L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

Le cœur - Témoignage

Infarctus du myocarde

Je vous transmets ce que j’ai appris au cours d’une crise d’épilepsie, concrètement il s’agit d’un infarctus du myocarde.

J’ai 43 ans et je suis droitière.
Cela s’est passé il y a sept ans et c’était la première fois que j’entendais parler de la Médecine Nouvelle Germanique, qui s’appelait à l’époque « Médecine Nouvelle » et par la suite on m’a prêté les livres d’or du Dr R.G. Hamer. Quelque temps après, j’ai fais une violente crise d’épilepsie (la mi-temps dans la phase de vagotonie).
A cette période, je ne savais pas que je venais de résoudre un conflit et que je devais m’attendre à cette crise.
Après avoir lu ces livres intéressants, j’avais globalement compris le déroulement des maladies. Un moment donné, j’ai été saisie de symptômes violents qui progressivement se sont atténués. Après coup, cette situation parue à ma connaissance la plus importante pour m’aider à franchir le cap de cette crise épileptique.
Un dimanche après midi, seule dans mon séjour, alors qu’assise je lisais  tranquillement, j’ai ressenti tout à coup la crise d’épilepsie sans signes avant coureur.
Très vite, j’ai perçu une très violente douleur dans la poitrine, comme une piqûre, au moment de respirer (comparable à une crampe), cela rendait l’inspiration quasi impossible.
Même le fait de chercher à respirer très, très doucement provoquait une douleur extrême. Je me suis résolu tout simplement à garder l’air inspiré dans les poumons, dans l’espoir que cela se calmerait d’une façon ou d’une autre ; parce qu’en bloquant ma respiration la douleur disparaissait. 
C’est curieux, car depuis le début je n’ai pas eu peur, au contraire, j’étais  parfaitement sereine pendant tout ce temps ! J’étais consciente que je vivais là, quelque chose qui était décrit dans les livres comme une crise d’épilepsie. A ce moment-là bien d’autres pensées m’ont traversées l’esprit.
Au bout d’un moment, j’ai essayé de nouveau de respirer tout doucement : la douleur quoique encore violente était déjà un peu moins aiguë ! J’eu alors la certitude que le plus dur était passé et que dorénavant tout devrait aller mieux.
Cela a duré même pas deux minutes ou à peine une demie minute, toujours est-il que le temps me parut très long.
Progressivement la respiration redevint possible, quoique lentement, jusqu’à la récupération totale. Les douleurs à leur tour se sont apaisées.
Plus tard, alors que je restais assise, je me décidais de me lever et je marchais un peu dans la maison.
J’ai ressenti encore un bon moment des douleurs dans la poitrine et ce n’est qu’après deux bonnes heures et demie qu’elles ont disparu complètement.
Je ne sais toujours pas pourquoi à ce moment là je n’ai pas eu peur.
La raison peu s’expliquer ainsi : m’étant beaucoup intéressée à la lecture des livres quelques temps auparavant, je savais parfaitement .qu’une chose de cet ordre pouvait arriver.
Mais, ce dont je suis sure, c’est que si j’étais entrée en panique, les choses se seraient déroulées quelque peu différemment.
Je n’ai appris que plus tard que cette crise d’épilepsie était un infarctus du myocarde.
Le conflit à l’origine de cette relation n’a que peu d’importance. Des conflits on en a tous les jours, on les résout tout aussi souvent et parfois de façon complètement spontanée : c’est la vie quoi !
Je ne peux que recommander à tout un chacun de s’informer sérieusement sur le thème de la GNM et quand il en est encore temps ! 
Merci au Dr. Ryke Geerd Hamer.

Merci à la famille Pilhar pour votre action dans ce sens !

