L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

La peau - Témoignages

Vitiligo de Monsieur Edgar R.

Je suis aujourd'hui avec vous pour témoigner à travers mon expérience de ce qu'est le "Dirk- Hamer-Syndrom", dit DHS

Pour cela, une chronologie des faits est nécessaire. Dès 1990, les ennuis de santé de mon épouse Catherine ont commencé ; d'abord elle a eu une tumeur au sein, puis des problèmes respiratoires importants. Tout au long de cette évolution, j'ai vu la maladie affaiblir ma femme. Les évènements se sont produit les uns après les autres, et malgré le fait que son état physique se dégradait, je n'ai jamais fait de DHS pendant cette période.

Même à la fin de l'année 1994, lorsqu'elle ne pouvait presque plus respirer et que monter les escaliers lui demandait un effort considérable, je n'ai pas fait de DHS.

En mars 1995, en dépit d'une maigreur impressionnante et d'une allure de "cadavre" ambulant, je n'ai toujours pas fait de DHS.

Pourtant, j'aime beaucoup Catherine et je me faisais beaucoup de soucis pour elle, mais les conditions du DHS n'étaient toujours pas réunies.

Dans cette lente et régulière dégradation de son état de santé, rien ne me surprenait, puisque tout était lent et régulier. Je parlais beaucoup avec elle pour la soutenir du mieux que je pouvais, même lorsque le mot cancer était devenu habituel.

Les conditions du DHS allaient être effectives le 25 avril 1995, lors d'une conversation téléphonique passée entre 12 heures et 14 heures alors que j'étais seul à mon bureau. Le docteur me communiqua les résultats des analyses de sang de ma femme.

Alors là, j'ai senti comme une masse de plomb s'effondrer à l'intérieur de moi-même, lorsqu'il m'a dit : "votre femme est perdue, elle en a partout, elle ne passera pas l'été !".

Après des années de côtoiement de la maladie, de lutte pour la vie, voici que d'un seul coup, on m'annonce la mort prochaine et inéluctable de Catherine.

C'est une prédiction qui m'a pris totalement à contre pied et que j'ai vécu dans l'isolement puisque j'étais seul, seul au bureau et que par la suite je ne pouvais pas partager avec personne d'autre, car la répéter aurait été lui donner du crédit. Donc, je l'ai intériorisé.

Voilà le DHS, choc vécu à contre-pied et dans l'isolement.

Très rapidement, cette peur de perdre l'être cher que j'ai ressenti, s'est concrétisée par des tâches blanches qui sont apparues sur mes mains, puis mes tempes, les avant-bras, tout le sommet du crâne, les cheveux sont tombés et ont blanchi, le tours des yeux, du nez, de la gorge, le haut du dos et de la poitrine, et même les organes sexuels.

Bien sûr, j'ai connu la raison de ces dépigmentations seulement après avoir rencontré Andrée SIXT, lorsque nous venions la voir avec mon épouse. Selon le Dr Hamer, ce vitiligo disparaîtrait lorsque je n'aurais plus peur pour ma femme.

C'est ce qui s'est passé. J'ai conservé cette dépigmentation jusqu'au printemps 1997, soit deux ans environ, dans son développement maximum. Puis, à partir de cette époque, j'ai réellement cessé d'avoir peur, non par raison, mais biologiquement, je voyais Catherine totalement guérie et en pleine forme physique. Alors, je me suis progressivement re pigmenté, tout doucement, d'abord les mains, les avant bras, le visage, les cheveux ont repoussé et se sont recolorés, le dos, etc...

Contrairement à la médecine officielle, la Médecine Nouvelle a su me dire d'où venaient les symptômes et comment ils pouvaient disparaître sans traitements médicamenteux.

Courant février 1999, mon épouse est partie huit jours en clinique, pour une petite intervention chirurgicale esthétique de 24 heures.

Cet éloignement physique en milieu hospitalier m'a remis biologiquement sur les rails du conflit car de nouveau, j'ai ressenti cette séparation, peur de perdre ma femme. Je me suis re dé-pigmenté très légèrement sur la main droite. Je sais maintenant que tout redeviendra très vite normal.

Je profite de ce témoignage pour remercier de tout mon coeur le Dr HAMER qui a su trouver les clés de la guérison par sa découverte de lois biologiques de la nature : la Médecine Nouvelle. Je n'oublie pas Andrée SIXT. Notre amie Andrée, totalement associée à ce retour à la santé de mon épouse Catherine.

Edgar R.
 



