L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

Cancer du sein


La conviction la plus répandue dans la soi-disant médecine d’école est de ne pas perdre de temps à rechercher les causes, mais plutôt à combattre les symptômes.

Et c’est ainsi que toujours plus de poitrines sont mutilées, sans parler de la torture infligée avec les traitements de chimiothérapie et morphine.

Voilà ce que l’on propose aux femmes, qui pour la plupart, n’y survivent pas.

Environ 80% des diagnostics de cancer du sein relève dans un premier temps d’une ulcération (perte cellulaire) dans les canaux galactophores, puis s’en suit une  régénération avec inflammation, en phase de régénération.

Est-ce pour cette raison, que tant de femmes doivent mourir ? !

Le Dr Ryke Geerd Hamer a pris beaucoup de temps pour décrire dans ce livre les causes du cancer du sein. A la lecture des nombreux exemples cités, chacun peut maintenant comprendre  et ainsi les patientes atteintes de cancer du sein peuvent survivre dans 99% des cas !

Cela fait trente ans que le Dr Hamer a découvert les cinq lois biologiques de la nature®  qui constituent la Germanische  Heilkunde®.

Elle explique la genèse de toutes les “maladies” et permet ainsi une thérapie sensée, humaine et causale !

Pourquoi est-elle combattue sans merci et cachée à tout un chacun ? !
 

 Bref extrait du livre Brustkrebs (cancer du sein)
Le plus fréquent chez les femmes.

VOLUME ET ASYMETRIE DE LA POITRINE FEMININE

Souvent on me demande pourquoi certaines femmes ont une poitrine volumineuse, alors que d’autres n’en ont pas du tout.

Pour répondre à cette question, référons nous à la normalité biologique.

Une jeune fille/ femme n’ayant pas eu de conflit sexuel aura ses premières règles vers l’âge de onze ans. Chez les peuples proches de la nature, elle est en mesure de devenir mère « naturellement » à l’âge de douze ans. Par expérience nous savons qu’elles sont d’instinct, d’excellentes mères.

Dans notre société, il en est tout autrement.  Nos futures mères sont loin de leur vie biologique, étant à l’âge de  douze ans  assises sur les bancs d’école en  classe de sixième ou cinquième. Elles reçoivent un enseignement, un bourrage de crâne du matin au soir, mais pas seulement, car bon nombre d’entre elles sont déjà marquées par un conflit sexuel (côté gauche au cerveau). Elles sont donc frigides et se masculinisent en développant une corpulence avec des épaules carrées et un bassin étroit. Biologiquement parlant, elles sont mal formées, mi-femmes, mi-hommes. La plupart d’entre elles, entre douze et treize ans sont  en constellation maniaco-dépressive du fait d’un deuxième conflit (de territoire) au côté droit du cerveau  et ne voient leurs premières règles apparaître que vers treize ou quatorze ans.

Certaines d’entre elles, dès l’âge de cinq-six ans souffrent déjà d’un blocage au niveau du  relais sexuel (HH côté gauche au cerveau), par ex. jeu du docteur dans le jardin d’enfant. Dès lors, la fillette se développe comme un jeune homme.

Cela est plus complexe qu’il n’y paraît.

Jusqu’à présent aucun clinicien ne s’était intéressé aux feuillets embryonnaires, tel que j’ai pu le faire, c’est la raison pour laquelle on ne pouvait pas comprendre le rôle des hormones. On se contentait de dire, à juste titre d’ailleurs, que les hormones sexuelles sont produites par les ovaires, (œstrogène, progestérone) ce qui est exact.

En fait, les ovaires sont composés de deux parties distinctes, formées à partir de deux feuillets embryonnaires différents.

- La partie régie par le cortex issu du mésoderme appelée chez la femme ovaire  qui produit  les œstrogènes (hormone des règles), et appelée chez l’homme testicule  qui produit la testostérone.

En cas de SBS®, à partir de la phase post-conflictolytique, les kystes ovariens ou testiculaires se forment dans ces parties.

- la partie régie par le tronc cérébral (mésencéphale), appelée corps jaune de l’ovaire, produit la progestérone (hormone de grossesse). S’il survient  un SBS relatif à un violent conflit de perte, il se  forme alors un tératome. Les tératomes sont beaucoup plus fréquent qu’on ne le pense et sont dans la plupart des cas évacués sous forme de tuberculose (appelés abcès ovarien) la caverne devient alors difficile à identifier.

Chères lectrices, je ne veux pas vous fatiguer avec toutes ces particularités, cependant vous devez savoir qu’il existe trois tissus différents dans l’ovaire :

  1. Les quelques deux cent mille cellules germinales (haploïdes). Elles possèdent une séquence simple de chromosomes et s’unissent à une autre cellule haploïde de la semence masculine issue du sperme pour former une cellule (oeuf) diploïde avec une séquence double de chromosomes.
  2. Le tissu interstitiel. Il produit les oestrogènes. Les kystes ovariens après leur induration puis leur maturation en produisent plus. Les femmes paraissent plus jeunes de dix à vingt ans suivant la grosseur du kyste.
  3. Le corps jaune de l’ovaire. Il produit la progestérone (hormone de grossesse) elle accompagne la grossesse.

Les œstrogènes agissent sur la libido et préparent la femme pour l’union charnelle, alors que la progestérone œuvre pour la grossesse et à un effet contraire sur la libido.

L’effet des œstrogènes intervient au niveau des organes issus du tissu cérébral ectodermique et mésodermique, tout particulièrement sur la vulve, le vagin, le col de l’utérus, et la musculature striée des organes génitaux féminins, sur le rectum etc. mais aussi sur la peau externe (caresses) sur la bouche (baisers)  et également sur les canaux galactophores.

« La poitrine téléphone au vagin » disait mon épouse.

