L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

Le rein - Témoignages

Peur bleue de Monsieur André H. 

Depuis 1991, je suis venu plusieurs fois par an rencontrer une personne de l'association ASAC à Chambéry, et j'ai rencontré particulièrement Madame Andrée SIXT. La plupart du temps, je venais accompagner un ami, une amie, une parente, un parent, qui était malade, voulait connaître et comprendre les découvertes du Dr HAMER.

Chaque fois, je suis revenu chez moi, plus convaincu que la fois précédente, que ce que le Dr HAMER disait était vrai et logique. L'impression, certes, qu'il restait des zones d'ombres, des pistes à creuser, mais qu'en gros ces découvertes représentaient un vrai TRESOR pour l'humanité et que c'était inexplicable, incroyable, quasi-criminel que les autorités officielles, non seulement n'aident pas le Dr HAMER, mais cherchent à l'empêcher d'exploiter un tel trésor!

Aujourd'hui, nous remercions spécialement l'Université de TRNAVA, Bratislava, ses professeurs qui ont vérifié cette Médecine Nouvelle. Les malades ont un besoin urgent de ces découvertes scientifiques pour guérir.

Je vous présenterai deux témoignages.

Le premier me concerne personnellement.
Un jour où j'étais venu pour évoquer avec Andrée les maladies de la prostate, alors qu'elle examinait un scanner de mon cerveau, celle-ci me dit : "Vous avez dû avoir des problèmes avec l'eau ou un liquide !". Je lui répondis que j'étais très étonné qu'elle me dise cela. Certes je ne suis pas un fanatique de la piscine, ni même des bains de mer, mais je ne voyais pas en quoi l'eau pouvait être un élément perturbateur dans ma vie ! Ce jour-là je me suis dit que dans ce que me disait Andrée SIXT, il y avait quand même des choses qui ne correspondaient pas bien à la réalité...

Or, à quelque temps de là, en parlant avec ma femme, j'ai découvert tout à coup que dans ma vie il m'est arrivé deux fois une vraie panique, ce qu'en français on appelle une "peur bleue", à cause de l'eau.

Le premier cas s'est passé en Tunisie alors que je me baignais dans la mer avec des amis. Deux femmes de mes amies ont failli se noyer sous mes yeux. Nous ne nagions pas très loin du bord car il y avait de grandes vagues. Or, à un certain moment, du fait d'une sorte de barre qui nous repoussait violemment vers le large, j'ai crû que je n'arriverais jamais à rejoindre le bord. Après m'être débattu comme un beau diable, j'y suis quand même parvenu. Et en voulant alerter les autres personnes, dont ma femme, qui étaient avec moi, je me suis rapidement rendu compte que deux de nos amies ne parvenaient pas à lutter contre cette fameuse barre et personne parmi nous n'était assez bon nageur pour leur porter secours. Il n'y avait sur la plage qu'un couple qui n'a pas daigné répondre à mon appel. Je me suis mis à courir vers un groupe de militaires qui se reposaient à quelques centaines de mètres de là. J'étais tellement affolé que mes jambes se dérobaient sous moi. Je me voyais déjà annoncer à leurs maris la mort des deux jeunes femmes.... Finalement, quand je suis revenu, ces deux amies avaient été secourues... mais quelle émotion !

Le deuxième cas s'est passé dans un vieil immeuble de Lyon où nous aménagions un appartement que nous venions de louer au 2e étage. J'étais dans la cour, quand j'entendis un neveu, qui utilisait une perceuse, me crier : "çà coule ! "J'ai d'abord crû qu'il s'était blessé et que c'était du sang qui coulait... En fait, il avait percé une canalisation d'eau. L'eau, qu'il essayait de retenir avec sa main, envahissait déjà l'appartement. Je vais fermer le robinet du compteur d'eau. Mais l'eau jaillissait toujours aussi fort. Je commence à courir comme un fou, d'abord prévenir nos voisins d'en dessous (joli cadeau d'arrivée que nous leur faisions !), leur demander où était le robinet d'arrêt de l'immeuble.

Ils pensaient qu'il était dans les caves, le plus sûr était de demander aux gardiens qui habitaient au cinquième étage, mais ceux-ci étaient absents.

