L’ensemble des différents
Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)
selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer
Sclérose multiple - Témoignages
Sclérose multiple a cause des hommes
ou sclérose en plaques (SEP) ou sclérose latérale amyotrophique (SLA)
20. 07. 2012
Je suis née en 1971, et mère de plusieurs enfants. Je n’ai aucune connaissance de la Germanische Heilkunde. Je souffre d’une sclérose multiple depuis plusieurs années, sans pouvoir comprendre ce qui se passe en moi.
En 2012, je rencontre une personne et nous discutons de santé. Je me surprends à lui raconter mes problèmes liés à la sclérose multiple, qui me cause des problèmes au niveau de la vue, des jambes et de la marche. Cette personne me décrit un cas de sclérose multiple vu sous l’angle de la Germanique.
Cette personne était mère de quatre enfants nés de 3 pères différents. Depuis quelque temps, elle se trouvait limitée dans ses mouvements et ses déplacements, ne serai-ce que pour se rendre en ville. Elle vivait avec un nouveau compagnon, mais c’était un libertin, qui n’avait pas envie de s’engager dans une véritable relation.
Cette femme souffrait de ses problèmes de motricité, qui s’aggravaient progressivement depuis qu’elle vivait avec cet homme. Elle avait déjà fait une première poussée (solution de conflit de motricité) lié à une grossesse qu’elle ne voulait pas assumer, malgré que cela soit à l’encontre de ses principes de vie. Le conflit fut donc stoppé naturellement avec la fausse-couche spontanée.
L’évolution de sa maladie, (la sclérose multiple) s’est développée à nouveau à cause de la relation avec son compagnon qui n’aboutissait pas. Les années passant, la capacité de se déplacer s’aggravait petit à petit jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se mouvoir sans l’aide d’une tierce personne.
Étant donné son état, elle a été mise à la retraite. La relation conflictuelle continua toutefois à cause d’une attraction érotique, venant de son compagnon. De plus, la situation s’est aggravée et devint plus dramatique car l’un de ses fils n’était pas du tout d’accord avec le type de vie que menait sa mère. Au vu de cette situation, ce fils ne pouvait plus entendre toutes ces choses venant de sa mère, il a développé une psychose paranoïde et entendait des voix.
Avec la description de ce cas, j’ai compris immédiatement ce qui se passait dans le développement de ma propre sclérose.
C’est au retour de mon voyage de noces que j’ai fait la première poussée de sclérose multiple sans pour autant en comprendre le diagnostic et à quoi il se rattachait. Avec mon premier mari, j’ai ressenti assez vite qu’avec lui ça ne « collerait » pas, et que ça ne pourrait jamais aller.
Le début officiel de la sclérose multiple fut constaté durant une période où les choses étaient vraiment difficiles, 2 enfants en bas âge, de nouveau enceinte et le déménagement dans notre maison neuve avec des problèmes financiers (Nous n’avions plus l’argent nécessaire car mon mari l’avait investi ailleurs avec une promesse de taux de capitalisation avantageux ; la même problématique se reproduisit en 2008). En arrière-plan (en tant que mère) c’était toujours ‘‘ tu n’y arriveras jamais’’. Je m’étais remariée avec un nouvel homme, qui est le père de mes enfants, mais j’avais toujours le sentiment que « ça ne va pas ». Avant il me manquait beaucoup, mais maintenant je préfèrerais « ne plus le voir ». Il se négligeait, n’était pas soigné, avait perdu ses bonnes manières, mais malgré tout je ne prévoyais pas de séparation, j’espérais toujours qu’avançant en âge cela irait mieux entre nous. Progressivement, j’ai réussi à passer le cap.
Tout en remontant la pente, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme, c’était presque de l’amour. Quelques mois en arrière, la sclérose multiple a refait son apparition avec une poussée traitée cette fois à la cortisone. Puis au bout de quelque temps, j’avais à nouveau le sentiment que je ne pourrais pas suivre, ce jeune homme, ce qui malheureusement s’est avéré exact. Depuis le début de cette relation j’avais le sentiment qu’il ne pourrait pas accepter que je sois atteinte de cette maladie. A ce moment là je ne savais pas qu’un tel comportement anarchique dans ma vie relationnelle amoureuse était la base des conflits concernant la sclérose multiple.