La progestérone œuvre pour la grossesse en ce sens qu’elle prépare la muqueuse utérine (régie par le tronc cérébral), épaissit la musculature utérine etc. mais également elle prépare les glandes mammaires pour le futur bébé, à savoir qu’elle les multiplie ! Raison pour laquelle les femmes enceintes ont les seins qui grossissent, mais aussi les femmes prenant la pilule car celle-ci contient aussi beaucoup de progestérone pour berner l’organisme en simulant une grossesse. Mais revenons sur l’évolution naturelle de la féminité, selon la normalité biologique, c’est-à-dire : l’innocence jusqu’à onze ans et la maternité à douze ans.

Une fillette abusée sexuellement (95 % des cas à l’âge de cinq ans) si elle est droitière avec un conflit à gauche au cerveau  ou gauchère avec deux conflits (à droite et à gauche au cerveau), c’est-à-dire en constellation, se développe jusqu’à onze ans, comme un garçon et ceci à cause du côté gauche du cerveau qui s’est fermé.

 

Voila comment se déroulent les faits :

1ère phase : jusqu’à onze ans, cette phase est régie par le cortex et le mésoderme de la substance blanche du cerveau.

La jeune fille a ses premières règles et devient une jeune femme (quatorze jours auparavant elle a eu une première ovulation).

Si la jeune fille a été abusée plus tôt (souvent au jardin d’enfant entre cinq et six ans) par d’autres enfants par exemple, ou qu’elle a vu un film porno en l’absence de ses parents, et si elle est droitière, alors il se passe ce que nous appelons : la fermeture du cerveau gauche.

Dès l’instant où il y a abus (conflit de territoire sexuel non biologique), le développement de l’enfant s’oriente vers la masculinité. Et plus le conflit arrive tôt (cinq et six ans), plus le développement est masculin. Tant sur le plan corporel, épaules sportives, carrées, bassin étroit, qu’au niveau  psychique, d’où un comportement guère différent de celui d’un jeune garçon du même âge ayant grandi sans conflit.

Si le conflit survient vers neuf ou dix ans, alors la masculinité n’est pas très développée.

Cette phase régie par le cortex est une phase durant laquelle la partie des ovaires qui produit les œstrogènes  prédomine.

2e phase : à partir de onze ans, la partie régie par le tronc cérébral est prédominante (corps jaune), elle produit la progestérone chargée de préparer et de mener à bien une grossesse. Du point de vue biologique, cette phase est accomplie dès l’âge de douze ans chez les peuples proches de la nature, puisque la jeune fille est déjà enceinte.

Cette deuxième phase ne peut se dérouler que biologiquement comme prévu par la nature, c’est-à-dire une grossesse, trois ans d’allaitement, de nouveau une grossesse, trois années d’allaitement etc. et ceci au sein d’une grande famille. À partir de là, la progestérone a la main haute sur les grossesses et l’allaitement. Tous les quatre ans uniquement, il y a une poussée d’œstrogènes avec ovulation lorsqu’un nouvel enfant doit être mis en route. L’accroissement du volume de la poitrine appartient bien entendu à cette deuxième phase.

Chez beaucoup d’animaux (ex. chiens, chats etc.) on peut observer de longues périodes sans allaitement, auquel cas le système mammaire se résorbe. Il en va différemment chez la femme ayant une vie biologique normale, du fait des courtes périodes sans allaitement, juste avant l’ovulation et la naissance du bébé.

Les seins de la femme restent presque constamment gonflés, même lorsqu’elle n’allaite plus depuis longtemps.

Il est inutile de vous entretenir de choses qui d’un point de vue biologique n’existent plus, car  de nos jours tous ces faits se déroulent à 99,5 % de façon non biologique, c’est-à-dire anormale.

Nous constatons aujourd’hui, que les jeunes filles, en raison de l’abus, se développent avec des allures masculines. De plus, les  gauchères en constellation avec deux conflits de territoire, restent souvent à un stade de développement de six ou sept ans tout au long de leur vie, deviennent des femmes-enfants, parce qu’à partir de onze ans tout s’est mis à tourner de travers, c’est-à-dire de façon non biologique.

La question qui s’impose maintenant, est de savoir comment va évoluer notre hybride, mi-femme, mi-homme, (tout en tenant compte des règles de la balance qui décideront si elle est en situation de manie ou de dépression) quand elle sera confrontée à un nouveau conflit de territoire, c’est-à-dire un deuxième pour la droitière, un troisième pour la gauchère. Et bien, elle sera en situation de constellation schizophrénique et verra ses règles apparaître. Ce qui n’existe pas chez les peuples naturels.

En effet, nous venons de le voir, une femme vivant biologiquement au sein d’un peuple proche de la nature, aurait tous les quatre ans, un nouvel enfant avec la première ovulation qui suivrait l’arrêt de l’allaitement et n’aurait pas de flux sanguin dû aux « règles ». Mais dorénavant, tout ceci est complètement en désordre. Nous ne voyons plus que des femmes immatures, vivre comme des adolescentes de treize ou quatorze ans. Et comme elles n’ont pas d’enfants avant l’âge de vingt-cinq ans (par grossesse elle pourrait gagner trois ans de maturité !) elles restent toute leur vie à ce stade de teen-ager, appelées Teeny ou femmes-enfants.

Il est important de savoir que la plupart des jeunes filles garçonnes (masculines) veulent avoir des relations sexuelles à l’âge de douze ans. Elles prennent donc la pilule, très riche en progestérone, qui .simule une grossesse qui n’est pas au rendez-vous. La muqueuse utérine est ainsi préparée puis de nouveau évacué car entre les séries de vingt jours avec pilules, il y a une semaine de pause.

Si une telle femme-homme accomplit l’acte sexuel avec son ami, il s’agit  d’un acte  plus ou moins homosexuel, malgré ses organes génitaux féminins. Suite au premier conflit lié à l’abus (chez la gauchère après le deuxième conflit), la femme n’a plus d’orgasme vaginal, mais seulement un orgasme clitoridien (comme avec le pénis).

Une dernière  chose : avec la pilule, la grossesse est simulée, nous savons que les trois premiers mois d’une grossesse sont en  sympathicotonie.

Avec ses deux conflits actifs en constellation, voire trois chez la gauchère, la femme au-delà de tout a maintenant une autre sympathicotonie due à la grossesse simulée.

