L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

Le cancer de la vessie - Témoignages

Inflammations chroniques de la vessie 

décembre 2011

Il y a des années que je souffrais d’inflammations chroniques. Cela s’exprimait par des douleurs à la miction, qui revenait régulièrement en fin de semaine. Le diagnostic était inflammation de la vessie.

Je suis droitière et que je prends la pilule. J’ai eu une mère très dominante et tant que je vivais à la maison avec elle, je n’avais pas de chambre à moi, je l’a partageais avec ma petite sœur. A l’époque toute la famille vivait à l’étroit. En grandissant, j’ai connu un ami, et toutes les  fins de semaine je me rendais chez lui, il logeait près de  chez moi, c’était pour nous la seule façon de nous rencontrer.   
A cette période, je ne savais pas que les inflammations de la vessie avaient un rapport avec le marquage du territoire. En fait j’ai résolu mon problème sans m’en rendre compte et maintenant que j’étudie la Germanique, j’ai découvert le conflit qui provoque ces inflammations.
A la maison je n’avais pas de territoire propre. Je ne pouvais pas non plus fermer la porte de la chambre, ma mère était toujours là à vouloir tout savoir. La sphère privée n’existait tout simplement pas. C’est ainsi que durant toute la semaine, mon conflit de marquage du territoire s’installait. Le sens de ce Programme Biologique  spécial réside dans le fait d’élargir la vessie par ulcération (en phase active, indolore) pour mieux marquer le  territoire avec plus d’urine. Mon organisme  voulait m’aider à obtenir une plus grande quantité d’urine,  afin de mieux marquer mon territoire à l’intérieur de ma famille.

Chaque fin  de semaine, j’allais chez mon ami  et là j’étais totalement dans mon territoire, j’avais mes marques. J’avais une vraie vie privée. J’entrais donc en phase de réparation avec ses douloureuses inflammations de la vessie.
Concernant ces inflammations, la cause en était toujours « d’être habillée trop légèrement » ; « de s’asseoir sur une pierre froide » etc. Et un jour, pendant cette période où j’avais ces problèmes, nous étions allés faire du kite - surf. C’était en octobre, l’eau était très froide, en dehors de l’eau il ne faisait pas chaud, je courais pieds nus sur des pierres glacées et pris une douche en plein air avec de l’eau tiède. A ce moment là je me suis dit : « si après ce week-end, je n’attrape pas une inflammation de la vessie, alors j’y comprends plus rien ! »
Et alors ? RIEN ! Parce que c’est évident je n’avais pas fait de récidive de marquage de territoire. 
Il y a maintenant environ un an que j’ai quitté la maison familiale et depuis mon installation chez moi, je possède mon territoire, mon conflit est donc terminé. J’ai compris cela bien plus tard, après être partie de la maison. Si j’avais connu plus tôt la Germanique, je me serai prise en main plus tôt.

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Il est de plus en plus urgent que la Germanische Heilkunde soit reconnue. C’est la seule médecine  qui implique un rapport de cause à effet et nous libère de la peur. Dans ce cas, si la maman, la jeune fille et son ami  avaient  connus les Lois et les Programmes  Biologiques Bien fondés de la nature, alors l’inflammation  aurait été évitée.

Marquage de territoire : vessie
Conflit de ne pas savoir reconnaître la limite du territoire de l’intérieur, ou conflit de ne pas pouvoir déterminer sa position.
Dans ce cas,  tous les week-ends la femme marquait son territoire avec son  partenaire et son logement.  Les récidives ont cessées quand elle a décidé de vivre chez son ami et avoir son chez soi, définitivement indépendante de sa mère et de sa famille.
Remarque : il existe deux types de SBS qui touche la vessie :

  1. Le SBS  du cas ci-dessus, touche l’épithélium pavimenteux, le relais se situe au cortex cérébral, « la personne est confrontée à un conflit de marquage de territoire, limite ou position dans le territoire ». Il y a  ulcération dans la phase active et dans la phase de solution  il y a régénération des ulcères avec  papillome, saignements, brûlures.
     
  2. Le SBS touche la sub- muqueuse du  trigone de la vessie, le relais se situe au tronc cérébral, la personne est confrontée a « un conflit odieux, une saloperie dans le territoire ». Il y a multiplication cellulaire dans la phase active et dans la phase de réparation,  il y a nécrose caséifiante  ou enkystement = tumeur compacte ou cystite tuberculeuse purulente (écoulements purulents).
     


