L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

Cancer des os - Témoignages

Un ostéosarcome du fémur droit.

Qu’est-ce qu’un  ostéosarcome ?
Il s’agit d’une recalcification après une ostéolyse ou un traumatisme de l’os.
Il devient dramatique lorsque l’on se trouve en présence d’un cas où le périoste a été rompu comme par exemple ; suite à un coup, une ponction ou une biopsie. Le cal osseux s’évacue alors dans le muscle  et est appelé à tort ostéosarcome. C’est le cas du témoignage ci-dessous.
 
Depuis son adolescence, Monsieur T (48 ans) avait  une boule au niveau du fémur droit  de la grosseur d’une noix. Un jour son médecin traitant lui dit : « Vous savez Monsieur ce n’est pas bon de garder cela, ça peut dégénérer. Il faut vous le faire enlever, c’est très vite fait, ce n’est pas grave ».
Monsieur  T décide de  prendre rendez vous chez un chirurgien.
Après l’avoir examiné, le chirurgien lui dit : « Monsieur je vais d’abord vous faire une biopsie pour être sûr que ce n’est pas malin ». Monsieur T accepte la biopsie et reste 6 jours hospitalisé pour cela : le chirurgien ouvre le fémur sur toute la longueur, afin d’être sûr que s’il y avait des cellules malignes elles ne  se seraient pas diffusées et il en profite pour gratter et nettoyer tout le fémur. Puis il envoie les   prélèvements à l’analyse.
 

Suite à cela, comme nous le savons avec la Germanique, le programme biologique bien fondé de régénération s’est enclenché, et  progressivement, au fil de mois, sur toute la longueur de la cicatrice se formait une masse, d’abord un peu flasque puis augmentant et devenant de plus en plus douloureuse, dure et lourde. Son fémur est devenu si gros qu’il ne pouvait plus marcher et il souffrait bien sûr. Un  jour n’en pouvant plus,  il se décide d’aller consulter  le chirurgien car sa vie devenait impossible tant il souffrait et ne pouvait plus se mouvoir. 

ostéosarcome de 4kgs

Le chirurgien,  lui dit : « mon pauvre monsieur, je n’ai pas d’autre solution à vous proposer que  de couper la jambe, car l’évolution ne peut pas être maîtrisée et c’est très très grave, il faut faire vite ». Monsieur T entre dans une panique totale, en perd l’appétit et le goût et  le sommeil. Il cherche jour et nuit une solution pour garder sa jambe à tout prix.
Il était professeur d’éducation physique, très sportif et la perspective de perdre sa jambe, lui était insupportable. Sa vie était foutue : fini le ski, les randonnées, la gymnastique, le vélo….) 
 Il décide alors  de chercher d’autres solutions. Un jour, il rencontre un médecin connaissant la Médecine Nouvelle Germanique. Celui-ci lui explique ce qui se passe : il comprend que cette grosseur est une bonne chose, et il fera tout pour sauver sa jambe, alors  sa vie bascule.

Le médecin lui fait faire une image par résonance magnétique (IRM) du fémur, et il constate que son fémur est en voie de régénération avec un gros œdème. Donc tous deux décident de prendre patience et de laisser grandir la masse du fémur jusqu’à l’arrêt total de la régénération de l’os. Certes il souffrait mais  la douleur prenait un tout autre sens, car il savait maintenant qu’elle  était  due à la régénération luxuriante de son fémur. A partir de ce moment là il n’a plus eu peur, il disait : « la douleur je l’intègre et ainsi je la supporte bien car en fait si je ne bouge pas, je n’ai pas mal, alors il suffit que je sois patient, ce n’est rien quelques mois d’immobilité puisque je vais pouvoir conserver ma jambe ».
En effet, le médecin qui suivait l’évolution de sa jambe, lui demanda de mesurer régulièrement le tour de son fémur, et un jour il eut l’agréable surprise de constater que son fémur ne grossissait plus. Son médecin lui prescrit une (IRM) de contrôle  et il constata qu’il n’y avait plus d’œdème,  alors ce fut le moment d’intervenir.

4 ans après l'opération

Le patient prit contact avec un autre chirurgien pour la libération de sa jambe. L’opération fut très vite faite et simple, il a suffit au chirurgien de couper la partie qui attachait le sarcome à l’os (le surplus d’os, groupe de luxe), qui pesait 4 kg. Le patient est resté 8 jours à l’hôpital  il est sorti en marchant normalement. Deux  mois après, la cicatrisation étant faite, sa jambe remusclée, il a repris ses cours d’éducation physique. Le patient ajoute: «Je veux dire merci au Dr Hamer», tout s’est déroulé exactement comme il l’a écrit dans ses ouvrages.
 