Les femmes ne se sentent plus elles mêmes, elles sont malheureuses. En fin de compte la balance penche irrémédiablement vers la gauche et vers le bas : la femme sous pilule, en constellation à cause de son conflit sexuel, ne peux plus accéder à un orgasme vaginal, devient de plus en plus masculine à chaque rapport sexuel connoté homosexuel (seuls en jeu ; le pénis et le clitoris).

On a abusé et détruit des femmes magnifiques, elles qui sont au centre de la famille. On en a fait des « femmelettes », des adolescentes. Quelle désolation !

Avec ces femmes on voit bien que notre civilisation est en décadence, faisant d’elles des hybrides non biologiques et totalement malheureuses.

Copyright by Dr. med. Ryke Geerd Hamer

 

Témoignages

Cancer du sein (adénoide) 

Cancer de la glande mammaire gauche - Conflit grand-mère /petite fille

Elia, soixante-neuf ans - Droitière,
Elia, heureuse grand-mère, reçoit pour les vacances, depuis qu’ils ont l’âge de sept ans, ses deux petits enfants, Aurélie  et Paul. Elle habite la campagne (à deux cent km du domicile des parents), et les enfants peuvent s’ébattrent dans la nature.

Jusqu’à l’âge de neuf ans tout allait bien. Vers l’âge de dix ans la petite fille devient désobéissante et agressive avec la grand-mère, mais celle-ci le prend bien, car elle essaie de l’éduquer en lui  expliquant chaque fois ce qui est autorisé ou pas, et Elia sait que tous les enfants ont parfois un passage difficile. 

Toutefois, la petite fille répète à sa maman que la grand-mère est méchante avec elle. En mai 2010 quand la fille d’Elia lui rapporte les dires d’Aurélie, la grand-mère fait un choc (DHS®).  Elle vit mal le comportement de la petite fille, et se demande pourquoi elle est perçue comme une mauvaise grand-mère.  Elle décide de parler avec sa fille mais celle-ci lui répond « tu sais que j’ai une grande confiance en toi, et Aurélie c’est une gamine ». Mais la grand-mère se préoccupe pour sa petite fille.  Elle vit cette situation seule, car dit-elle « ma fille ne se préoccupe pas,  mais j’ai peur qu’Aurélie tourne mal plus tard » 

Comme les années précédentes, début juillet 2011 Aurélie, onze ans et son frère viennent passer les vacances d’été chez la grand-mère. Avec le petit garçon il n’y a jamais eu de problème.

Au milieu de  la  première semaine de juillet, la petite fille fait une crise de colère terrible. Après avoir essayé de frapper la grand-mère, elle s’enfuit de la maison pendant toute une  après midi. Elia a un moment de panique et  part à sa recherche, ayant peur qu’Aurélie se perde dans le bois. (En vain.)  Elle décide alors de  l’attendre car elle connaît bien sa petite pensant qu’elle avait fait exprès pour lui faire peur. C’est ce qui s’est avéré juste… Au bout d’environ trois heures, la petite revient, comme si rien ne s’était passé (elle s’était rendue simplement chez la  voisine à deux cent mètres de la maison, disant à  celle ci qu’elle voulait jouer à la balançoire avec son fils, alors la voisine ne s’est pas inquiétée et n’a pas averti Elia pensant qu’elle était informée) 
La grand-mère l’accueille les bras ouverts, en lui offrant un petit goûter mais son frère lui dit : « tu sais mamy a eu très peur » ! 

Elia raconte que ce jour-là, l’attitude d’Aurélie dépassait tout entendement. Elle, qui faisait tout pour que sa petite soit heureuse, ne comprenait pas. Elle avertit sa fille (la mère de la petite), qui ne la  prend pas au sérieux, et lui dit « Maman ! Tu connais Aurélie ! »  Mais durant les jours qui suivirent et jusqu’à la fin des vacances  elle  vécut vraiment mal la présence de la petite fille, ayant toujours peur qu’elle parte, et faisait tout pour éviter qu’elle se mette en colère. D’autre part elle ne devait pas non plus lui passer tous ses désirs, car elle avait un devoir d’éducation.
Cependant, Elia connaissait très bien la situation des parents d’Aurélie qui  ne s’entendaient pas. La petite vivait mal ce conflit parental alors que son frère ne ressentait pas les disputes des parents aussi fort que sa sœur. Aurélie avait toujours peur que ses parents se séparent, et peur de ne plus voir l’un ou l’autre. C’est ce contexte familial qui la rend  fragile. Elia décide dans un premier temps d’aller se promener avec Aurélie et de lui parler de ses parents, mais elle ne voulait rien entendre, et refusait les propositions de sa grand-mère.

Elia avait une très petite boule au sein gauche depuis l’année 2010, mais ne s’en était pas inquiétée car elle n’évoluait pas. Elle s’aperçoit au début septembre 2011 que cette boule avait grossi. En octobre 2011 elle ne grossit plus mais se durcit, et c’est ce durcissement avec un peu de douleur qui l’a interpellé. Immédiatement elle a pensé au conflit avec la petite fille. En fait la petite fille étant rentrée chez ses parents, fin août, la grand-mère s’est senti tout à coup soulagée et donc  a solutionné. Ce durcissement est l’enkystement de la « tumeur ». 

La grand-mère, très consciente de ce qui lui arrive, décide de ne rien faire, de garder son sein en l’état… Elle souhaite que toutes les femmes qui ont un « cancer » du sein, comprennent que ce n’est pas dangereux mais que cela a du sens.  Elle ajoute : «  mon organisme a fabriqué plus de sein, donc plus de lait pour  nourrir ma petite fille,  qui souffrait et que je voulais  sauver. Ce Programme Biologique de la nature® lié au sein va favoriser une meilleure harmonie familiale. »

Merci Dr Hamer, merci pour la découverte de la  Germanische Heilkunde® qui est  l’espoir de toute l’humanité, et pour mon cas l’espoir des femmes, car plus aucune d’entre nous ne doit avoir peur de ce cancer, et  ne doit plus jamais être mutilée, ni détruite par la chimie ou brûlée par les radiations.