Champignon tenace au pied droit, petit orteil 

07.10.2009

J’ai acheté au marché aux « puces » une paire de belles vieilles chaussures. En arrivant à la maison mon mari me fait la remarque suivante : « c’est quoi ces chaussures ? A coup sûr, c’est une grand-mère bourrée de champignons, qui les a portées !» cela m’a touchée aux trois niveaux (psyché, cerveau, organe).

J’ai porté ces chaussures toute la journée suivante. Le soir même, les symptômes tels que  démangeaisons, brûlures se sont manifestés. Je savais d’où venait le problème et j’ai donc rangé les chaussures dans le coffre.

Le champignon était tenace et a duré plus de 2 semaines. Je me suis décidée à aller consulter un dermatologue, à vrai dire uniquement par curiosité. Dans la salle d’attente je me suis gratté si fort le pied que la peau est devenue toute rouge.

Comme je travaille à l’hôpital, mes collègues ont fait une demande spéciale de consultation auprès du chef de service de dermatologie pour des raisons « confraternelles » et celui-ci s’est déplacé.

Il n’a fait que jeter un coup œil sur mon pied et a prescrit aussitôt un antibiotique à la pénicilline parce que mis à part la mycose, il craignait une « énorme infection ».

J’ai fais valoir qu’il serait mieux de faire un prélèvement avant de commencer une quelconque thérapie.

Ce qui fut fait. Mais je devais prendre immédiatement les antibiotiques pour plus de sécurité parce que selon le pronostic du dermatologue je me trouvais « sérieusement en danger » 

Bien sûr, le médecin ne savait pas que la rougeur de mon pied résultait de l’intense grattage fait dans la salle d’attente et qu’elle disparaîtrait d’elle-même. S’il m’avait seulement questionné sur cette rougeur, je ne serais probablement pas rentrée chez moi avec des antibiotiques et la menace « de danger ».

Je n’ai pas pris les médicaments.

Après environ 10 jours d’attente, le résultat du prélèvement est tombé : mycose =  NEGATIVE, mais staphylocoque aureus (bactérie de la flore normale de la peau) =  POSITIVE.

Je ne m’expliquais pas pourquoi la phase de réparation durait aussi longtemps, n’ayant porté les chaussures qu’une seule journée. Cependant,  je le savais « inconsciemment ». En effet, je voyais tous les jours les chaussures dans le coffre, et j’avais très envie de les enfiler mais je pensais constamment à la « grand-mère couverte de champignons ».

Ce n’est qu’après m’être débarrassée définitivement des chaussures que le champignon au pied disparu, tout seul, en moins d’une semaine.

J’espère ne pas avoir provoqué de conflit de souillure chez nos lecteurs avec mon récit ! 

***

Remarques :
Dans ce récit le moment où débute  le conflit (la remarque du mari), c'est-à-dire le DHS, est très bien décrit.

Le champignon au pied est une phase de réparation en suspend lié au conflit de souillure, alimenté par le « rail » (les chaussures de la grand-mère « bourrées de champignons » dans le coffre à chaussures).

Si l’on n’arrive pas à résoudre le conflit provoqué par la remarque du mari : « c’est quoi ces chaussures ? », il faut alors sortir du « rail » et pour cela il est nécessaire de se débarrasser des chaussures.

Le principe de la Médecine Nouvelle Germanique est simple à comprendre d’un point de vue biologique, n’est-ce pas ?

Le Dr Hamer met toujours l’accent sur le fait d’apprendre à réfléchir sur une base biologique et non psychologique. Et ce n’est pas toujours évident, mais avec des exemples simples comme celui-ci on peut s’entraîner, je pense.

Avec les connaissances de la Médecine Nouvelle Germanique, celui qui l’apprécie arrivera à s’éloigner de l’emprise de la médecine officielle…

La Germanique est la médecine de la liberté !    
 



