L’ensemble des différents
Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)
selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer
Le Nez - Témoignages
Saignements du nez chez un enfant
30.12.2009
Notre fils de 4 ans a eu souvent et de façon irrégulière de forts saignements de nez, surtout la nuit, et ce depuis longtemps. En saison froide, c’était plus fréquent, nous mettions cela sur le compte de l’air sec du chauffage. Mon mari qui s’intéresse depuis longtemps déjà à la Médecine Nouvelle Germanique, pensait que cela devait avoir une relation avec un conflit concernant le nez. Je me demandais sans cesse à quoi cela était du, parce que à chaque fois j’avais le cœur chaviré à la vue de notre fils qui saignait abondamment. Et puis soudain, de façon totalement inattendue, j’ai compris ce qui déclenchait ce conflit du nez, alors que nous étions en vacances et roulions en voiture le long du lac de Garde.
Notre fils a toujours aimé les noix. Même lorsqu’il n’avait que quelques dents, il mâchait et suçait les noix. A l’âge de 15 mois, en octobre, il mastiquait un petit morceau de noix depuis un moment déjà, quand, pendant qu’il jouait, il trébucha sur une boîte en carton, ce qui l’énerva au point de hurler. Ce faisant il avala le morceau de noix et commença à étouffer. Bien sûr nous fîmes tout ce qui était possible pour faire ressortir ce bout de noix de sa trachée ou de là où il était coincé car il commençait à devenir légèrement bleu. Dans le même temps nous avons appelé les secours. Lorsqu’ils arrivèrent, Dieu merci, notre fils respirait de nouveau, mais on entendait un léger sifflement au moment de la respiration qui n’existait pas avant. Le médecin urgentiste décida que cela devait être examiné à l’hôpital. Après coup, cela s’avéra une erreur, car la façon dont nous fûmes traités à l’hôpital était effrayante. Une machinerie infernale à créer de l’angoisse s’était mise en branle avant même que notre fils fut examiné. Quoiqu’il en soit, nous avons pu quitter l’hôpital (en signant un papier de décharge) bien que ce sifflement durant la respiration fût toujours là. J’étais d’avis qu’il avait quelque chose de coincé dans le nez, surtout qu’on entendait particulièrement ce sifflement quand j’allaitais mon fils. Exactement 14 jours plus tard, le même jour de la semaine et quasiment à la même heure où il avait avalé ce morceau de noix, alors que je changeais sa couche sur le plancher du salon, il s’étrangla soudain et toussa puis recracha un petit morceau de noix grisâtre, légèrement gonflé. Ce morceau de noix a du ressortir du nez du fait que mon fils était couché sur le dos, il a probablement glissé dans sa gorge, ce qui fit qu’il a pu le recracher. Et tout naturellement le léger sifflement avait lui aussi disparu. C’est un peu plus tard que commencèrent les saignements du nez. Maintenant tout devint clair ; il avait toujours ces saignements du nez juste après avoir mangé des noix. Il en avait plus durant la saison froide parce qu’alors il y a plus de noix et de noisettes. En vacances, il n’avait jamais de saignements du nez, car nous n’avons jamais emmené des noix en vacances et qu’on n’en trouvait pas non plus sur place. Comme il continue à aimer les noix et qu’il en mange de temps en temps, il continue a avoir des saignements du nez en phase avec cette consommation des noix. Bien sûr que ce petit morceau coincé dans le nez a dû le gêner. Je pense que ça nous gênerait aussi, si on avait quelque chose de coincé dans le nez pendant 14 jours !
Lorsque nous sommes revenus de vacances, forts de ce que nous savions à présent, j’en parlais aussitôt à mon fils. Je lui posais la question de savoir s’il se souvenait de cet épisode, il me répondit que non. Je lui demandais alors s’il voulait entendre cette histoire et il me répondit oui. Je lui racontais donc toute cette histoire et à la fin je concluais que tout ceci ne pourrait plus se reproduire du fait qu’il avait maintenant bien plus de dents pour mieux mastiquer les noix et que son nez était plus grand de telle sorte que plus rien ne pouvait dorénavant y rester coincé. Je remarquais qu’il m’écoutait attentivement et comprenais ce que je disais, lorsque soudain il éternua très fort. Depuis ce moment il n’a plus eu de saignements du nez pendant 6 semaines. Il saigna de nouveau abondamment et nous avons passé ce moment difficile. Les saignements ont cessé depuis environ 2 mois. Il y a quelques jours j’étais assise avec mon fils dans la cuisine peu avant d’aller se coucher, lorsqu’il voulut encore manger une noix. Je la lui donnais et voici que 10 minutes plus tard alors qu’il était couché, il se remit à saigner abondamment du nez. Pour nous, cela signifie qu’à l’avenir nous éliminons pour un temps indéterminé les noix du menu de notre fils. Ce qui ne pose aucun problème pour personne étant donné qu’il peut toujours manger d’autres sortes de noix et noisettes sans qu’il se mette à saigner aussitôt.
***
Remarques :
Bonne décision de la mère ! Si l’on ne trouve pas de solution au conflit – en l’occurrence il n’y en a pas pour le garçon – alors il faut éviter les ‘rails’. Peut-être plus tard quand il aura réellement « un grand nez » il dépassera ce conflit.