Glande mammaire gauche (carcinome adénoïde)

 

 

Multiplication cellulaire (tumeur), en phase active du  SBS.

En même temps,  il y a une rétraction du sein. 
Dès l’arrêt du conflit la multiplication cellulaire cesse.

© Dr med. Mag. theol Ryke Geerd Hamer®



Cancer du sein de Madame Catherine R.

Le 28 novembre 1989, le ciel m'est tombé sur la tête, lorsque j'ai découvert, recroquevillé sur le sol de sa cuisine, le corps de ma mère, que j'avais ramenée chez elle l'avant-veille en pleine forme.

Devant ce tableau si inattendu, mon premier réflexe a été de la prendre dans mes bras pour la porter sur son lit. Au contact de ce corps, dur, lourd et froid comme le marbre, mon propre sang s'est glacé et tout ce qui m'entourait a semblé disparaître. Je me suis sentie déconnectée du réel. J'étais enfermée dans un cauchemar !

Bien qu'exécutant les gestes de la vie de tous les jours, je suis restée des mois sans pouvoir parler de ce que j'avais vécu à ce moment-là.

Aucun membre de ma famille n'a pu voir le corps de ma mère, mis en bière rapidement car la mort remontait à quarante huit heures. J'ai donc porté seule tout ce temps ce sentiment profond d'une grande déchirure. Ma mère m'avait été arrachée.

A chaque fois que je voulais raconter la scène, ma gorge se nouait, j'avais les larmes aux yeux, j'étais bloquée, je n'arrivais même pas à pleurer et je revivais cette scène atroce nuit et jour, avec le remords de n'avoir pas été là au moment crucial du départ de ma mère... Et puis peu à peu le temps a fait son œuvre, l'horreur de ce souvenir a fini par s'estomper à force d'être ressassé.

Pendant tous ces mois où je n'existais plus, j'agissais comme un automate, je me regardais sans me voir, jusqu'au jour où de mon sein droit s'est mis à couler un liquide brun, c'était en décembre 1990.

Une fatigue extrême m'anéantissait. En me levant le matin, je me demandais comment je viendrais à bout de la journée qui commençait, et si l'image de ma mère morte s'estompait, un autre cauchemar se dessinait, celui de ne pas pouvoir faire face à l'éducation de mon fils qui avait alors quatre ans.

D'un tempérament plutôt combatif, j'ai lutté pendant des années, contre la fatigue, contre les médecins, leurs analyses, leur ignorance, leur désarroi devant cette maladie qu'à l'évidence ils ne comprenaient pas. 



Cancer du sein droit (canaux galactophores) (ductal)

Liliane quarante ans,  droitière - mariée -  deux enfants.

En mars 2005, elle apprend que son mari a fait une rencontre avec une autre femme plus jeune. Elle fait un choc (DHS®) « cette jeune femme est en train de me prendre mon mari. »
Pendant quelques semaines, elle ne lui en parle pas, espérant que son mari le lui avoue. Mais rien. Alors en avril  elle décide de lui parler.
Cette discussion, elle l’a vécue de façon terrible, car elle a ressenti que cette jeune femme lui prenait son mari qui en était totalement amoureux. 
Elle fit tout pour essayer de le séduire et de le garder, mais en juin, il partit s’installer avec la jeune femme.
Pour Liliane ce fut très dur, mais la séparation s’est déroulée à l’amiable, son mari ne lui a pas fait de tort, ce qui a adouci la rupture. 
Fin janvier 2006, elle s’aperçoit  subitement  en faisant sa toilette que son sein droit est gonflé, douloureux, rouge et démange beaucoup.
Elle consulte son médecin, qui lui dit : « oh ! Madame il faut faire vite, vous avez un cancer fulgurant et si vous ne vous faites pas soigner immédiatement, dans 3 semaines vous êtes morte » !
Ce pronostic la terrorise, elle pense à ses enfants… 
Puis elle en parle à  une collègue de travail qui lui dit : « tu devrais consulter ailleurs, pour avoir d’autres avis ». Et la collègue lui prête  le livre du Dr Hamer…
En lisant ce petit ouvrage,  Liliane comprend, et  se dit : « je suis donc en phase de réparation, alors je vais attendre que mon sein diminue, il n’y a rien d’urgent, et je verrai si ce que dit le Dr Hamer se vérifie. »  Au bout de trois semaines, des écoulements de liquide sanguinolent s’évacuaient par le  mamelon, son sein devenait moins douloureux, plus souple et diminuait petit à petit. Au bout de quatre mois il restait seulement une légère déformation, et Liliane se sentait très bien… 

A ce moment là, elle consulte son médecin traitant, qui est stupéfait. Il lui dit : « je vais vous faire une échographie par sécurité ». Il constate alors que son sein avait des microcalci-fications. A nouveau il lui met le doute, mais elle est restée tranquille car dans les livres du Dr Hamer, il est écrit que les microcalcifications sont les cicatrices des canaux galactophores totalement inoffensives.
Aujourd’hui en 2011, «  je vais bien » dit-elle, « mon sein est un peu déformé, mais ne me gène pas du tout, et j’ai même refait ma vie avec un autre homme. Je suis heureuse, et bien en vie. Merci Dr Hamer ».

***

Liliane a vécu un conflit de séparation : « mon partenaire m’est arraché de mon sein ».

Dans la phase active du conflit, il n’y a pratiquement pas douleur ni de déformation au niveau du sein. Il se produit  une ulcération étalée à l’intérieur des canaux galactophores, afin de favoriser  un plus grand débit de lait, pour «nourrir » au plus vite le partenaire.

Dans la phase de solution du conflit, il y a une régénération des canaux galactophores. Le gonflement passager est dû à la régénération des ulcérations des canaux. Ce que l’on nomme microcalcifications, sont des cicatrices inoffensives.

