de façon très surprenante, la famille allemande terrassée, a fait la plus grande découverte de l’histoire du monde, sous la terreur et une pluie de calomnies de la part de ses ennemis meurtriers.

De plus au final, Wodan, notre dieu germanique est intervenu, nous offrant avec son chant magique Mein Studentenmädchen® la plus grande découverte thérapeutique de l’histoire de l’humanité, parce que la thérapie avec la Germanische Heilkunde® nous était refusée, ou plutôt parce qu’elle était réservée aux Juifs.

Mein Studentenmädchen®a ses pouvoirs magiques, de même que le chant magique de Wodan autrefois, c’est la raison pour laquelle il est le proto ou archétype (le plus court) des mélodies archaïques biphasiques avec au centre la crise épileptique, et en même temps, l’archétype de toute notre musique classique. C’est ainsi que, comme le chant magique de notre Dieu Wodan le très haut, cet archétype a véritablement des pouvoirs magiques incroyables que nous pouvons utiliser avec gratitude pour nos patients.

Merci, Georg, à partir de ces deux familles, tu nous as montré également la situation déplorable de notre peuple, avec un caractère dramatique qui nous donne des frissons.

Ma douce Studentenmädchen®, bienfaisante doctoresse, remet dans un ordre harmonieux toutes les aires cérébrales.

Tu nous avais déjà prédit, il y a des années, que Mein Studentenmädchen® “allait faire trembler le monde”.

Il y a déjà trois cent  millions de Studentenmädchen® en circulation dans le monde (500 millions entre-temps).

Ton Geerd


Et ceci toutefois avec treize années de retard et un tribunal de rabbins (trois juges juifs, Richter, Colombo, David, Jordan) qui n’avait pas le droit de le juger car il avait seulement assassiné un goy avec préméditation, ce qui n’est pas un crime pour un Juif. Le procès fut une mascarade qui se termina par un non-lieu en raison de la fabrication d’un “doute” sur dix millions et faute de preuves.