Au début de mes fréquentations avec le craquant jeune homme, je n’étais pas trop motivée pour des relations intimes, mais je me laissais persuader que c’était de l’amour ou bien que mon corps stimulé par les hormones sexuelles (ocytocine) voulait simplement aller plus loin et plus à fond dans cette liaison. Toutefois, je ne pouvais pas vivre à fond les beaux sentiments que je m’autorisais alors. Puis les choses se sont dégradées et à cause de sa copine, il a décliné par deux fois nos rendez- vous que nous avions d’un commun accord fixé à 1 à 2 fois par mois. En définitive, il mit fin à notre relation début 2012.
Je suis ébahie de voir comment les sentiments correspondants sont intimement liés à la sclérose multiple se manifestant dans les organes. Cela me stimule pour mieux faire attention à ma vie.
***
Remarque :
La sclérose multiple, (ou sclérose en plaque, ou sclérose latérale amyotrophique) (nommé ainsi par la médecine d’école, est en réalité avec la Germanique un programme biologique spécial de la nature concernant les centres moteurs et sensoriels. Dans la Germanique nous ne parlons pas de scléroses mais de conflits de motricité, et de séparation. (conflit de ne pas pouvoir fuir, d’être obligé de fuir, de ne pas pouvoir tenir ou se défendre, conflit de ne pas savoir si l’on doit partir ou pas, conflit de voir l’autre partir etc.…
Dans la phase active il y a altérations fonctionnelles motrices et sensitives, mais sans atrophie, ni multiplication cellulaire.
En phase de solution de conflit, il y a œdématisation au niveau des foyers de Hamer au relais de la motricité et de la sensibilité, et au niveau organique. Les symptômes entraînent une dégradation passagère de la fonction motrice avec spasmes incontrôlables. Il y a toujours une crise d’épilepsie. Si la personne retourne dans le rail (récidives) alors on appellera ces récidives poussées.
Dans ce cas la personne faisait des récidives (poussées). Elle a reçu de la cortisone qui est un puissant sympathicotonique et anti œdémateux donc réduit les œdèmes. Celle-ci est recommandée après avoir vérifier si la personne ne souffre pas du Syndrome qui aggraverait la situation. Pour le savoir il suffit de mesurer la quantité d’urine éliminée au quotidien. Si la personne urine peu, c’est qu’il y a rétention hydrique. On peut aussi le voir à l’aide du scanner cérébral et bien sûr l’anamnèse du conflit du réfugier ou existentiel. La personne devra rapidement solutionner ce conflit.
Le Syndrome se produit lorsqu'il y a un SBS (Programme biologique spécial de la nature, en allemand : (Sinnvoller Biologischer SonderProgram) en phase de solution (appelé poussées dans ce cas au niveau moteur et sensibilité) et un SBS des tubes collecteurs des reins en phase active (conflit existentiel ou du réfugié qui provoque une rétention hydrique).
Si l’on administre de la cortisone alors que le Syndrome existe, il y a danger car il y aura une rétention hydrique qui va augmenter les œdèmes cérébraux et organiques et dans ce cas au niveau des centres moteurs et sensoriels, avec des crises d’épilepsies plus accentuées,
En conclusion, il est recommandé de toujours vérifier s’il n’y a pas de SBS en phase active des tubes collecteurs des reins, avant d’administrer de la cortisone. (cf. livre/tableau en français - disponible) cf. livre/tableau et Présentation en français
Paralysie de la jambe de Madame Thérèse D.
Au début de l'année 1991, je me suis aperçue un jour en allant à mon travail (j'habitais alors la banlieue de Paris) que mon pied gauche et ma jambe me gênaient en montant dans le métro ou en montant les marches des escaliers. Comme cela persistait, j'ai consulté mon médecin. Il m'a prescrit un scanner du cerveau. J'ai fait faire ce scanner dans un centre de radiologie à Paris. Je me souviens que le radiologue a pris des précautions pour me donner le compte rendu : séquelles d'hémorragie cérébrale. J'en fus impressionnée.