 Sein droit – Canaux galactophores

(Cancer ductal, le plus courrant chez les femmes)

Photos  illustrant les phases du déroulement des SBS - les images sont manquantes



Cancer du sein et la blonde

Par Silvia H, Allemagne
 
Bonjour, 
C’est par l’entremise de ma belle-soeur Martina K, qui a participé à votre séminaire sur la Germanische Heilkunde® à Pocking (Allemagne), que j’ai entendu parler pour la première fois de la Germanische Heilkunde® du Dr. Hamer. 

Au début, cela m’énervait quand Martina m’en parlait. Mais, depuis qu’elle m’a décrit, d’une manière digne de confiance, très sérieuse et ‘’plausible’’ ce qu’était la GNM, j’ai accepté d’en faire «  l’expérience », c'est-à-dire un diagnostic selon la Germanische Heilkunde®. Bref, je me suis plongé dans votre site Germanische Heilkunde® j’ai étudié le matériel rapidement…et j’ai commencé à comprendre comment mon corps fonctionnait. 

Brève  description de l’histoire de ma maladie : 
En septembre 2003, durant un contrôle de prévention du cancer, on m’avait découvert une bosse au sein droit. Mon médecin m’avait donné un rendez-vous, deux jours plus tard, pour une mammographie et il m’a dit que je devais poursuivre rapidement par un examen médical (celui-ci avait lieu le même jour où j’avais parlé avec Martina de la Germanische Heilkunde®). La mammographie a confirmé : cancer du sein ! Au début je ne voulais pas le 
croire. Ils ont voulu faire une biopsie le jour même, afin d’établir si la tumeur était bénigne ou maligne. J’ai refusé la biopsie, car je voulais poursuivre avec la Germanische Heilkunde®. Ce n’a pas été facile de me libérer des « griffes » de la médecine, mais j’ai réussi.

Et là, j’ai commencé ma propre thérapie ! Premièrement, j’ai identifié mon conflit…

  • je suis droitière
  • la grosseur se situe dans mon sein droit
  • je ne prends aucun médicament ( pas de pilule)
  • mes mains sont chaudes
  • je ne suis pas ménopausée (quarante deux ans)

Ce qui voulait dire qu’il fallait chercher un ‘’conflit concernant le partenaire’’, mais au début je n’en ai trouvé aucun. Ma relation allait bien et au travail tout était correct à cette époque-là. Je ne savais pas par quoi commencer et qu’est-ce que je devais chercher ?
Je me suis remis en question et finalement j’ai trouvé. Mon journal m’a aidé à réaliser que dans le passé j’avais eu des difficultés avec mon partenaire, 
Mon conjoint et moi travaillons dans la même succursale de banque, séparés par quelques pièces. Un jour, une nouvelle collègue, très jolie,  blonde,  entre en scène, Elle est très professionnelle, et pour le département c’est un réel avantage. Au début, tout allait bien. Mais ensuite, sont arrivés ces séminaires ‘’géniaux auxquels mon conjoint et cette jolie blonde devaient participer. À ce moment-là, j’étais en service à la succursale et je ne pouvais pas assister avec mon conjoint. À son retour, il m’a raconté, très excité, combien le tout avait été ‘’merveilleux’’. Avec le temps, je ressentais de l’antipathie envers la collègue blonde. Je ne savais pas pourquoi – en fait, je n’avais aucune raison d’être suspicieuse. Mais j’avais un étrange sentiment. Je savais qu’il fallait clarifier la situation d’une manière ou d’une autre. Malgré que je faisais confiance à mon partenaire, je pensais qu’il n’était peut-être pas capable de résister aux charmes de cette femme. Je lui ai parlé de la situation plusieurs fois, en le faisant comprendre que j’avais peur de le perdre. Mais, il me mettait toujours à l’aise, en me rassurant que tout était correct. La blonde n’a jamais été au courant de mes peurs. 
Tout cela a duré cinq mois puis,  elle est déménagée et partie définitivement ! Elle a été transférée dans une autre ville et nous a dit, lors de ses adieux, qu’elle allait se marier bientôt. 
Le conflit était résolu et maintenant je reconnais mon ‘’rail’’. 
Quelques années auparavant, mon amoureux de l’époque m’avait quité à cause d’une femme blonde. Je soupçonne que depuis, je vis toujours un conflit à l’égard des blondes. 

Retour à  l’histoire de ma maladie : 
J’ai été en phase de conflit actif pendant cinq mois (l’autre femme a été avec nous de janvier  à mi-août 2003). 
En septembre 2003, j’ai reçu le diagnostic de cancer du sein (selon la médecine d’école)
et en même temps, j’ai connu la Germanische Heilkunde®.
En janvier 2004, j’ai eu un autre examen pour mon cancer du sein. Le résultat :
non cancéreux  !
Je suis sceptique de nature. Mais j’ai appris par moi-même que la Germanische Heilkunde®  est uniquement digne  de respect et de grande estime ! 
J’espère qu’avec vos présentations, vous allez réussir à ouvrir les yeux de beaucoup de monde et de leur faire comprendre la Germanische Heilkunde® de façon à ce qu’ils puissent échapper à la folie de la médecine d’école. 
Je suis extrêmement heureuse de connaître la Germanische Heilkunde®.
Avec toute ma gratitude, 



Grosseur au sein de Madame Régine P. 

En juillet 1995, je ressens une grosse et intense fatigue. Envie de dormir, dormir sans pouvoir me réveiller la journée.

Un jour en faisant ma toilette, je découvre une grosseur au sein droit. 
Je prends un rendez-vous chez mon médecin traitant. Après l'auscultation, il me conseille de faire des mammographies. Ce que je fais. Mon médecin regarde les clichés, n'arrive pas du tout à définir ce que j'avais, me fait un courrier pour le cancérologue, un éminent professeur, spécialiste.

La consultation chez ce spécialiste fut minutieuse, et s'est déroulée dans un silence total. Puis, il observe les radios et me dit « si vous ne vous faites pas opérer tout de suite, dans un an vous êtes morte ! Je panique, folle d'angoisse. Il me demande de retenir tout de suite la chambre. Celle-ci fut retenue à la date du 28 novembre 1995 pour l'intervention chirurgicale.