Pityriasis Rosea sur tout le corps de mon mari 

07. 10. 2009

C’est une maladie de la peau qui présente des structures eczémateuses.
Les hommes parlent peu de leurs conflits. C’est le cas de mon mari. Nous avons trouvé les raisons de ces conflits après des heures de recherche commune.
Il s’agit d’un tatouage au bras.
Un collègue de mon mari l’avait vexé lorsqu’il avait vu pour la première fois ce tatouage : « C’est quoi cette TACHE informe sur ton bras ? Tu penses vraiment que tu es plus BEAU avec cela ? »
Et voilà ! Pris à contre-pied, il a vécu cette réflexion de façon dramatique, seul, isolé dans sa chambre. Ceci correspond au résultat du ressenti en résonnance parfaite avec le caractère renfermé de mon mari.
Mon mari n’aimait pas montrer son tatouage parce qu’il avait été mal fait.
Il a vécu deux conflits comme nous pouvons nous en rendre compte maintenant.
Un conflit de  dévalorisation de soi et un conflit de séparation, de vouloir se séparer.
Il m’a tout raconté à la maison, mais n’a pas voulu reconnaître sa ‘‘défaite’’.
Trois jours après cet incident mon mari était alité avec des douleurs articulaires dans tout le corps. Nous avons pensé tout de suite à la grippe, mais il ne présentait pas les autres symptômes comme la toux, le nez qui coule ou de la fièvre, seules les douleurs articulaires liées à la révalorisation de soi.
Quant aux atteintes de la peau, elles se manifestèrent 6 mois après la remarque vexante du collègue et uniquement après l’ablation totale de son tatouage. 
Pour tous les médecins interrogés par mon mari, la durée de cette maladie de peau (bien plus longue que celles décrites dans les gros livres savants) était une énigme complète. 
En fait mon mari était en phase active d’un conflit ’’de vouloir absolument se séparer’’ qui dura 6 mois.

Et la phase de réparation a duré autant de temps. Et pas comme il est  écrit dans les gros livres ‘‘savants’’ !

C’est ainsi qu’on a su très exactement pourquoi, quand et comment se déroulaient les différentes phases, sans intervention médicale spécifique.
Je voudrais vous exprimer, à vous Monsieur Pilhar et au Dr Hamer toute ma gratitude pour ce cadeau qu’est la « Medicina Sagrada ».
Vous ne vous doutez pas du nombre de gens que vous avez déjà aidés, ou ceux que vous aidez sans les connaître.
Je voudrais aussi remercier tous ceux que je connais et que la Germanique a aidé.
La révolte viendra des patients guéris ! Dixit le prof. Hanno Beck.
Nous sommes unis et nous vaincrons ! 

***

Remarque
Parfaitement ! Nous vaincrons parce que nous sommes unis derrière le découvreur de la Germanique, le Dr Hamer, celui qui nous a montré également qui sont nos véritables adversaires.

La répression contre la Germanique (un meurtre de masse)  vient de la médecine d’école judéo-chrétienne.
 



Verrues plantaires 

Verrues plantaires chez un enfant de 11 ans - Gaucher

Mon épouse et moi étudions la Germanische Heilkunde® depuis environ un an et demi. 
Au début ce n’était pas facile d’avoir une vue d’ensemble mais petit à petit, la lumière commence à poindre. De jour en jour, j’arrive mieux à comprendre les relations entre psyché – cerveau -organe  Pour illustrer tout cela je souhaite vous donnez un témoignage.
Il s’agit d’un conflit de séparation.
Mon fils âgé de  onze ans souffre  depuis des années de verrues sous la plante du pied droit.
La première fois qu’on les a remarquées, elles mesuraient (de 3 à 5 mm. On a pensé que ce n’était pas grave, et qu’un jour ou l’autre elles disparaissent d’elles-mêmes. D’ailleurs la médecine nous a dit qu’elles sont dues à un virus qui un jour ou l’autre disparaît.
Toutefois, avec le temps nous avons remarqué que ces verrues ne disparaissaient pas mais continuaient de grossir. Oh, lentement, mais elles ne diminuaient pas et devenait à chaque fois un peu plus grosses, sans éclater. Notre fils ne s’en plaignait pas, et donc  on ne faisait rien.
Un jour on décide d’y remédier et de trouver une solution. Jusque là, en dehors d’attendre désespérément  qu’elles disparaissent on ne nous proposait rien. Malgré notre étude de la Germanische Heilkunde® les choses restaient sans réponse et les verrues avaient un diamètre de  25 x 25 mm et devenaient une gêne pour notre fils surtout pour la course à pied.
Tout d’abord nous savons que les verrues se rapportent à l’épiderme, la couche externe de la peau et que celle-ci réagit à une séparation. Puis, nous savons que la séparation tient son  relais au niveau du cortex cérébral, donc la latéralité est à prendre en compte. Notre fils est gaucher et le fait que les verrues sont  au  pied droit signifie que cela correspond à une relation mère/enfant. Il était évident que dans ce cas, c’est la mère qui est en jeu. Enfin,  nous savons que la localisation sous la plante des pieds signifie que la séparation s’est faite contre sa volonté. Jusque là tout correspond bien. 