Peu de temps après, j'ai rencontré le Docteur Hamer et je lui ai montré mon scanner. J'ai appris grâce à lui qu'il s'agissait d'un œdème correspondant à un conflit de motricité en demi solution. D'autres foyers correspondants à des conflits ont été également décelés.
Pour ce qui concerne cette fameuse séquelle d'hémorragie cérébrale, de quel conflit s'agissait-il ? Je l'ai vite compris. En effet, je faisais alors partie d'un groupe de personnes qui avaient prévu de participer à une rencontre internationale aux Etats Unis au mois de Mai 1991. J'étais sur la liste des participants en tant que déléguée. Heureuse de la perspective de ce voyage dans un pays que je ne connaissais pas, j'étais en même temps très effrayée à l'idée de prendre l'avion, et de ces heures au-dessus de l'océan…
J'étais prise dans un dilemme, un conflit : aller aux USA, participer à la rencontre, mais risquer l'accident d'avion. Le conflit se compliquait du fait que j'étais déléguée, et j'avais honte vis à vis des autres membres de mon peu de courage !.
Comment cela s'est-il résolu ?
Lorsque je vis clairement que le début de paralysie de la jambe et du pied était dû à ce conflit, j'ai décidé de renoncer au voyage et j'ai trouvé quelqu'un pour me remplacer. Peu à peu,
sans faire aucun traitement, je me suis remise à marcher normalement.
Thérèse D.
Conflit de motricité de Margrit et Michel R.
Depuis des années je suis conscient, par le yoga, de l'importance du psychisme lors des maladies.
Lorsqu'un collègue de travail m'a transmis un résumé des travaux du Docteur Hamer, cela m'a fortement intéressé, j'ai commandé son livre en Allemagne et je l'ai lu.
Ma femme avait développé peu de temps auparavant, en mai 1992, un cancer au sein droit et avait subi la trilogie habituelle : intervention chirurgicale, séances de rayons et chimiothérapie. Elle devait subir des contrôles à intervalles rapprochés. Son angoisse grandissait au fur et à mesure que l'on approchait de la date fatidique : "quel sera le résultat" ?
Puis la panique cédait la place au soulagement, jusqu'à l'examen suivant. C'était terrible.
J'ai demandé à mon épouse de prendre un rendez-vous avec Madame Sixt. J'ai accompagné ma femme pour un deuxième entretien fin 1993.
Madame Sixt a expliqué à ma femme la genèse spécifique du cancer du sein. Elle a pris beaucoup de temps, jusqu'à ce que ma femme comprenne que le cancer ne dépendait pas de causes extérieures, et n'était pas dû à la fatalité mais à un conflit qu'elle pouvait résoudre elle-même. Les entretiens ont duré des heures à chaque fois. Mon épouse est maintenant tranquillisée et ne ressent plus les terribles angoisses qu'elle ressentait avant les examens auxquels elle n'a plus besoin de se soumettre.
Elle a recouvré la sérénité et moi avec.
Madame Sixt a été extraordinaire de patience et de chaleur humaine.
A la même époque j'ai reçu mon licenciement après 21 ans d'activité motivante dans ma société. Etant considéré compétent, j'ai dû former mon successeur pendant 6 mois avant d'être remercié. Je n'ai pas tardé à souffrir d'arthrose, jusqu'à être douloureusement immobilisé.
Lorsque je me suis rendu compte que le licenciement allait vraiment devenir effectif, je me suis décidé à prendre soin de moi et j'ai pris 3 semaines de cure à Aix les Bains. Les bains n'ont rien fait et le médecin n'a été d'aucun secours. Je ne pouvais me déplacer qu'à grand peine et toutes les articulations me faisaient mal.
Je suis allé voir Madame Sixt qui m'a expliqué que j'avais un cancer des os en voie de solution, suite à un conflit de dévalorisation.