***

Remarque:
Si Monsieur T avait gardé sa petite boule au fémur, rien ne se serait passé. C’était un petit ostéosarcome sans rupture du périoste, totalement inoffensif (l’os était  devenu plus solide à cet endroit) .Cette petite grosseur provenait d’un coup reçu lors d’une chute à vélo étant adolescent. A partir du choc au fémur lorsqu’il est tombé du vélo, le cerveau (substance blanche) a lancé le programme biologique de régénération de l’os du fémur à l’endroit où le coup a été ressenti le plus intense, en formant un surplus d’os qui laisse une petite boule là où s’est produit le choc. Le cerveau ne fait pas la différence entre un coup psychique, biologique et un coup physique. Lorsque le chirurgien a fait une biopsie et de plus a gratté tout l’os du fémur, le cerveau a lancé le programme de régénération, mais à cause de la rupture du périoste cela a créé un ostéosarcome = un surplus d’os passant à travers le périoste et pénétrant dans le muscle.
C’est en cela qu’une biopsie est dangereuse pour le patient.
Aujourd’hui en voulant tout analyser, et dans ce cas analyser une calcification totalement inoffensive, on terrorise les personnes, et on crée des soi-disant maladies mortelles ou handicapantes comme le cas de ce monsieur.
La nature n’a que du bon sens que chacun peut comprendre, et que nous devons respecter.
 



Éperon calcanéen 

07.12.2009

En avril dernier, voici ce qui m’arriva. J’étais debout avec ma mère sur le petit pont qui enjambe le bassin de notre jardin. En regardant l’eau, j’aperçois un hameçon fiché dans la toile du bassin. Mon jeune fils s’était probablement adonné à son passe-temps favori en allant pêcher dans l’étang. Je fus prise d’une légère panique. La toile du bassin était percée, n’était plus étanche, l’eau allait s’écouler etc. … Penchée sur la balustrade, j’ai alors essayé de repêcher l’hameçon avec un bâton. Soudain j’ai perdu l’équilibre et le pont s’est incliné vers l’avant. En une fraction de seconde le pont s’est renversé totalement. La chance m’a fait tomber au milieu du bassin qui n’est pas très profond. Par contre ma mère se trouvait plus près de la berge et tomba sur les pierres du bord du bassin et se trouva bloquée avec sa cheville coincée sous le pont renversé. Je redressai aussitôt le petit pont pour libérer ma mère. Mais cela ne se passa pas si facilement. Je ne me souviens plus du détail, je ne sais que ce que ma mère m’en a raconté. Elle ne pouvait plus du tout bouger le pied droit et supposa aussitôt qu’il était cassé. Ce qui était le cas ; elle passa les semaines suivantes avec des béquilles.
Et naturellement je me faisais des reproches à cause de mon imprudence. Pour moi c’était clair : c’était de ma faute !!!! Ma mère marcha avec des béquilles jusqu’en juillet. A la fin septembre seulement, je réalisai que toute cette histoire était terminée depuis longtemps. Très peu de temps après, je ressentis de violentes et quasiment insoutenables douleurs sous le pied, dans la région du talon. Le matin au lever, je ne pouvais rejoindre la salle de bains qu’à cloche-pied. Je me consolais en constatant que plus longtemps je soulageais mon pied droit, plus les douleurs s’atténuaient.
Je me suis mise à ruminer et à creuser un peu la question.  Dans mon cas il ne pouvait s’agir que d’une chose ressemblant à un éperon calcanéen. Ici, c’est le calcanéum qui est atteint (donc cortex –mésoderme avec nécrose en phase active du conflit). Il devait donc s’agir d’une forme de dévalorisation de soi. Mais dans quelle direction fallait-il chercher ? Je me suis mise à reprendre les faits dans l’ordre. Je suis gauchère, le talon droit est atteint, donc voir du côté mère/enfant.  Avec mon fils tout était en ordre, mais pas du côté de ma mère ! Bien sûr que j’étais fautive dans l’histoire de son pied droit cassé. Naturellement c’était ça la solution de l’énigme ! Aussi bête et simple que ça !
 A partir de ce moment, je n’avais plus qu’à visualiser combien de temps me prendrait le processus de guérison. Un calcul rapide : DHS fin avril, durée du conflit jusqu’à fin septembre (bien que ma mère fût sur pied bien plus tôt, je ne le réalisai consciemment que vers la fin septembre). Cela fait donc 4 mois. Depuis, bien 2 mois et ½ se sont écoulés.  Les énormes douleurs du début se font de moins en moins intenses. Du fait que je peux reconstituer entièrement pourquoi tout ceci  est arrivé, il ne me viendrais absolument pas à l’idée de prendre ne serait-ce qu’une seule tablette d’antalgiques. Mon corps se guérit tout seul comme Mère Nature le fait déjà depuis des millénaires. La plupart du temps, les tablettes d’antalgiques ne font qu’interrompre la guérison, qui de ce fait, dure d’autant plus longtemps. Elle n’est pas géniale, la nature ???
A ce point de mon récit, je veux exprimer un immense remerciement au Dr Hamer pour son courage imperturbable, sa résolution sans faille. Il nous a fait le plus beau cadeau qu’on puisse faire à quelqu’un. Il nous a délivré de la peur. D’une pelote opaque et toute emmêlée a surgi soudain un fil clair et limpide, avec un début et une fin, sans ‘‘peut-être ou éventuellement’’. La vie de ma famille a énormément changé à travers la connaissance de la Médecine Nouvelle Germanique.
Un grand merci à vous aussi, bien sûr, Mr Pilhar, à travers vos séminaires, 
vous nous permettez chaque fois un peu plus, de nous approprier la Médecine Nouvelle Germanique, de même un chaleureux merci à notre ami Bert qui fait en sorte que la MNG tombe chez nous sur un sol fertile et qui fait que nous ne pouvons plus nous imaginer une vie avec la médecine d’école. 