Une fois rentrée chez moi, j'en parle à un ami thérapeute qui me dit de ne pas paniquer et m'a donné l'adresse de Madame Andrée Sixt, qui connaît la Médecine Nouvelle du Dr Hamer.

Andrée m'a reçue alors que j'étais totalement bloquée par la peur. Après un entretien solide, et précis, accompagné de la lecture d'un scanner cérébral, je suis repartie complètement transformée, j'ai compris ce qui a provoqué mon cancer et je devais solutionner mon conflit avec mon mari. Effectivement mon époux est gendarme, et la vie n'est pas facile, car son rôle familial est très délaissé.

Notre relation entre mon mari et moi est totalement différente aujourd'hui, tout est mieux synchronisé, car il a compris qu'il était important pour un bon équilibre du couple et de la vie tout court, de prendre le temps de partager et de faire des activités ensemble.

Vive la Médecine Nouvelle ….. c'est urgent……les malades attendent !

Régine P.
 



Nodule en régénération des canaux galactophores, c'est-à-dire carcinome mammaire intraductal)

14.03.2009

Je vis principalement en Thaïlande depuis dix-huit ans et suis marié à une Thaïlandaise. Nous avons adopté une fille depuis sept ans, nous ne pouvons pas avoir d’enfant.
L’an passé, j’ai dû faire un séjour de huit mois en Allemagne ce qui, pour mon épouse, a été une période assez stressante. Mais, je ne pouvais pas faire autrement, car j’avais des choses à régler dans mon pays d’origine. Entre autres, il me fut possible de suivre un exposé et un séminaire de base de la Germanische Heilkunde®. J’étudie cela depuis quatre ans et j’en suis complètement convaincu.
Il y a quatre semaines, mon épouse s’est plainte de douleurs au sein gauche et m’a laissé tâté ce nodule qu’elle sentait depuis quelques jours. Elle pensait devoir se rendre immédiatement chez le médecin pour clarifier cela. Je lui ai patiemment expliqué le déroulement d’un cancer du sein ce qui eut déjà pour effet de calmer son angoisse. Nous sommes partis ensemble à la recherche du conflit qui était là dessous. 
Mon épouse étant droitière, il pouvait s’agir d’un conflit, soit avec la mère, soit avec l’enfant. Nous étions convenus avant mon départ de faire venir sa mère à la maison parce que celle-ci avait de gros problèmes de reins et, afin qu’elles puissent ensemble modifier son alimentation.  Cette modification fut un vrai succès. La santé de la mère s’améliorait constamment. Et pourtant, en septembre, c'est-à-dire après quatre mois, sa mère a décidé de retourner vivre dans sa maison natale, où évidemment elle retrouvait la nourriture traditionnelle.  Mon épouse ne pouvait vraiment pas se faire à cette décision.  Elle a alors décidé, pour un certain temps, de prendre de la distance par rapport à sa mère. C’était la meilleure chose à faire puisqu’elle lui permit de résoudre le conflit en cours. Ce n’est donc pas étonnant que vers janvier, février,  sont apparus les symptômes.
quatre semaines après notre conversation, elle remarquait que le nodule diminuait de grosseur et que les douleurs avaient bien diminuées après environ deux semaines. Elle était vraiment très heureuse de la tournure des choses. Aujourd’hui, on sent à peine le nodule qui, elle le croit fermement, finira par disparaître, c’est à dire qu’il ne posera plus aucun problème.  
Que l’on songe à ce qui se serait passé si elle était allée consulter les cancérologues. D’abord le choc à l’annonce du diagnostic, puis la thérapie, il y avait de quoi mouiller les mouchoirs !
En Thaïlande, la population est quasiment entièrement soumise à la médecine d’école. Il faut dire que les méthodes de thérapies traditionnelles étaient interdites jusqu’à il y a quinze ans en arrière, ce qui a permis un lavage de cerveau tout à fait réussi sur plus de cent ans.  
Je suis éternellement reconnaissant d’avoir pu connaître la Germanique et j’ai pu voir par moi-même les répercussions positives de cette connaissance des processus biologiques. Je suis persuadé que la Germanische Heilkunde® aura une part importante dans les changements décisifs qui affecterons le monde dans peu de temps, dans un sens plus humain, où à l’avenir les orientations matérielles ne jouerons plus qu’un rôle de second ordre.

Hermann Krause

***

Remarques:

Un grand merci à Mr Krause pour ce témoignage et aussi de signer de son nom.
Mme Krause n’a pas d’enfants. La fille adoptive est, la plupart du temps, ressentie comme un partenaire, pour autant qu’elle n’ait pas été adoptée très jeune quand c’était encore un bébé. Donc il ne reste que la mère, comme l’a établi Mr Krause. 
Le conflit lui-même devait, selon toute vraisemblance, être un conflit de séparation, qui touche les canaux galactophores. Mme Krause semble avoir solutionné son conflit de séparation avec sa mère, au début de l’année, puisqu’elle remarque alors les premiers symptômes qui, trois mois plus tard, ont totalement disparus. Cela semble bien correspondre avec la durée de la phase active du conflit, c'est-à-dire au moment où sa mère est partie en septembre. Pendant la phase active du conflit, il y a une  ulcération de l’épithélium pavimenteux (issu de la peau externe) des canaux galactophores, qui n’occasionne pas de douleurs. 
S’il s’était agi d’un conflit de soucis qui affecte les glandes mammaires, qui lui aussi, occasionne des douleurs pendant la phase de régénération, le nodule serait apparu (multiplication cellulaire) au début de la phase active du conflit, au moment du départ de la mère, ce qui n’était pas le cas ici.
Souvent on ne parle que de « cancer du sein » et le patient de la médecine officielle ne sait pas lui-même quel tissu du sein réagit ainsi. Maintenant, sur le plan des organes et peut-être sans radiographie, avec seulement  la palpation du sein, trouver le tissu en cause et donc conclure de quel SBS® il s’agit, n’est pas toujours simple. Et dans la Germanische Heilkunde® ce n’est pas non plus toujours aisé.
Le thérapeute de la Germansiche Heilkunde® tient toujours compte des trois niveaux.
-Au plan de la psyché : il recherche le conflit et quand il le trouve, il cherche la solution – au cerveau : au scanner cérébral on voit tout de suite de quel tissu il s’agit, donc quel SBS est en cours, si le conflit est actif ou solutionné, et/ou s’il s’agit d’une récidive  - plan des organes : le thérapeute s’appuie bien entendu, sur des radiographies, des IRM, des analyses du sang etc. Et le déroulement sur les trois plans doit toujours correspondre, alors le thérapeute sait qu’il est sur la bonne piste.
Avec cette façon de procéder, la Germanische Heilkunde® procure un diagnostic d’une sûreté incomparable.
Ce qui doit toujours être pris en considération, se sont les « rails » éventuels, qui provoquent toujours des récidives du SBS®, les rendant chroniques. 
Il se pourrait éventuellement que Mme Krause réagisse avec son SBS au prochain départ de sa mère. S’il en était ainsi, la connaissance que nous avons des tenants et aboutissants ferait déjà qu’on ne retombe pas dans la panique. Ou alors que l’on salue ces rails par un sourire tout à fait conscient. Quand on connaît déjà l’agitation désordonnée du «petit père fouettard», les choses sont beaucoup moins tragiques. 
Moi-même, je ne suis pas un thérapeute, je me suis familiarisé avec la Germanische Heilkunde® depuis des années à travers la lecture et pense avoir compris une chose ou l’autre. Comme moi, vous pouvez, cher lecteur, faire de la Germanische Heilkunde® votre passe-temps favori. Avec le temps on apprend le langage des organes ! Ce n’est pas si difficile.