Petit à petit, l'arthrose a diminué pour finalement disparaître complètement. Je n'ai plus de handicap dans les postures.
Malheureusement je n'ai pas eu que ces seuls ennuis. Depuis de nombreuses années j'ai des problèmes de sensibilité aux pieds, auxquels je n'ai pas prêté une grande attention. Depuis 18 mois, j'ai eu de réels problèmes de marche avec une tendinite au pied gauche. J'ai pensé à un certain moment que peut-être j'avais quelque chose de déplacé ou de cassé, mais les radios n'ont rien détecté. Le médecin m'a alors envoyé chez un neurologue qui a pratiqué un EMG (Electro-myogramme). Cet examen a révélé que j'avais une aréflexie des quatre membres, une amyotrophie distale des membres inférieurs et un pied creux bilatéral. Il s'agirait d'une neuropathie génétique de type Charcot-Marie. Il n'y a pas eu de thérapie particulière de proposée, à part une prise en charge kinésithérapeutique régulière pour éviter l'aggravation de l'amyopathie distale.
Donc le seul espoir qu'on me donnait était une stabilisation de l'amyopathie.
Je n'ai pas accepté cette analyse, et j'ai commencé à faire mes propres séances de kinésithérapie.
J'ai regagné un peu de force musculaire dans les jambes et me suis rendu compte que ma tendinite venait du fait que les muscles étant tellement faibles, ils se fatiguaient très vite. Je devais donc être très vigilant dans mes exercices et lors des marches, pour ne pas me dévaloriser à nouveau.
J'ai contacté Madame Sixt à ce sujet. Elle m'a indiqué que j'avais un conflit de motricité en voie de guérison, par suite d'une revalorisation. Le fait que j'aie ce problème depuis des années signifie que je retombe régulièrement dans les mêmes rails, mais je suis maintenant confiant que je vais guérir cette maladie soi-disant génétique.
Je me déplace actuellement sans steppage et la tendinite au pied gauche ne me fait plus souffrir.
Docteur Hamer, un énorme merci de ma part, de la part de mon épouse, et pour mes enfants qui n'ont plus rien à craindre d'une maladie génétique. Merci à Andrée qui a su nous expliquer la Médecine Nouvelle en toute simplicité et avec son coeur.
Margrit et Michel R.
La Santé par le savoir
Considération sur le Dr Hamer et la Médecine d’école
Une maman, thérapeute de 41 ans, découvre un jour sa fille âgée de 2 ans, gémissante, immobile et obligée de rester allongée sur son lit. La maman, désespérée, cherche un radiologue afin d’obtenir un scanner cérébral.
Le radiologue constate un gros œdème cérébral (infiltration liquidien, gonflement) au niveau du relais moteur cérébral. C’est ce qu’avait déjà pensé la maman. Elle se fait remettre le scanner et décide de l’envoyer au Dr Hamer. Le diagnostic du Dr Hamer à la maman : « une ataxie, provoquée par un traumatisme lié à une chute ». A ce moment là, tout devient clair pour elle. En effet, la veille de la perte de mouvement, sa fille était tombée deux fois en se cognant la tête au cours de jeux d’enfants. La petite s’est relevée à chaque fois et a continué à jouer. C’est pour cela que la maman n’y a pas prêté attention.
Le Dr Hamer a recommandé à la maman de caresser la tête de l’enfant et de la faire marcher dans un déambulateur afin que la petite regagne confiance en ses propres possibilités.
Très rapidement une amélioration est intervenue. La maman, spécialiste en acuponcture, a constaté un déplacement au niveau de la 1ère et 2ème vertèbres. Après les avoir remises en place elle s’est aperçue que la régénération s’est accélérée. Aujourd’hui, trois mois après le diagnostic, la petite a retrouvé ses mouvements et un développement tout à fait normal.