De tout cœur, votre Sabine F.


***

Remarques
On peut vivre un conflit pour quelqu’un d’autre quand par exemple on se ‘‘sent fautif ’’. Dans le récit de ce témoignage, la fille a vécu une dévalorisation de soi qui s’est manifestée dans l’os à l’endroit où la musculature se rattache aux ligaments et ce pour la mère qui ne pouvait plus marcher à ce moment-là. 

N’est-ce pas fascinant ?

(Au reste, un animal, un chien par exemple, peut très bien vivre un conflit pour son maître. Que le pape de Rome prétende encore une fois que les animaux n’ont pas d’âme – ce… !)

Un exemple tout à fait parlant pour un éperon calcanéen.

La fille décrit également très bien la solution de son conflit qui n’intervient qu’au moment où elle ‘‘réalise consciemment’’. La mère marchait déjà depuis bien longtemps! Un bel exemple de ce que chaque être humain possède sa réalité propre dans laquelle le thérapeute doit être capable de se glisser. Il montre aussi à quel point il est difficile de simplement balancer une preuve sur la table devant des ignorants (‘‘Oui, bon ! Comment et pourquoi pas tout de suite ? Non, ça je n’y crois pas. ’’)

Comme j’aime quand les gens apprennent à comprendre par eux-mêmes !

Le jour où la Médecine Nouvelle Germanique sera devenue la norme, alors elle sera enseignée à nos enfants en cours de biologie. Il n’y a pas de connaissance plus importante que celle sur le fonctionnement de notre corps dans lequel nous passons une vie entière.

Et si d’aventure, nos enfants se retrouvent aux prises avec un conflit (ce qui est toujours possible), au premier symptôme, ils se souviendront aisément du conflit encore tout frais dans leur mémoire car survenu très peu de temps auparavant. Ainsi donc ils en connaîtrons tout de suite la raison. Un danger reconnu est un danger écarté. Ils sauront alors quoi faire. Ils sauront aussi combien de temps cela va durer. Et ils sauront enfin qu’il n’y a rien de méchant dans tout ça.

Nos enfants seront alors les chefs de leur affaire hautement personnelle et ni un thérapeute, ni aucun médicament ne s’interposera entre eux et leur santé.

Personne n’a le droit de gagner de l’argent avec la souffrance d’un patient. Et cette affaire toute personnelle, ne regarde ni les assurances, ni les employeurs et encore moins une autorité administrative.

Quand cette connaissance sera devenue un bien commun, il ne sera plus nécessaire d’avoir beaucoup de thérapeutes ni de beaucoup de cliniques pour la Médecine Nouvelle Germanique.

Les gens seront libres !
 