M. A.

***

Remarques:
Dommage que Madame A. ne nous dévoile pas la teneur de son conflit, mais ce sont là des choses que nous devons respecter ! Volontairement ou non elle nous a quand même livré un peu de son vécu, pour autant qu’on connaisse la GNM. C’était une crise épileptique du myocarde droit (crampe) et une crise épileptique du diaphragme gauche (détresse respiratoire). Pour un droitier cela veut dire probablement qu’il a résolu un conflit de surmenage et un conflit « de ne plus pouvoir attraper de l’air » (le souffle lui a été coupé) vis-à-vis de la mère ou de l’enfant.
Je connais personnellement Mme A. et ne voudrais pas non plus insister. Peut-être nous racontera-t-elle un jour toute l’histoire.
A noter : cet infarctus du myocarde ne montre pas d’obstruction des artères coronaires !
 



Infarctus du myocarde et paralysie faciale                         

28.09.2013

Femme âgée de 41 ans, droitière, mère de deux enfants : une fille de 15 ans et un fils de 14 ans. 
Je n’ai jamais pris la pilule ni hormone. Durant 11 années de ma vie je me suis consacrée à ma petite famille, afin de subvenir à ses besoins et lui procurer un bien être chez soi. Mes parents, qui ont une grande importance pour moi, vivent  dans la maison voisine, ils m’ont aidé toutes ces années  à nous maintenir à flot.
Toutes ces années passées, j’ai connu des hommes,  mais je n’ai jamais réussi à établir une relation durable. Parfois, j’étais si fatiguée que je  ne songeais même pas à trouver un partenaire. 
Puis un jour, j’ai fais la rencontre d’un homme âgé de 7 ans de moins que moi.  Dans un premier temps il n’était pas question qu’il soit un partenaire potentiel. Nous sortions beaucoup ensemble. Il me  permettait une ouverture vers d’autres horizons qui rendaient ma vie de plus en plus agréable. 
Au bout d’un certain temps, il me tardait de vivre avec lui, mais je craignais un refus de sa part au vu de mes précédentes expériences infructueuses. Ma famille n’est pas conservatrice,  mais notre projet de vie commune, elle ne l’a pas accepté avec  enthousiaste.
Mon compagnon n’est pas dans la norme : il est très  direct et dit ce qu’il a à dire. Il remet plein de choses en question, d’où son intérêt pour Germanische Heilkunde. 
Le 30 mai mon père avait encore distribué les journaux puis s’était mis au lit et il est décédé subitement à 7 heures à l’âge de 62 ans.   Il ne se sentait pas malade. Le médecin urgentiste appelé a diagnostiqué une mort subite par infarctus du myocarde. Après avoir beaucoup parlé de cela durant une grande partie de la période de deuil, nous avons découvert ce qui s’était passé :
 J’ai deux sœurs et un frère qui est toujours  le petit poussin de la maison. Je dois dire que j’étais vraiment la petite préférée de mon père, mais mon frère faisait ce qu’il voulait et dépassait souvent les bornes. Il n’était vraiment pas le fils que mon père aurait souhaité avoir. Il a été longtemps au chômage et bien plus.
Lorsqu’à 18 ans j’ai rencontré le futur père de mes enfants, ce fut comme si celui-ci remplaçait le « fils prodigue ». Mon père passait beaucoup de temps avec mon mari et ils  démarrèrent la construction d’une maison pour moi et nos enfants dans laquelle nous pourrions vivre. Ils travaillaient dur mais toujours ensemble. La maison était encore dans le gros œuvre lorsque notre mariage se mit à « battre de l’aile ». Mon mari m’a quitté pour ma meilleure amie et m’a laissé seule avec les deux bébés et la maison à moitié terminée.
Le choc a été terrible pour moi, et encore  bien plus pour mon père qui avait tant misé sur lui ! Il a même  menacé  mon ex-mari de lui tirer dessus si jamais il osait se montrer à nouveau dans son entourage. Cela avait une telle importance pour mon père qu’il s’investi totalement pour moi une dizaine d’année dans cette construction afin de prouver  à mon ex-mari que nous n’avions pas besoin de lui et que nous y arriverions seuls sans lui.
Ce conflit a été  résolu avec l’arrivée de mon nouvel ami. Le conflit avait été actif toutes ces années où mes rencontres avec des hommes ne signifiaient pour eux  que le « passage au lit». 
C’est lorsque mon père m’a vu si heureuse avec mon nouvel ami que son conflit a trouvé sa solution. Malheureusement, la masse conflictuelle accumulée depuis presque 11 années était trop importante….
Le conflit a été solutionné probablement le dimanche de Pâques 2011 lorsque nous étions tous réunis autour de la table et que la famille était en ordre. Il nous a quitté à peine 6 semaines plus tard après la crise épileptoïde…
Mon ami était à mes côtés, me soutenait, me consolait. J’avais le sentiment d’avoir perdu un roc,  et  d’un autre côté d’en avoir trouvé un autre.   Au bout de quelques mois  chacun avait fait son deuil, mais maman a changé après la mort de mon papa. Avant cet évènement ma mère était la personne la plus aimable qui soit et d’un coup elle devint possessive. Mes sœurs aussi prenaient partie. Est-ce que cet homme est réellement le bon pour toi ? Telle était le fond de leurs propos. Je n’arrivais plus à retrouver leur confiance qu’ils m’accordaient toujours auparavant afin de faire le bon choix. Nous habitions séparément avec mon ami parce que cela ne faisait pas longtemps que nous nous connaissions. Je voulais rendre visite à mon ami et passer la nuit chez lui. Ma mère habitant la maison voisine de la nôtre je n’y voyais pas de problème. Pourtant ma mère m’a demandé  le plus sérieusement du monde si je ne voyais pas un problème de responsabilité vis-à-vis de mes enfants de les laisser seuls toute la nuit. J’ai eu l’impression d’être prise pour une irresponsable,  d’autant qu’elle n’avait jamais vu aucun problème lorsque je partais pour mon service de nuit. ! Cela me faisait vraiment mal.
Je me suis rendu tout de même chez mon ami et déjà le lendemain je remarquais que mon œil se desséchait doucement.  Cela me démangeait et me faisait un peu mal et j’avais l’impression de ne plus pouvoir fermer la paupière droite. La nuit je la fermais avec du sparadrap.
Le jour d’après nous étions tous invités à prendre le café chez ma mère pour son anniversaire. Mes sœurs et mon frère  étaient présents. Lorsque j’ai voulu boire ma tasse de café je la portais à mes lèvres mais le café coula le long de mon cou. Tout le monde me regardait effaré. La moitié droite de mon visage s’était paralysé et tombait.