La thérapeute a voulu en savoir plus. Elle a demandé au radiologue ce qu’aurait fait la médecine d’école pour soigner sa fille. Là-dessus, la réponse a été directe : « on aurait fait un nouveau scanner avec produits de contraste et on aurait pu alors visualiser de manière claire les tumeurs ». Puis on aurait appliqué les thérapies habituelles de la médecine d’école dans le cas des cancers, à savoir, une trépanation. Ensuite, une chimiothérapie aurait été appliquée avec toutes les suites non prévisibles que cela implique. Et ce, chez une petite fille de deux ans, après qu’elle ait subi un choc brutal qu’est la trépanation ».
Cette situation nous rappelle l’émission sur le cancer du sein que l’on a pu voir il y a quelque temps à la télévision : « Le dépistage du cancer du sein est bon».
Nous devons savoir que beaucoup de femmes font un cancer du sein et ne le remarquent pas, donc n’entreprennent rien et au bout de quelques temps le cancer a disparu de lui-même.
Pour d’autres le cancer est dépisté et elles sont traumatisées, terrorisées par le diagnostic et par toutes les informations venant des médias et de leur entourage. Cela occasionne des mesures thérapeutiques drastiques. Les dépistages précoces du cancer peuvent être certes utiles, mais ils provoquent des peurs paniques. Toutes ces peurs, liées à la suite de diagnostics terrifiants créent de nouveaux cancers. C’est pour cette raison que selon le Dr Hamer, il n’y a pas de métastases mais toujours de nouveaux cancers.
Le Dr Hamer et sa « Médecine Nouvelle » sont très contestés en Allemagne. Souvent le docteur est attaqué et dénigré. Cela n’est pas dû seulement à sa façon de soigner, mais également à ses opinions politiques. Ne devrait-on pas examiner la médecine nouvelle du Dr Hamer de manière plus professionnelle et sérieuse ? Nous savons qu’il peut connaître à l’avance d’une façon détaillée le déroulement de la maladie (exemple le cancer) et enlever totalement la peur panique qui habite le patient et sa famille. Même les patients abandonnés par la médecine d’école cherchent un conseil ou s’intéressent à ses découvertes.
Ataxie : du mot grec désordre. C’est un terme générique pour désigner les dérèglements du centre de régulation de l’équilibre et de la coordination des mouvements. Il faut noter qu’une ataxie peut survenir, même lorsqu’il n’y a aucune paralysie, donc lorsque la force musculaire est intacte.
Infarctus du myocarde et paralysie faciale
28.09.2013
Femme âgée de 41 ans, droitière, mère de deux enfants : une fille de 15 ans et un fils de 14 ans.
Je n’ai jamais pris la pilule ni hormone. Durant 11 années de ma vie je me suis consacrée à ma petite famille, afin de subvenir à ses besoins et lui procurer un bien être chez soi. Mes parents, qui ont une grande importance pour moi, vivent dans la maison voisine, ils m’ont aidé toutes ces années à nous maintenir à flot.
Toutes ces années passées, j’ai connu des hommes, mais je n’ai jamais réussi à établir une relation durable. Parfois, j’étais si fatiguée que je ne songeais même pas à trouver un partenaire.
Puis un jour, j’ai fais la rencontre d’un homme âgé de 7 ans de moins que moi. Dans un premier temps il n’était pas question qu’il soit un partenaire potentiel. Nous sortions beaucoup ensemble. Il me permettait une ouverture vers d’autres horizons qui rendaient ma vie de plus en plus agréable.
Au bout d’un certain temps, il me tardait de vivre avec lui, mais je craignais un refus de sa part au vu de mes précédentes expériences infructueuses. Ma famille n’est pas conservatrice, mais notre projet de vie commune, elle ne l’a pas accepté avec enthousiaste.
Mon compagnon n’est pas dans la norme : il est très direct et dit ce qu’il a à dire. Il remet plein de choses en question, d’où son intérêt pour Germanische Heilkunde.