Sinusite - Sinusite chronique suite à l’obligation d’ingérer tous les matins un bol de lait avant de partir à l’école.
13 février 2013
Durant 9 années j’ai souffert de sinusite (inflammation des fausses nasales). Cela a commencé à l’âge de 10 ans et c’est arrêté du jour au lendemain à l’âge de 19 ans.
A l’âge de 7 ans, ma mère me « servait » tous les matins un grand bol de lait avant de partir à l’école. Elle disait que c’était pour que je grandisse.
Au bout de 2 ou 3 ans, j’ai pris conscience que ce lait m’incommodait et je n’en voulais plus. Je considérais que je n’étais plus un bébé et que je ne pouvais plus supporter ce rituel du lait au petit déjeuner.
Ma mère a toujours exigé que je boive ce lait et ce jusqu’à mes 18 ans. En petite fille gentille et obéissante, je buvais ce lait, bien que cette odeur me soit devenue insupportable, ce que je reliais à l'obligation etc.
Jusqu’à l’âge de 10 ans j’ai souffert de problèmes inflammatoires au niveau du nez. Mais c'est à cet âge qu'a débuté une année de torture chez les spécialistes ORL, avec à la clé d’inutiles scanners, IRM, biopsies nasales, et d’innombrables physiothérapies. On a épuisé toutes les ressources de naturothérapie possibles et inimaginables sans aucun résultat. Mes parents étaient désespérés et totalement épuisés par les incessants rendez-vous chez les médecins.
De plus toute la muqueuse nasale a été détruite avec l’application quotidienne et durant des années de gouttes (Xilo et Naphazolin) prescrites par les médecins et tout compte fait je ne pouvais tout simplement plus respirer librement sans ces gouttes. Le nez était encombré en permanence avec des écoulements de sécrétions jaunes, vertes, sanguinolentes. Sans parler des maux de tête insupportables surtout en tant qu’enfant !
Après environ 3 ans, je me suis résignée à vivre avec cette irritation à l’intérieur du nez.
A l’âge de mes 19 ans, je quitte, la maison pour continuer mes études, et c’est à ce moment là que mon conflit chronique a été résolu. Dès les premiers jours, installée dans la résidence étudiantes, je me suis sentie autonome, suffisamment adulte, enfin, je « volai de mes propres ailes » (je n’étais plus un bébé, que la mère avec sa bouteille de lait près de moi).
C’est moi-même qui me faisais un café au petit déjeuner à la place du ‘‘lait détesté’‘ et le soir venu, vous me croirez ou non, mon nez était totalement dégagé.
Un changement aussi radical et instantané ne s’oublie pas !
La semaine suivante j'évacuais énormément de sécrétions mais je n'avais JAMAIS le nez complètement bouché comme avant. Tout est rentré dans l’ordre au bout d’une semaine et mon inflammation de niveau IV des sinus à soudain disparue, alors que les « spécialistes » avaient traité cette inflammation des années durant sans succès. Si ma mère avait su qu’une tasse de cacao ou un jus de fruit au petit déjeuner aurait résolu mon problème, elle l’aurait sûrement fait.
Depuis 1990, j’ai recouvré complètement la santé. Je vis sans aucun ‘‘ problème de nez’’ et je bois volontiers de temps à autre une tasse de lait chaud sans penser à mon nez. De par mon accession à l’autonomie, j’ai résolu mon conflit ainsi que les rails y afférant. L’odeur du lait ne me dérange plus. En définitive c’est moi qui décide si je veux en boire ou non.
Depuis quelques jours, j’ai décidé de à calculer les frais engendrés par mes différents traitements, je travaille dans ce milieu. Cela a coûté un joli pactole à la caisse d’assurance maladie: 120 000 euros (cent vingt mille).
Juste une inflammation des sinus nasaux à cause d’une ‘‘obligation de boire du lait’’.
Alors qu’il suffisait d’arrêter que je boive du lait, et cela n’aurait rien coûté à la caisse d’assurance maladie.
Il y a bien plus que de la tromperie en jeu ici. Et quand on comprend cela, qu’on y regarde de plus près, il n’y a plus de retour en arrière possible. Comme dans le film ‘‘Matrix’’.
La Germanische Heilkunde ne signifie pas seulement pour moi, santé et chance, mais aussi la compréhension du sens de la vie.
Merci
S.M.
***
Remarque :
Sinusite chronique, ou tout autre maladie chronique, signifie que la personne à un « rail », une allergie.
Les rails sont des aspects complémentaires du conflit en relation avec un DHS, autrement dit ce sont les circonstances qui sont associées au DHS à la seconde où celui-ci se produit. La personne ne ressent pas uniquement le choc conflictuel aigu et dramatique au moment du DHS comme un flash momentané, mais elle y associe également des sons, des odeurs, des sensations variées, des goûts, des personnes, des animaux, des lieux ou des couleurs précises et ces images vont perdurer pratiquement à vie. (Cf. livre/tableau français page 5)
Cette personne est sortie du rail lorsqu’elle à quitter la maison et la mère…. Donc a solutionné totalement le conflit avec le lait et tout ce qui était en relation avec le lait : (mère, odeur, obligation d’avaler). Dans la Germanische Heilkunde, c’est le patient qui décide, il est acteur de sa guérison.