Inflamation de la vessie 

Marquage de territoire - Inflammation de la vessie en relation avec le football

Depuis le printemps, en avril 2012, je ressentais depuis quelques semaines des douleurs au niveau de la vessie, accompagnées d’une envie d’uriner en permanence. La douleur était forte en fin de semaine et s’atténuait à partir du mardi ou du mercredi.

Que s’est-il passé en avril ? Aucune idée. Rien …
Rien n’est issu de rien ! Vrai, mais je ne voyais vraiment pas !
Donc allons voir le tableau, conflit de marquage de territoire !
Ok, voyons voir ce qui se passe dans mon territoire.
A la maison ? Tout est ok.
Au  boulot ? Tout ok.
Hmm, qu’est-ce qu’on a d’autre dans le territoire ?
Qu’est-ce que tu fais pendant tes loisirs ?
Beaucoup de promenades avec le chien, mais tout est ok. Jouer aux échecs, au football.
FOOT-BALL = Bingo. Conflit trouvé !

Depuis tout petit, je joue au football. Avec toujours autant de plaisir et tout a fait raisonnablement. J’ai arrêté de jouer en championnat vers 35 ans et me suis inscrit chez les ‘‘Vieux Messieurs’’. Il n’y a plus d’enjeu, il s’agit simplement de se faire plaisir et de se remuer un peu. Jusque-là rien de spécial à signaler.

A 40 ans j’ai rejoint ma nouvelle femme dans une autre ville. Là aussi j’ai rapidement trouvé une nouvelle association d’anciens footballeurs et j’ai pu continuer à jouer au football. Pourtant je ne m’y sentais pas tout à fait bien, je n’y trouvais aucune chaleur humaine. En 6 années je ne me suis fait qu’UN seul ami, la plupart des autres m’indifféraient et eux m’ignoraient. Pour compléter le tout, il y avait aussi 3 véritables ‘‘trous de balle’’ que j’ignorais totalement.

A la fin de la dernière saison, notre entraîneur a arrêté et c’est un de ces trois ‘‘trous de balle’’ qui devint notre nouvel entraîneur. Au début de la nouvelle saison qui débute en avril, il déclara que dorénavant il faudrait un peu plus de performance et qu’il inviterait assez souvent de jeunes joueurs pour augmenter l’intensité du jeu. Ce qui eut pour conséquence que de plus en plus souvent les anciens joueurs et moi en particulier nous devînmes des spectateurs, ce qui veut dire qu’on passait le match sur le banc de touche ou bien on jouait juste quelques minutes. Les matchs avaient toujours lieu le vendredi ce qui explique mon problème de fin de semaine.
La solution vint d’une connaissance qui me dit : « viens chez nous, tu pourras jouer au football sans stress, (personne ne s’en réclame) il n'y a pas de grincheux chez nous, c’est simplement du plaisir !

C’est exactement ce que j’ai fait et me suis aussitôt inscrit au nouveau club. 
Le problème mentionné plus haut n’est plus reparu, aucune complication non plus.
Je suppose que ce n’était pas vraiment un conflit avec DHS etc. mais plutôt que j’étais tombé dans un ‘‘rail’’ formé dans mon enfance.
Pour décrire au mieux ce ‘‘rail’’, on pourrait dire : « Comment ça, je n’ai pas le droit de jouer ? ». Ceux qui ont des frères et sœurs plus âgés, comprendront ce que je veux dire.
A cela s’est très certainement ajouté mon ‘‘rail principal’’ : l’INJUSTICE. En temps normal je suis plutôt du genre calme. Quand une injustice se mêle à un autre aspect, je deviens maniaque. Donc une constellation.
Je n’ai écrit cette histoire que parce que récemment j’ai revu un vieil ami. Il s’est fait avoir lorsqu’il s’est mis à uriner du sang. Opération, vessie, prostate et préventivement un morceau d’intestin…

Avec tous mes meilleurs sentiments.
Steffen

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Remarque: Il s’agit d’un marquage de territoire, et « d’un rail » car il s’était déjà trouvé dans ce même cas avec  l’équipe précédente ou durant  l’enfance puisqu’il le mentionne, mais il ne dit pas le conflit déjà vécu dans l’enfance. 
Pour retourner dans le « rail » ou récidive,  il faut de toute façon un nouveau DHS qui relance le programme  biologique spécial bien-fondé (SBS). Ce Monsieur, ne pouvait pas marquer son territoire puisque à chaque jeu il était mis sur la touche, et ne participait quasi pas, puisque ce sont les jeunes qui pratiquaient et les plus vieux restaient spectateurs (c’est son ressenti).  Alors il ne savait pas où étaient ses limites, participer, ne pas participer, un peu ou pas du tout… il ne savait pas où était sa place.
Le conflit a été solutionné, et les récidives ont cessées,  car il a changé définitivement de club.
 