Les caves ne comportaient aucun éclairage électrique. Je découvre quand même quelques robinets que je ferme les uns après les autres... et ça coulait toujours ! Finalement ce sont les services de l'eau de la ville et des pompiers qui nous ont secourus. Ce jour là j'ai encore su ce que c'est que d'avoir les jambes coupées par la peur....de l'eau !

... Et quelques années après, Andrée SIXT lisait la marque de ces conflits avec l'eau encore inscrite sur le scanner.

Deuxième témoignage : il concerne ma fille.
Voilà deux ans environ, en 1997, alors que ma fille venait d'avoir 20 ans, elle est alertée par sa gynécologue, sur une grosseur au sein. Tout en cherchant à ne pas trop l'inquiéter celle-ci lui recommande d'accepter de faire une analyse et d'envisager éventuellement de se faire enlever cette grosseur, cette "boule". Elle ajouta : "A votre âge cela est sûrement sans conséquences et aujourd'hui, ce genre d'opération se passe très bien".

Ma fille décide alors d'en parler avec Andrée SIXT. Celle-ci lui pose d'abord deux questions précises : "De quel sein s'agit-il, le droit ou le gauche ? et quelle est la taille de cette "grosseur" ?

Réponse : "Sein droit et environ 4 cm de diamètre". - Etes-vous droitière ? - Oui. En effet cela s'est vérifié avec le test d'applaudissement. - Alors vous avez certainement vécu récemment un conflit avec un partenaire ; vous avez peut-être un fiancé ? - Je viens de rompre, en effet, avec un ami, et pour moi la rupture n'est pas un conflit...... - Vous avez eu sans doute un conflit avec lui, et il s'est peut être réglé par la rupture ? Si c'est le cas, la boule ne devrait plus grossir, et à votre âge même régresser, voir disparaître. Mais ce n'est vraiment pas grave.. . Vous avez fabriqué du sein en plus ! Le sein est ce qui attire le regard du partenaire. Si celui-ci ne vous regarde pas suffisamment, s'il ne vous comprend pas ou ne se rend pas compte de ce qui ne va pas, le sein droit, pour les droitières va grossir, pour que l'autre vous remarque. C'est un moyen de la nature d'attirer l'attention, et non une maladie. Andrée SIXT ajoute : "normalement, pendant la phase active du conflit, la grosseur se développe à raison d'un cm tous les 7 mois environ". Et bien, répond ma fille, j'ai "vécu" avec ce garçon pendant environ 2 ans et demi, mais au bout de 6 mois, (je ne m'en suis rendue compte que plus tard), ma relation est devenue de plus en plus lourde à porter, par l'incompréhension.

En septembre 1998, un an après avoir bien compris son conflit, qui s'était terminé avec la rupture d'avec son ami, lors d'une nouvelle radio du sein, la radiologue dit à ma fille : "Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais votre fibro-adénome, il est tout raplapla".

Toute ma famille remercie le Dr HAMER, la Médecine Nouvelle.

André H.
 