Peur bleue de Monsieur André H. 

Depuis 1991, je suis venu plusieurs fois par an rencontrer une personne de l'association ASAC à Chambéry, et j'ai rencontré particulièrement Madame Andrée SIXT. La plupart du temps, je venais accompagner un ami, une amie, une parente, un parent, qui était malade, voulait connaître et comprendre les découvertes du Dr HAMER.

Chaque fois, je suis revenu chez moi, plus convaincu que la fois précédente, que ce que le Dr HAMER disait était vrai et logique. L'impression, certes, qu'il restait des zones d'ombres, des pistes à creuser, mais qu'en gros ces découvertes représentaient un vrai TRESOR pour l'humanité et que c'était inexplicable, incroyable, quasi-criminel que les autorités officielles, non seulement n'aident pas le Dr HAMER, mais cherchent à l'empêcher d'exploiter un tel trésor!

Aujourd'hui, nous remercions spécialement l'Université de TRNAVA, Bratislava, ses professeurs qui ont vérifié cette Médecine Nouvelle. Les malades ont un besoin urgent de ces découvertes scientifiques pour guérir.

Je vous présenterai deux témoignages.

Le premier me concerne personnellement.
Un jour où j'étais venu pour évoquer avec Andrée les maladies de la prostate, alors qu'elle examinait un scanner de mon cerveau, celle-ci me dit : "Vous avez dû avoir des problèmes avec l'eau ou un liquide !". Je lui répondis que j'étais très étonné qu'elle me dise cela. Certes je ne suis pas un fanatique de la piscine, ni même des bains de mer, mais je ne voyais pas en quoi l'eau pouvait être un élément perturbateur dans ma vie ! Ce jour-là je me suis dit que dans ce que me disait Andrée SIXT, il y avait quand même des choses qui ne correspondaient pas bien à la réalité...

Or, à quelque temps de là, en parlant avec ma femme, j'ai découvert tout à coup que dans ma vie il m'est arrivé deux fois une vraie panique, ce qu'en français on appelle une "peur bleue", à cause de l'eau.

Le premier cas s'est passé en Tunisie alors que je me baignais dans la mer avec des amis. Deux femmes de mes amies ont failli se noyer sous mes yeux. Nous ne nagions pas très loin du bord car il y avait de grandes vagues. Or, à un certain moment, du fait d'une sorte de barre qui nous repoussait violemment vers le large, j'ai crû que je n'arriverais jamais à rejoindre le bord. Après m'être débattu comme un beau diable, j'y suis quand même parvenu. Et en voulant alerter les autres personnes, dont ma femme, qui étaient avec moi, je me suis rapidement rendu compte que deux de nos amies ne parvenaient pas à lutter contre cette fameuse barre et personne parmi nous n'était assez bon nageur pour leur porter secours. Il n'y avait sur la plage qu'un couple qui n'a pas daigné répondre à mon appel. Je me suis mis à courir vers un groupe de militaires qui se reposaient à quelques centaines de mètres de là. J'étais tellement affolé que mes jambes se dérobaient sous moi. Je me voyais déjà annoncer à leurs maris la mort des deux jeunes femmes.... Finalement, quand je suis revenu, ces deux amies avaient été secourues... mais quelle émotion !

Le deuxième cas s'est passé dans un vieil immeuble de Lyon où nous aménagions un appartement que nous venions de louer au 2e étage. J'étais dans la cour, quand j'entendis un neveu, qui utilisait une perceuse, me crier : "çà coule ! "J'ai d'abord crû qu'il s'était blessé et que c'était du sang qui coulait... En fait, il avait percé une canalisation d'eau. L'eau, qu'il essayait de retenir avec sa main, envahissait déjà l'appartement. Je vais fermer le robinet du compteur d'eau. Mais l'eau jaillissait toujours aussi fort. Je commence à courir comme un fou, d'abord prévenir nos voisins d'en dessous (joli cadeau d'arrivée que nous leur faisions !), leur demander où était le robinet d'arrêt de l'immeuble.

Ils pensaient qu'il était dans les caves, le plus sûr était de demander aux gardiens qui habitaient au cinquième étage, mais ceux-ci étaient absents.

Les caves ne comportaient aucun éclairage électrique. Je découvre quand même quelques robinets que je ferme les uns après les autres... et ça coulait toujours ! Finalement ce sont les services de l'eau de la ville et des pompiers qui nous ont secourus. Ce jour là j'ai encore su ce que c'est que d'avoir les jambes coupées par la peur....de l'eau !