Je n’étais pas en panique, j’avais juste un peu peur. Mon ami aussi n’était pas en panique. Instinctivement je savais pourquoi mon corps réagissait ainsi même si sur le moment j’aurais été incapable de le formuler clairement. Mon ami devait partir plus tôt et lorsqu’il fut parti je ressentis la panique de ma famille et je me laissais convaincre d’aller à l’hôpital. 
On m’a fait une prise de sang pour déterminer les enzymes cardiaques ( ? pas sûr que ce soit juste) afin d’éviter une crise cardiaque ou une attaque. Les valeurs étaient tout à fait normales. Cette réponse m’était plus que suffisante !!! Mais les médecins se proposèrent de faire une ponction de la moelle épinière (ponction lombaire) ce que je refusais énergiquement. Ils me menacèrent de prévenir le médecin-chef si je ne voulais pas obéir. Je leur répondis que même le médecin-chef ne changerait rien à ma décision et que maintenant je partais. Aucun charlatan ne me piquera dans la colonne vertébrale ! Surtout que je connaissais déjà mon diagnostic étant au fait de notre système de santé.
Quand le médecin-chef est arrivé, je lui ai dit d’aller en enfer ! Il m’a fait  signer un papier comme quoi je déclinais l’offre de soin, ce que je signais allègrement. Ils m’ont remis de la cortisone que je n’ai pas prise bien sûr. Je savais que seule une explication franche avec ma mère était la solution et c’est ce que j’ai fais. Nous avons eu une bonne conversation, je lui dis clairement que j’étais là aussi pour elle même si maintenant j’avais un partenaire. Elle  a accepté parce qu’elle m’aime.
La paralysie faciale s’est résorbée dans un laps de deux semaines sans aucun médicament. Je n’ai aucune séquelle. Ma mère s’est mise à aimer mon ami, nous avons emménagé ensemble et elle cuisine pour lui. Mes enfants aussi s’entendent bien avec lui.
Sans la bonne connaissance de Germanische Heilkunde  et le bon sens de mon ami, il n’est pas sûr que  j’aurais traversé cette histoire aussi facilement.
Même si je devais partir…
Je suis heureuse d’avoir compris les tenants et aboutissants. Si on avait pu  pratiquer la Germanische  Heilkunde chez nous peut-être que mon père aurait eu une chance. Je ne peux qu’espérer que mon témoignage aide d’autres personnes à comprendre leur corps et tout ce qui se passe. En définitive, c’est aussi  l’histoire d’une société complètement dévoyée !
Ici je veux adresser un grand merci au Dr Hamer et à Helmut Pilhar.
Salutations 
C.