Polyathrite

Enquête d’investigation réalisée par le Dr R.G. Hamer, Dr en médecine, diplômé en théologie. 

Patiente de 42 ans - Droitière - Enfant de parents immigrés. 
Elle est arrivée à Hambourg et a fait des études universitaires.
Mariée depuis 10 ans et mère de deux enfants.

Elle passe son baccalauréat et intègre  la « Haute société » en se choisissant un ami qui pratiquait le golf. Elle cherche également à pratiquer le golf mais n’est pas très douée pour cela. En fait, elle récolte que des remarques désobligeantes de la part de son ami, par exemple : Tu tiens mal  le club (la crosse) -Tu positionnes mal ton pied, jamais tu n’y arriveras- Il serait mieux pour toi que tu abandonnes, car ce n’est pas possible.
Au bout d’un certain temps, elle quitte son ami joueur de golf car la situation lui devient insupportable. Elle prend  un autre ami, également de la « Haute Société », lui aussi golfeur mais dans la réalité,  sur le terrain,  Detlev manifeste la même arrogance.
Là-dessus, la mère fit son entrée. « Si tu veux garder Detlev, tu dois apprendre à jouer au golf coûte que coûte, même si tu n’est pas douée !
A partir de là nous pouvons  conclure que la relation mère/enfant s’intègre dans le  processus.
A l’âge de 26 ans, elle en a assez d’entendre les commentaires stupides et arrogants de Detlev sur ses piètres dispositions à jouer au golf. Alors, elle décide de prendre un ami juriste (du nom de Egon) dont elle admirait les talents de jongleur artistique, (il n’était  pas golfeur mais il s’est découvert tout aussi arrogant).
Dans un premier temps elle fut  heureuse de ne plus entendre les perpétuelles remarques désobligeantes sur son manque de talent de golfeuse, ce qui l’a conduit à la conflictolyse de son conflit  de joueuse de golfe maladroite. La main droite et le pied droit manifestèrent les symptômes d’une polyarthrite primaire chronique (PPC) avec rougeur, enflure et douleurs, essentiellement au niveau des articulations des doigts  et des orteils. Une manifestation légère à gauche (à cause du commentaire fait par la mère).
Finalement elle finit par épouser Egon le juriste, et ils eurent deux enfants. Au bout de quelque temps, elle constate  que l’arrogance de son admiré jongleur artistique de mari devenait aussi insupportable que celle des golfeurs Günther et Detlev. Seul le contenu était différent, nous appelons cela une « extension des rails ».

Extension des rails

La particularité en jeu ici est l’arrogance de son mari en tant que tel, qui lui rappelle inévitablement celle de ses ex-amis golfeurs Günther et Detlev, et il en est de même concernant les commentaires de sa mère : « même si tu n’a pas beaucoup de talents pour le golf… ». Les douleurs au niveau des pieds l’empêchent d’accompagner son mari dans les promenades que celui-ci affectionne, et provoquent à leur tour des problèmes dans le genou droit pendant les phases pcl  (tu es un canard boiteux) et elle se trouve aussi dévalorisée en tant que partenaire avec des douleurs dans l’épaule droite également pendant la phase pcl (tu es principalement malade).

Actuellement vous vous demandez, peut-on avoir une polyarthrite si on manque de talent pour le golf ?
Réponse : oui on peut.

Pour découvrir le conflit : il faut procéder comme lors comme lors d’une véritable enquête criminelle, et par-dessus tout avoir un solide bon sens et de l’empathie pour les patients.

Thérapie: 
La patiente voulait bien sûr connaître comment faire pour lutter contre sa polyarthrite florissante. Je lui suggère  d’envisager d’autres perspectives dans ses relations avec son mari, dans lesquelles il ne serait pas de la partie.
Exemple:

le mari est un juriste d’une arrogance cérébrale, dépourvu d’humour, mais qui a pour défaillance de ne pas savoir danser. Il  danse comme « un manche à balais ». Sa femme au contraire, danse comme une déesse. Alors je lui propose : qu’est-ce qui vous empêche d’organiser chez vous tous les mois un thé dansant. Toutes les convives admirent Terpsichore, la muse de la danse. Votre mari l’admire tout autant, surtout qu’en ce domaine il n’est pas bon.

exemple : genou droit et gauche
exemple: main droite

Cette idée a plu à la patiente et elle promit de se mettre immédiatement à l’œuvre. Elle ne peut pas changer l’arrogance de son mari, mais elle peut construire  la confiance en elle et cela est à sa portée.