Cystite

Je suis une jeune femme de 23 ans. Il y a 3 ans environ j’ai ressenti pour la première fois les symptômes douloureux d’une cystite. Je ressentais une brûlure quasi insoutenable, au moment de la mixtion ou en dehors  Je passais des heures sur les toilettes. J’ai pris des antibiotiques et des antalgiques. Le médecin m’avait expliqué que la cause était due à un champignon qui se transmettait lors des rapports sexuels. Il fallait impérativement convaincre mon ami de consulter et de prendre des antibiotiques. Malgré les traitements, aucun résultat probant n’en sortit et à la première occasion tout recommençait de nouveau. Lorsque ma relation avec mon (ex) ami a pris  fin, la cystite a cessé. Puis  je fis la connaissance de celui qui devint mon mari et tout est reparti comme avant.
 

Mon mari connaît depuis plusieurs années la Germanique. J’ai compris que j’avais fait un conflit de marquage de territoire et que je retombais toujours dans le ‘rail’. Je devais trouver le DHS et le rail 

La piste m’a semblée facile à découvrir. Une certaine position m’incommodait quand on faisait l’amour avec mon mari, je ressentais comme une pression sur la vessie, ce qui m’était inconfortable et je pensais que cela me provoquait la cystite un ou deux jours après. Nous avons exclu cette position particulière lors de nos rapports et pendant un an et demi je n’ai plus eu de symptômes.
Récemment, mon mari m’a demandé si je me rappelai du DHS ? En effet, je m’en souvenais bien. 
Tout d’abord, j’ai mis fin à ma relation avec mon ex-ami. Peu de temps après j’ai connu un jeune homme très sympathique mais qui par son travail, devait voyager beaucoup et par conséquent n’avait pas beaucoup de temps à me consacrer. J’ai eu des relations sexuelles avec cet homme mais jamais avec la position de l’ex ami. Un samedi soir, je suis sortie seule et  je suis tombée par hasard sur mon ex-ami. J’ai accepté sa proposition de me raccompagner à la maison et bien sûr cela s’est terminé au lit. Nous avons eu une relation sexuelle et précisément avec la position désagréable, et je me demandais sans cesse au cours de la relation, où dois-je me situer : « avec lui mon ex ami avec qui je suis au lit  ou avec le jeune homme nouveau, je ne savais pas avec lequel je devais poser mes limites, marquer mon territoire. Par la suite j’ai tenté de relancer la relation avec mon ex-ami, ce qui a été très douloureux, car je souffrais de cystite chronique et parfois extrêmement aiguë. 
Mon mari a été très heureux d’entendre cela car je suis à l’heure actuelle très bien dans mon mariage et je sais où poser mes limites et marquer mon territoire.
Connaissant le  DHS, je fais en sorte qu’il ne se reproduise plus et ainsi ne plus retourner dans le rail  étant donné que le conflit et le « rail » associés sont démantelés maintenant.
Nous avons aussitôt fait un essai que nous avons renouvelé souvent. Et voilà, je n’ai plus de cystite.

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Remarque

Chez cette femme, chaque fois, qu’elle faisait l’amour avec son mari, et qu’elle se trouvait dans la position inconfortable au moment de la relation la position l’a remettait dans le rail : « où dois-je poser mes  limites : (référence à l’ex-ami et au mari) elle ne savait pas où poser ses limites, c’est-à-dire ses marques  entre l’un ou l’autre, lequel est le bon !

La position la remettait dans ce rail, et comme elle a éliminé la position désagréable,  elle n’a plus refait le conflit de marquage de territoire et une fois mariée, elle marque pleinement son territoire avec son mari donc plus de cystite.

Pour retourner dans le rail, ce n’est pas nécessaire de refaire le DHS, il suffit, pour ce cas de la position, ou ce peut-être une odeur, une couleur, un regard, pour que la personne retourne immédiatement dans le rail, c’est ce que l’on appelle aussi  allergie.

Dans la cystite : les brûlures, les douleurs apparaissent dans la phase de vagotonie, de réparation. Ces symptômes sont augmentés s’il y a le conflit actif des collecteurs des reins (le Syndrome) à cause de l’augmentation de l’œdème provoquée par la retenue des liquides.