... Et quelques années après, Andrée SIXT lisait la marque de ces conflits avec l'eau encore inscrite sur le scanner.

Deuxième témoignage : il concerne ma fille.
Voilà deux ans environ, en 1997, alors que ma fille venait d'avoir 20 ans, elle est alertée par sa gynécologue, sur une grosseur au sein. Tout en cherchant à ne pas trop l'inquiéter celle-ci lui recommande d'accepter de faire une analyse et d'envisager éventuellement de se faire enlever cette grosseur, cette "boule". Elle ajouta : "A votre âge cela est sûrement sans conséquences et aujourd'hui, ce genre d'opération se passe très bien".

Ma fille décide alors d'en parler avec Andrée SIXT. Celle-ci lui pose d'abord deux questions précises : "De quel sein s'agit-il, le droit ou le gauche ? et quelle est la taille de cette "grosseur" ?

Réponse : "Sein droit et environ 4 cm de diamètre". - Etes-vous droitière ? - Oui. En effet cela s'est vérifié avec le test d'applaudissement. - Alors vous avez certainement vécu récemment un conflit avec un partenaire ; vous avez peut-être un fiancé ? - Je viens de rompre, en effet, avec un ami, et pour moi la rupture n'est pas un conflit...... - Vous avez eu sans doute un conflit avec lui, et il s'est peut être réglé par la rupture ? Si c'est le cas, la boule ne devrait plus grossir, et à votre âge même régresser, voir disparaître. Mais ce n'est vraiment pas grave.. . Vous avez fabriqué du sein en plus ! Le sein est ce qui attire le regard du partenaire. Si celui-ci ne vous regarde pas suffisamment, s'il ne vous comprend pas ou ne se rend pas compte de ce qui ne va pas, le sein droit, pour les droitières va grossir, pour que l'autre vous remarque. C'est un moyen de la nature d'attirer l'attention, et non une maladie. Andrée SIXT ajoute : "normalement, pendant la phase active du conflit, la grosseur se développe à raison d'un cm tous les 7 mois environ". Et bien, répond ma fille, j'ai "vécu" avec ce garçon pendant environ 2 ans et demi, mais au bout de 6 mois, (je ne m'en suis rendue compte que plus tard), ma relation est devenue de plus en plus lourde à porter, par l'incompréhension.

En septembre 1998, un an après avoir bien compris son conflit, qui s'était terminé avec la rupture d'avec son ami, lors d'une nouvelle radio du sein, la radiologue dit à ma fille : "Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais votre fibro-adénome, il est tout raplapla".

Toute ma famille remercie le Dr HAMER, la Médecine Nouvelle.

André H.


Cancer intraductal sein droit (canaux galactophores)

29 10 2011

Liliane quarante ans, droitière - mariée - deux enfants.
En mars 2005, elle apprend que son mari a fait une rencontre avec une autre femme plus jeune. Elle fait un choc (DHS®) « cette jeune femme est en train de me prendre mon mari. »

Pendant quelques semaines, elle ne lui en parle pas, espérant que son mari le lui avoue. Mais rien. Alors en avril elle décide de lui parler.
Cette discussion, elle l’a vécue de façon terrible, car elle a ressenti que cette jeune femme lui prenait son mari et qu’il en était totalement amoureux.
Elle a tout essayé pour le séduire et le garder, mais en juin, il quitte le foyer et s’installe avec la jeune femme.
Pour Liliane ce fut un déchirement, mais la séparation s’est déroulée à l’amiable, son mari ne lui a pas fait de tort, ce qui a adouci la rupture.

Fin janvier 2006, elle s’aperçoit inopinément au cours de sa toilette que son sein droit est enflé, douloureux, rouge et démange beaucoup.

Elle consulte son médecin, qui lui dit : « oh ! Madame il faut faire vite, vous avez un cancer foudroyant et si vous ne vous faites pas soigner immédiatement, dans trois semaines vous êtes morte » ! Ce pronostic la terrorise, elle pense à ses enfants… Puis elle en parle à une collègue de travail qui lui dit : « tu devrais consulter ailleurs, pour avoir d’autres avis ». Et la collègue lui prête le livre du Dr Hamer…

En lisant ce petit ouvrage, Liliane comprend, et se dit : « je suis donc en phase de régénération, alors je vais attendre que mon sein diminue, il n’y a rien d’urgent, et je verrai si ce que dit le Dr Hamer se vérifie. » Au bout de trois semaines, des écoulements de liquide sanguinolent s’évacuaient par le mamelon, et le sein devenait moins douloureux, plus souple et diminuait petit à petit. Au bout de quatre mois il restait seulement une légère déformation. Liliane se sentait très bien…

A ce moment-là, elle consulte son médecin traitant, qui est stupéfait. Il lui dit : « je vais vous faire une échographie par sécurité ». Il constate alors que son sein avait des microcalci-fications. Mais, à nouveau un petit doute s’installe en elle, toutefois, elle est restée tranquille car dans les livres du Dr Hamer, il est écrit que les microcalcifications sont les cicatrices des canaux galactophores totalement inoffensives.

Aujourd’hui en 2011, « je vais bien » dit-elle, « mon sein est un peu déformé, mais ne me gêne pas du tout. j’ai même refait ma vie avec un autre homme. Je suis heureuse, et bien en vie. Merci Dr Hamer »
Liliane a vécu un conflit de séparation : « son ressenti était : mon partenaire m’est arraché de mon sein par une autre personne ».

Dans la phase active du conflit, il n’y a pratiquement pas douleur, ni de déformation au niveau du sein. Il se produit une ulcération étalée à l’intérieur des canaux galactophores, afin de favoriser un plus grand débit de lait, pour «nourrir » au plus vite le partenaire.

Dans la phase de solution du conflit, il y a une régénération des canaux galactophores. Le gonflement passagé est dû à la régénération des ulcérations des canaux. Ce que l’on nomme microcalcifications, sont des cicatrices inoffensives. (Cancer ductal, le plus courant chez les femmes.