Si l’on estime que le bon sens et la sagesse intelligente ne peuvent pas s’apprendre et que la plupart des personnes intellectuelles et cérébrales qui composent notre civilisation décadente sont incapables du moindre bon sens, malgré qu’elles suivent très bien leur chemin grâce à leur super intelligence, cela tient en échec notre optimisme de thérapeute.

***

Remarque
La polyarthrite est un SBS de dévalorisation de soi. Dans la phase active du conflit, il y a une nécrose de l’os (substance blanche mésodermique). C’est dans la phase pcl (solution du conflit) que se manifestent les douleurs. 
Dans le cas de cette jeune femme : les mains et les pieds du  côté droit du corps  ont été touché à cause du golf : dévalorisation provoqué par l’attitude du partenaire. Puis l’épaule et le genou droit, à cause des réflexions désobligeantes de son mari lorsqu’elle l’accompagnait dans ses promenades et le suivait difficilement à cause des douleurs. Le côté gauche à cause de la dévalorisation provoquée par l’attitude  la mère.

Il ne faut pas confondre, la polyarthrite et rhumatisme. (cf. livre/tableau traduit en français)

La polyarthrite est un SBS des os (substance blanche mésodermique). (Dévalorisation, nécrose sans douleur en phase active du conflit). Les douleurs surviennent en  phase de solution du conflit (pcl).

Le rhumatisme est un SBS du (maillage nerveux de l’épithélium pavimenteux du périoste phylogénétique). (Conflit de séparation brutale). Les douleurs apparaissent en phase active du conflit.
 



Douleurs aux genoux 

28.09.2010

Monsieur H.
Depuis environ 20 ans j’ai des problèmes aux genoux. En permanence, j’ai des douleurs. En 1994 j’ai consulté un orthopédiste. J’ai eu beaucoup de chance (cela je ne le sais qu’aujourd’hui) parce qu’il m’a expliqué que le cartilage de la rotule avait augmenté, c’est pourquoi il était endommagé. C’est inopérable par aucun médecin du monde et il me déconseilla toute opération. Il pourrait tout juste y avoir une légère amélioration, mais jamais de guérison. Je devais donc me débrouiller avec ma douleur. OK.
 20.04.2010 je tombais sur une page de votre site internet  sur un témoignage qui parlait de problème de genoux. Je m’y plongeais et lu que les problèmes aux genoux avaient quelque chose à voir avec une dévalorisation de soi à connotation sportive. Comme je ne suis pas, mais alors pas du tout sportif, au début je ne voyais aucune relation avec mes genoux.

Le lendemain, tout à coup les écailles me sont tombées des yeux:
Voici une vingtaine d’année, je jouais au badminton avec mon deuxième fils qui devait avoir 11 ou 12 ans, je ne sais plus très exactement. Il était très bon et après un match qui dura une heure, j’avais eu beaucoup de mal à le battre. J’avais grand peine à cacher mon état de fatigue. Lorsqu’à la fin nous sommes aller dîner, il me dit (ce petit merdeux): “Au prochain match, je te bats, mon vieux!”
C’est là que j’ai ramassé une veste sur le plan sportif. Les seuls que j’arrivais encore à battre, les jeunes enfants, étaient maintenant meilleurs que moi.
Lorsque je pris conscience de cette situation, les douleurs se multiplièrent d’un facteur 10. Je dormais mal quelques nuits, me sentais légèrement fiévreux et faible.
Aujourd’hui, le 27.04 je ne ressens plus de douleurs dans les genoux. C’est vraiment une sensation nouvelle. C’est comme si mes genoux étaient légèrement bandés, soit la guérison est encore en cours, soit c’est ainsi que l’on ressent des genoux sains.

Merci Dr Hamer.

***

Pilhar à Mr H:
Pardonnez-moi, mais à la lecture de votre témoignage j’ai ri de bon coeur. Il est très bien raconté et une illustration parfaite d’une dévalorisation sportive.
Il est intéressant de noter que vous avez souffert des deux genoux, ce qui veut dire que vous avez considéré votre “petit merdeux” non seulement comme fils, mais aussi comme un partenaire (un adversaire à prendre au sérieux) à ce moment conflictuel.
 