Le 30 mai mon père avait encore distribué les journaux puis s’était mis au lit et il est décédé subitement à 7 heures à l’âge de 62 ans. Il ne se sentait pas malade. Le médecin urgentiste appelé a diagnostiqué une mort subite par infarctus du myocarde. Après avoir beaucoup parlé de cela durant une grande partie de la période de deuil, nous avons découvert ce qui s’était passé :
J’ai deux sœurs et un frère qui est toujours le petit poussin de la maison. Je dois dire que j’étais vraiment la petite préférée de mon père, mais mon frère faisait ce qu’il voulait et dépassait souvent les bornes. Il n’était vraiment pas le fils que mon père aurait souhaité avoir. Il a été longtemps au chômage et bien plus.
Lorsqu’à 18 ans j’ai rencontré le futur père de mes enfants, ce fut comme si celui-ci remplaçait le « fils prodigue ». Mon père passait beaucoup de temps avec mon mari et ils démarrèrent la construction d’une maison pour moi et nos enfants dans laquelle nous pourrions vivre. Ils travaillaient dur mais toujours ensemble. La maison était encore dans le gros œuvre lorsque notre mariage se mit à « battre de l’aile ». Mon mari m’a quitté pour ma meilleure amie et m’a laissé seule avec les deux bébés et la maison à moitié terminée.
Le choc a été terrible pour moi, et encore bien plus pour mon père qui avait tant misé sur lui ! Il a même menacé mon ex-mari de lui tirer dessus si jamais il osait se montrer à nouveau dans son entourage. Cela avait une telle importance pour mon père qu’il s’investi totalement pour moi une dizaine d’année dans cette construction afin de prouver à mon ex-mari que nous n’avions pas besoin de lui et que nous y arriverions seuls sans lui.
Ce conflit a été résolu avec l’arrivée de mon nouvel ami. Le conflit avait été actif toutes ces années où mes rencontres avec des hommes ne signifiaient pour eux que le « passage au lit».
C’est lorsque mon père m’a vu si heureuse avec mon nouvel ami que son conflit a trouvé sa solution. Malheureusement, la masse conflictuelle accumulée depuis presque 11 années était trop importante….
Le conflit a été solutionné probablement le dimanche de Pâques 2011 lorsque nous étions tous réunis autour de la table et que la famille était en ordre. Il nous a quitté à peine 6 semaines plus tard après la crise épileptoïde…
Mon ami était à mes côtés, me soutenait, me consolait. J’avais le sentiment d’avoir perdu un roc, et d’un autre côté d’en avoir trouvé un autre. Au bout de quelques mois chacun avait fait son deuil, mais maman a changé après la mort de mon papa. Avant cet évènement ma mère était la personne la plus aimable qui soit et d’un coup elle devint possessive. Mes sœurs aussi prenaient partie. Est-ce que cet homme est réellement le bon pour toi ? Telle était le fond de leurs propos. Je n’arrivais plus à retrouver leur confiance qu’ils m’accordaient toujours auparavant afin de faire le bon choix. Nous habitions séparément avec mon ami parce que cela ne faisait pas longtemps que nous nous connaissions. Je voulais rendre visite à mon ami et passer la nuit chez lui. Ma mère habitant la maison voisine de la nôtre je n’y voyais pas de problème. Pourtant ma mère m’a demandé le plus sérieusement du monde si je ne voyais pas un problème de responsabilité vis-à-vis de mes enfants de les laisser seuls toute la nuit. J’ai eu l’impression d’être prise pour une irresponsable, d’autant qu’elle n’avait jamais vu aucun problème lorsque je partais pour mon service de nuit. ! Cela me faisait vraiment mal.
Je me suis rendu tout de même chez mon ami et déjà le lendemain je remarquais que mon œil se desséchait doucement. Cela me démangeait et me faisait un peu mal et j’avais l’impression de ne plus pouvoir fermer la paupière droite. La nuit je la fermais avec du sparadrap.
Le jour d’après nous étions tous invités à prendre le café chez ma mère pour son anniversaire. Mes sœurs et mon frère étaient présents. Lorsque j’ai voulu boire ma tasse de café je la portais à mes lèvres mais le café coula le long de mon cou. Tout le monde me regardait effaré. La moitié droite de mon visage s’était paralysé et tombait.