Maintenant il faut  trouver le conflit à l’origine, ce qui bien sûr n’est pas simple.
Quelques jours plus tard, j’interroge mon fils sans brusquer les choses. Je lui dis que ses verrues plantaires viennent d’un conflit de séparation probablement en relation avec sa maman. Je lui demande s’il se souvient de la date d’apparition de  ces verrues. Il répond immédiatement ; « depuis l’école primaire ». Je lui demande alors s’il se souvient d’avoir à ce moment-là éprouvé un sentiment d’abandon ou de séparation avec  sa maman. Il raconte spontanément que durant la première semaine à l’école primaire, des mamans qui accompagnent leurs enfants,  restent dans la classe auprès d’eux et que lui aussi aurait bien aimé la présence de  sa maman  Il dit textuellement à mon épouse : « et toi tu n’étais pas là ! »
C’était cela son conflit de séparation. Il souhaitait  que sa maman reste près de lui, et elle ne l’était pas. Il n’avait pas la possibilité de partager cela avec quelqu’un, se sentait isolé  et en écoutant ce récit on ressentait la violence du vécu.  Suite à ces propos;  je lui dis : « regarde, maintenant tu vas au collège et j’imagine que tu ne voudrais pas que ta maman t’accompagne, non ? » Il répond simplement : « non plus maintenant !».
Les choses en restèrent là et nous sommes retournés à notre vie quotidienne. Au bout d’une semaine on  demande à notre fils comment évoluent  ses verrues. A notre stupéfaction, elles ont diminuées en taille. Les deux semaines suivantes nous avons constaté que  les verrues avaient diminué jusqu’à finalement disparaître totalement après trois semaines. Cela faisait bien quatre années que notre fils avait ces verrues et depuis elles ne sont jamais revenues.
Pour mon épouse et moi cela est la preuve que la Germanische Heilkunde® est juste  et ce sur les trois niveaux ; psyché – cerveau – organe.
Avec tous nos remerciements pour cette connaissance.
Sincères salutations.

M. et A.

***

Remarques :
La Germanische Heilkunde® est une science de la vie. Les 5 lois biologiques avec leurs programmes bien fondés de la nature, sont remplies de bon sens. Indissociables, elles fonctionnent toujours aux trois niveaux : psyché-cerveau-organe. Pour la recherche du conflit, il faut travailler à la manière d’un « criminaliste », il faut bien connaître ce que l’on cherche, en un mot c’est un véritable savoir faire que de poser les bonnes questions. Lorsqu’on découvre le conflit  on est souvent étonné de l’exactitude de la Germanische Heilkunde® dans le moindre détail. Dans le cas cité, les verrues persistent car l’enfant retourne toujours dans le « rail ». Chaque fois que sa maman le dépose à l’école = récidives de séparation car il voudrait que sa maman ne parte pas, (reste « avec ses pieds » près de lui). Les verrues sont la phase de régénération, en suspend à cause des récidives, donc n’ont pas le temps de disparaître totalement entre deux récidives. (cf. sur le livre/tableau ou la présentation « le rail ».
Quelle thérapie dans ce cas ? 
C’est tout simple, si l’on a une bonne connaissance de la Germanische Heilkunde® et que l’on est un bon criminaliste, après détection du conflit il nous faut prendre des décisions en se référant au  déroulement du Programme Biologique bien-fondé, c'est-à-dire bien connaître si la conflit est actif ou en solution ou en récidives. Pour ce cas il s’agissait de récidives. La maman a très bien expliqué à  l’enfant  qui a compris et maintenant qu’il est devenu grand  il ne veut plus que sa maman reste avec lui. Ces verrues étaient un programme biologique bien fondé, remplis de bon sens, afin que l’enfant puisse survivre à l’absence de sa maman et l’interpeller. 
Les verrues plantaires ont disparues car  maintenant devenu grand, l’enfant peut se débrouiller tout seul. Nous constatons  que seul l’enfant est acteur de sa guérison
Si les parents avaient connus la Germanische Heilkunde® avant, il est probable que l’on aurait pu éviter ces verrues.
 