Coliques néphrétiques chez une femme enceinte 

24. 04. 2010

« Conflit de ne pas pouvoir marquer son territoire, ne pas savoir quelle opinion suivre ».
Je suis sage-femme libérale et assure les naissances à domicile. J’accompagne les familles durant la grossesse, l’accouchement et les couches, celles qui ne veulent pas d’emblée se mettre dans les mains de la médecine classique, mais qui préfèrent plutôt faire confiance à leurs propres possibilités et accoucher à la maison.
J’ai accompagné l’été dernier une jeune famille dont la future maman, Eva (le prénom a été changé) projetait d’accoucher chez elle dans une ambiance familière entourée des gens qu’elle avait choisi.
Pour cette raison et durant toute sa grossesse elle avait un gros conflit avec sa mère qui, outre les soucis qu’elle se faisait à ce sujet, était farouchement opposée à un accouchement à la maison et voulait à tout prix faire admettre à sa fille combien il était dangereux d’accoucher en dehors de l’hôpital et de renoncer ainsi à une aide médicale en cas de besoin.
Eva était tiraillée, d’un côté elle aurait aimé mettre son enfant au monde dans une atmosphère paisible sans le stress de l’hôpital et de l’autre, elle ne voulait pas la guerre avec sa mère. Je lui laissais entièrement le choix, soit d’accoucher à la maison, soit d’aller à l’hôpital et la confortait dans ses capacités à accoucher en lui réaffirmant que je l’assisterais quelle que soit sa décision.
Au cours de la 24 ème semaine de grossesse, Eva eu des douleurs aux reins. Un jour ces douleurs furent si fortes qu’elle fut conduite à l’hôpital pour des coliques néphrétiques. On lui prescrit des antibiotiques et on lui installa un cathéter depuis le rein  jusqu’à la vessie. Elle pu sortir bientôt avec ce cathéter implanté. Mais les douleurs revinrent. L’infection gagna le bassinet du rein via le cathéter. Le conflit avec la mère à propos de l’accouchement à la maison persistait comme avant.
A la crise de coliques néphrétiques suivante, on lui implanta une évacuation artificielle, un cathéter, qui sortait directement du rein vers l’extérieur au niveau du dos. Le projet d’accoucher à la maison était en train de s’évanouir. Eva était devenue une « patiente à risques » et les médecins commençaient déjà à parler de césarienne. 
3 semaines avant la naissance, il y eu une explication sévère entre Eva et sa mère. Ce fut bien sûr de nouveau à propos de l’accouchement à la maison et la mère d’Eva devint réellement agressive et ne se contrôlait plus. Eva était démolie et je lui dit :  « qu’ ELLE seule mettait son enfant au monde. Qu’ELLE seule aurait les douleurs. Qu’ ELLE seule accouchait. Personne ne pourrait lui ôter cela, même pas sa propre mère ».
Quelques jours plus tard, Eva se rendit à l’hôpital pour demander aux médecins de lui enlever le cathéter. Bien entendu, les médecins étaient choqués par une telle demande et lui signifièrent que si elle persistait dans sa démarche elle devait leur signer une décharge comme quoi elle agissait contre l’avis médical et devrait d’abord rester une nuit en observation.  Le cathéter sera clampé afin d’observer l’apparition de nouvelles douleurs, et si tout se passe bien, le cathéter lui serait enlevé. 
C’est à contre cœur qu’Eva accepta de passer une nuit de plus à l’hôpital. 
Elle fut soudain sûre à 100% qu’elle était en bonne santé et qu’elle n’aurait plus de crise de coliques néphrétiques. Quelque chose avait changé. Le jour suivant on lui enleva le cathéter avec la décharge signée.
Les 3 dernières semaines de la grossesse se passèrent merveilleusement bien. Eva se sentait pour la première fois, heureuse d’être enceinte. Elle se portait très bien. Elle ne prenait plus d’antibiotiques, bien que les médecins le lui prescrivaient ardemment. 
Par un beau samedi d’été, je fus appelée pour la naissance.
Le col s’ouvrait étonnement vite et le fils d’Eva se glissa doucement et avec précaution hors d’elle, dans la baignoire à la lumière des bougies. Ce fut une merveilleuse naissance à domicile.
Après l’accouchement, le conflit entre Eva et sa mère repris. L’enfant était né, « heureusement » que tout s’était bien passé. Sa mère lui dit qu’à coup sûr elle ne pourrait allaiter, elle-même avait toujours du interrompre rapidement l’allaitement parce qu’elle n’avait pas assez de lait. Au début Eva eu des problèmes pour allaiter, les mamelons étaient à vif et lui faisaient mal. 
Au cours d’une visite que je fis à la maison, elle me raconta qu’elle se sentait forte depuis la naissance. Pour la première fois de sa vie elle avait fait quelque chose que sa mère ne voulait pas. Elle en retirait une immense confiance en elle, elle avait enfin coupé le cordon ombilical !
C’était une grande satisfaction pour moi d’assister à cela.
Après quelque temps l’allaitement marcha très bien et le petit devint très vite le rayon de soleil de toute la famille. Aujourd’hui, mère et fille discutent de la naissance à domicile, le conflit semble dépassé. Eva attendra un jour ou l’autre son deuxième enfant et je suis sûre qu’il n’y aura plus de crises de coliques néphrétiques, car maintenant elle sait ce qu’elle veut…
Je vois souvent ce genre d’histoires de par mon métier de sage-femme, je me trouve souvent en présence de conflits très variés et suis toujours autant fascinée par la justesse des explications de Hamer.

Sincères salutations et faites confiance en vos capacités !

Margaret H.