Je n’étais pas en panique, j’avais juste un peu peur. Mon ami aussi n’était pas en panique. Instinctivement je savais pourquoi mon corps réagissait ainsi même si sur le moment j’aurais été incapable de le formuler clairement. Mon ami devait partir plus tôt et lorsqu’il fut parti je ressentis la panique de ma famille et je me laissais convaincre d’aller à l’hôpital.
On m’a fait une prise de sang pour déterminer les enzymes cardiaques ( ? pas sûr que ce soit juste) afin d’éviter une crise cardiaque ou une attaque. Les valeurs étaient tout à fait normales. Cette réponse m’était plus que suffisante !!! Mais les médecins se proposèrent de faire une ponction de la moelle épinière (ponction lombaire) ce que je refusais énergiquement. Ils me menacèrent de prévenir le médecin-chef si je ne voulais pas obéir. Je leur répondis que même le médecin-chef ne changerait rien à ma décision et que maintenant je partais. Aucun charlatan ne me piquera dans la colonne vertébrale ! Surtout que je connaissais déjà mon diagnostic étant au fait de notre système de santé.
Quand le médecin-chef est arrivé, je lui ai dit d’aller en enfer ! Il m’a fait signer un papier comme quoi je déclinais l’offre de soin, ce que je signais allègrement. Ils m’ont remis de la cortisone que je n’ai pas prise bien sûr. Je savais que seule une explication franche avec ma mère était la solution et c’est ce que j’ai fais. Nous avons eu une bonne conversation, je lui dis clairement que j’étais là aussi pour elle même si maintenant j’avais un partenaire. Elle a accepté parce qu’elle m’aime.
La paralysie faciale s’est résorbée dans un laps de deux semaines sans aucun médicament. Je n’ai aucune séquelle. Ma mère s’est mise à aimer mon ami, nous avons emménagé ensemble et elle cuisine pour lui. Mes enfants aussi s’entendent bien avec lui.
Sans la bonne connaissance de Germanische Heilkunde et le bon sens de mon ami, il n’est pas sûr que j’aurais traversé cette histoire aussi facilement.
Même si je devais partir…
Je suis heureuse d’avoir compris les tenants et aboutissants. Si on avait pu pratiquer la Germanische Heilkunde chez nous peut-être que mon père aurait eu une chance. Je ne peux qu’espérer que mon témoignage aide d’autres personnes à comprendre leur corps et tout ce qui se passe. En définitive, c’est aussi l’histoire d’une société complètement dévoyée !
Ici je veux adresser un grand merci au Dr Hamer et à Helmut Pilhar.
Salutations
C.
J’ai guéri de la sclérose en plaque.
Février 1994
Le diagnostic de la sclérose en plaque me fut appliqué en février 1994. Les médecins ne m’ont donné aucune chance, je resterai paralysé à vie et dans mon fauteuil roulant à vie, j’avais à l’époque quinze ans.
Aujourd’hui à l’âge de trente ans je me porte bien, je cours et suis totalement libre de tout mouvement. J’ai fait les études que je voulais, je suis institutrice.
Depuis l’âge de sept ans, j’étais bloqué dans un fauteuil, tout a été très vite. Ma mère attendait mon petit frère, et quand il est né, elle m’a envoyé alors que j’avais sept ans chez la grand-mère (la mère de mon père) et c’est à partir de là qu’en une année je me suis retrouvé paralysée. Mais, je n’ai eu le diagnostic définitif qu’à l’âge de quinze ans, je vivais chez la grand-mère, et mes parents avec mon frère, bien que de temps en temps je visitais chez mes parents, mais n’y séjournait jamais.
Quand j’ai eu quinze ans, en 1994 mon père a connu un médecin qui lui a parlé de la Germanique. Il s’en est instruit, et avec le médecin, nous avons découvert mon conflit, à la fois de motricité et de séparation.
J’avais sept ans mon petit frère est né, et c’est à ce moment là que je suis partie chez la grand-mère à cent cinquante kilomètres de mes parents.