 

Mal de dos

Novembre 2010

Un matin, dans ma salle de bains, alors que je me penche légèrement au-dessus du lavabo, une vive douleur dans le milieu du dos m’oblige à me redresser.
Le mal empire au cours de la journée. Je ne consulterai pas de médecin.
Et pour cause, j’en ai fait l’expérience en 2007, un an après mon “cancer” du sein, pour un mal de dos au niveau du thorax. 

A l’époque, je n’ai pas le réflexe de me tourner vers la GNM, car cette science est nouvelle pour moi et je n’en ai pas encore évalué toute la dimension.
Je consulte donc, le médecin le plus proche. Je ne souhaite pas lui parler de mon sein, mais la cicatrice de celui-ci, n’échappe pas à son auscultation minutieuse.
Le regard inquisiteur, il m’interroge : “C’est quoi, ça ?”.
Mon mari intervient : “Ça... on ne touche pas.”.

Dans l’après-midi, l’IRM dorsale révèle un tassement de vertèbre.

Pour le médecin, ça coule de source, mon cancer s’est étendu.
Illico presto, il me propose une série d’examens. Un peu déstabilisée, je suis hésitante.
“Ne serait-ce que pour savoir où vous en êtes vous-même !” me dit-il.
Je lui réponds : “Je n’en vois pas l’utilité, hormis le fait de confirmer mon état, auquel cas, de toute façon, je ne suivrais pas de traitement”.
Il veut me convaincre : “Vous savez... ça peut monter très vite au cerveau... ce serait dommage de mourir d’un cancer à 51 ans”.
Ses paroles sont pires que mon mal. Elles me sapent le moral au point que je ne réagis même pas, quand il téléphone pour fixer les rendez-vous en vu des examens en question.
Je ressors de son cabinet, complètement anéantie.
Le lendemain, j’évalue la situation. Si mon état est aussi gravissime que le dit le médecin, autant laisser les choses suivrent leur cours.
Je prends la décision de me détourner radicalement de cette médecine.
Je cherche les explications de la GNM sur mon cas. Elles me rassurent aussitôt.
Je n’ai plus qu’à pendre mon mal en patience. Trois semaines plus tard, au mariage
d’un de mes neveux, je danse une grande partie de la soirée, sans plus me soucier de mon dos.
Voilà pourquoi, en ce matin de novembre, je n’irais pas consulter de médecin.
Mes connaissances sur la GNM étant plus approfondies, je sais maintenant que la douleur est signe de réparation. De même que sa localisation détermine la nature de mon conflit. Une dévalorisation centrale au niveau de ma personnalité, due à un ressenti, du genre : “l’œuvre de toute une vie est détruite...”.
En effet, c’est bien ce que j’ai ressenti, quelques semaines plus tôt.
Depuis près d’une vingtaine d’années, mon mari et moi sommes à notre compte, chez nous, à la campagne. Un rêve de toujours pour moi. Finalement, la routine s’installant, cet idéal de vie finit par ne plus en être un. Démotivés, notre chiffre d’affaire en subit le contrecoup. Une remise en question s’impose à nous. D’un commun accord, nous décidons de cesser notre activité. Financièrement, il nous faut rebondir vite. Aussi, quand quelques mois plus tard, un emploi se présente à mon mari, il en saisit l’opportunité. Un intermède pour moi, afin de mieux envisager un futur projet professionnel en commun.
Une page de notre vie est en train de se tourner... mais je ne le réalise pas.
J’en prends conscience, alors que j’entreprends de faire le ménage par le vide,
de notre local professionnel. Tout en jetant d’anciens documents, je me surprends à penser que je suis entrain de détruire 20 ans de travail. Cette prise de conscience en entraîne une autre, mon rêve de toujours est derrière moi... et devant c’est le néant. Qu’allais-je faire maintenant ?
Vers quoi allais-je me projeter ou nous projeter ?
Durant une quinzaine de jours, c’est la léthargie. Jusqu’au moment où, ayant sans doute fait le “deuil” de mon passé, je pose un regard différent sur ma vie et reprends confiance.
Je me sens bien. Quelques jours plus tard, le mal de dos survient.
Trois semaines sont passées maintenant et tout est rentré dans l’ordre.
J’estime avoir eu beaucoup de chance d’avoir rencontré les découvertes du Dr Hamer.
Ma reconnaissance est infinie.
J’encourage toute personne ayant bénéficié de cette science, à témoigner.
Seule façon de faire progresser les choses.
À titre de réflexion, j’ai lu un jour, que l’on avait la médecine que l’on méritait...
Merci à la GNM !

Marie