Bouton  de fièvre (herpès labial) à cause de la cigarette

Depuis quelques semaines je me suis mis à fumer. Mon épouse n’apprécie pas du tout  les personnes qui fument, cela l’a répugne, c’est pourquoi je me protège et fait tout pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
La semaine dernière,  invité sans mon épouse à une manifestation privée, j’ai demandé à une des personnes présentes, de bien vouloir me donner une cigarette, elle  me l’a donné volontiers. Je venais juste de tirer une bonne bouffée, lorsque soudain j’ai  remarqué qu’une autre de mes connaissances  pointait son appareil photo sur le groupe où je me trouvais.
En un éclair les mots : « moi-cigarette-photo-femme-fâchée » traversèrent mon esprit. A l’instant même  j’ai ôté instinctivement la cigarette de mes lèvres pour la cacher dans mon dos. Lorsque la situation l’a permis,  j’ai repris la cigarette toujours  en gardant  un œil  sur la personne avec l’appareil photo.
Un peu plus tard, sur le chemin du retour à la maison, il apparaît  sur ma lèvre inférieure gauche un bouton de fièvre (herpès labial). J’ai pensé aussitôt à la situation que je venais de vivre et me suis interrogé sur certains critères relatifs à l’incident.

 C’était un réel  évènement  « aigu », vécu de façon « dramatique et  inattendu » dans un « isolement » total, car  je n’avais personne à qui en  parler, (je ne m’y attendais pas = DHS). Je ne voulais en aucune manière me faire remarquer. 
Je sais que le bouton  de fièvre (herpès labial) est en corrélation avec l’épiderme (peau externe). Dans la phase active du conflit il y a  une ulcération (on ne le remarque pas ou à peine) et dans la phase de régénération, une réparation des tissus accompagnée d’une inflammation, et d’un gonflement douloureux. Les jours suivants, j’ai ressenti une gêne à l’endroit précis où est localisé le bouton de fièvre (phase de régénération). J’ai remarqué qu’il s’agissait de l’endroit exact sur la lèvre inférieure gauche  qui était en contact direct avec la cigarette lorsque je la portais à la bouche.
Je suis très intéressé par la Germanique et je sais que l’épiderme est régi par le grand cerveau (ectoderme), partie externe de l’embryon, dont dépend la sensibilité : conflit de séparation. 
Je suis droitier, le bouton de fièvre est apparu sur la lèvre inférieure gauche, régi par le grand cerveau, donc latéralité déterminante et c’est le contact de  la cigarette qui prédominait au niveau de  la localisation sur l’organe (la lèvre inférieure).
Même si ce SBS (Programme biologique spécial bien-fondé de la nature) paraît comme un tout petit épisode dans ma vie, cela nous permets de connaître le fonctionnement de notre système.
Je ne suis qu’un modeste apprenti,  mais j’ai été fasciné par la Germanique que je trouve géniale. Je souhaite à chacun de se l’approprier. Cette connaissance est le plus grand BIEN que l’on puisse s’offrir. Elle nous éclaire sur la façon dont nous devons nous conduire afin de  gérer au mieux telle ou telle situation de notre vie. Celui qui a compris cela peut se prendre en charge et avoir une bonne connaissance de lui-même pour aussi comprendre son prochain.

Merci Dr Hamer. Merci Helmut (Pilhar)

***    

Remarque : Ce témoignage simple et compréhensible nous indique le chemin de la vie, la Germanique Heilkunde est notre assurance-vie. 
(La latéralité se détermine pour les organes régis par le cervelet et le grand cerveau).  Il n’y a pas de latéralité pour les organes régis par  le tronc cérébral. 
Ce monsieur est droitier et le bouton de fièvre (herpès labial régis par le grand cerveau, se situe sur la lèvre inférieure gauche – Pourquoi ?
Au moment du DHS, ce Monsieur qui  ne voulait pas se faire surprendre par son épouse avec une cigarette aux lèvres a associé l’endroit du contact de la cigarette à la séparation d’avec son épouse (séparation car son épouse n’était pas d’accord). Et c’est l’endroit où était posé (contact)  la cigarette sur la lèvre inférieure gauche qui a été touché. 
Autre exemple :
L’herpès labial ou bouton de fièvre est la phase de régénération d’un conflit de séparation, conflit du baiser appelé dans certain cas  « le baiser de la gare », car  avant de prendre le train les jeunes gens se donnaient un dernier baiser avant de se dire au revoir.

Au moment du baiser (contact) la jeune fille faisait le DHS  de séparation, et ne sentait pratiquement rien, puis quelques jours  plus tard apparaissait sur la lèvre inférieure ou supérieure selon l’endroit du contact, un herpès labial, qui était la phase de solution, régénération. En effet au bout de quelques jours la jeune fille solutionnait le conflit, car elle avait  repris ses activités et avait  accepté la situation. De plus  elle restait en lien par téléphone, ou lettre avec son fiancé, et/ou pensait déjà aux prochaines retrouvailles.

La Germanique Heilkunde est une grande aide pour un mieux vivre, une vie pleine et entière.