J’ai beaucoup pleuré, car j’étais éloigné de mes parents, et ne comprenais pas pourquoi il ne voulait pas de moi… Ma grand-mère était très gentille, mais je voulais accueillir le petit frère avec mes parents.
C’est là le DHS®, mon imagination voyageait toutes les nuits, j’imaginai mon frère, qui avait en grandissant occupé ma chambre et dont mes parents s’occupaient et moi avec la Grand-mère ne pouvait jouer avec mon frère que je connaissais peu.
Je voulais partir de chez la grand-mère. J’ai fait quelques fugues, mais j’ai tout de suite été récupéré, et puis surveillée.
Puis progressivement, j’ai perdu l’usage de la jambe gauche, puis la droite. Je ne sentais pas toujours mes pieds, et ne pouvait marcher. Alors j’ai été dans plusieurs hôpitaux, fait des examens bien douloureux pour la petite fille que j’étais, puis tout à fini au fauteuil roulant mais sans diagnostic précis.
A l’âge de quinze ans, au lycée, un médecin a eu l’idée de m’envoyer chez un neurologue et c’est ce neurologue grand spécialiste des scléroses en plaques m’a fait réaliser un scanner cérébral et de là le diagnostic fut formel : vous avez une sclérose en plaque. Sur les images ont voyaient des petits points blancs et le neurologue m’a dit que c’était cela qui me paralysait.
C’est alors que mes parents, terrorisés par ce diagnostic, ont cherché une porte de sortie. Pour eux, ils me voyaient à vie dans un fauteuil roulant, et de plus en plus handicapé. Mon père a cherché, et a trouvé un médecin spécialiste des os, qui avait lu des ouvrages du Dr Hamer.
Alors nous avons commencé à chercher le conflit, et j’ai tout de suite exprimé que je n’avais jamais accepté ce départ chez ma grand-mère, sans explication, je me suis
sentie rejetée, par mes deux parents, il n’y en avait que pour mon petit frère, alors j’ai décidé avec mon père, de retourner à la maison. Mais la maman et le petit frère faisait obstacle, alors avec mon père nous avons décidé que j’irai passer quelque temps dans sa maison à la montagne, et que je serai avec lui. Au bout de quinze jours j’ai eu des douleurs dans la jambe droite… des crampes surtout la nuit…. Et un jour j’ai demandé à mon père de me mettre debout sur ma jambe droite, bien sûr je n’ai pas tenu.
Alors, au bout de deux mois, mon père allait et venait chez la maman en ville, et un jour ma mère décida de nous rejoindre à la montagne. Elle a pris deux mois de congé ainsi que mon père pour s’occuper de moi.
Je suis enfin venue habiter en ville, dans leur maison et avec mon frère. Au début ce fut très dur, car mon frère ne m’acceptait pas… mais avec patience, et avec l’aide d’un kinésithérapeute, je me suis mise debout, fait de la gymnastique, j’avais beaucoup de volonté, et mon père m’accompagnait toujours.
En septembre 1994, je marchais avec des béquilles, mais ma jambe gauche trainait encore beaucoup, je ne me suis pas découragée. J’ai décidé d’aller alors à la piscine, et si je marche dans l’eau, je marcherai sur la terre. Le problème c’est que je ne savais pas nager, alors un moniteur m’a appris. Et en mars 1995 j’étais debout et marchait sans béquille et encore un peu hésitante, et c’est à la rentrée scolaire septembre 1995 que je me rendais à l’école sur mes deux jambes.
Je remercie le Dr Hamer, les médecins, Andrée et mes parents, qui par leur dévouement m’ont aidé à me remettre debout, grâce à cette découverte des lois biologiques de la nature. En effet ma « maladie » n’était que du bon sens. Je voulais vivre l’arrivé de mon petit frère avec mes parents. mais, le fait d’être placé chez ma grand-mère, je l’ai mal vécu et ne comprenais pas pourquoi. C’est de façon intense et dans l’isolement, que j’ai mal ressenti la séparation, le départ de chez mes parents (motricité) et comme rejeté de la famille (dévalorisation).
Annabelle et ses parents.