La hache de Trnava

Trnava 9 septembre 1998
Cas présenté au Dr Hamer, au cours de la conférence/vérification Université de Trnava (Extrait du livre Krebs) 
©Dr. Ryke Geerd Hamer®

C’est au deuxième jour de la vérification de la GNM, par l’Université de Trnava, que m’a été présenté le troisième et dernier cas de la journée dont le caractère dramatique serait difficile à égaler. Ainsi qu’on me le répéta, le Pro recteur de l’Université, le Dr Jozef Miklosko, Professeur de mathématiques, le rapporta le jour même à ses collègues, de la façon suivante :

 

http://www.germanique-france.com/images/Germanique/hachetravna/victime%20de%20la%20hache.jpg

le patient de Trvana, âgé de 75 ans en 1978 qui, il y a 23 ans, avait reçu une hache plantée jusqu’à la garde dans la cavité thoracique, à proximité immédiate du péricarde.

« Aujourd’hui j’ai vécu quelque chose qui m’a complètement bouleversé, et nous tous qui étions présents, le furent, même le Prof. Jurga, oncologue. Le Dr Hamer est un obstiné, un Frison, pas moyen de lui faire perdre son sang froid, tout ce qu’il a dit fut : « le patient a dû ressentir une immense attaque contre son cœur ».
Pendant toute une heure il avait questionné le patient à propos de son cœur, calmement, poliment : Il lui a demandé s’il avait eu un infarctus du myocarde ou une angine de poitrine, si son père, sa grand mère, son grand père ou son (chien)  basset avaient eu un infarctus, ce qui l’aurait beaucoup éprouvé. La réponse du patient de 75 ans était toujours la même, non, il n’avait eu aucun conflit de cette nature.
Tandis que nous étions de plus en plus tendus et nerveux à l’extrême et que le Prof. Jurga passait d’une fesse à l’autre de sa chaise, prêt à se lever pour dire : « Allons, Monsieur Hamer, il n’y avait probablement rien, il ne s’agit donc pas des lois de la nature comme vous le prétendez ! » le Dr. Hamer fut le seul à rester tout à fait calme, manifestement parce qu’il était, ou qu’il est, tout bêtement, sûr de lui. Au bout d’une heure il questionna à nouveau le patient à propos du chien. Avec le mot clef chien, le patient se souvint brusquement : « oui, il y a 23 ans, il s’est passé quelque chose, une chose très effroyable… ».
Nous fûmes brusquement tous comme électrisés quand le patient rapporta enfin le pire des conflits d’attaque contre le cœur qui puisse exister…
23 ans auparavant il s’est  produit le terrible événement qui suit :
A l’époque de la kermesse du village  pour laquelle tous avaient élevé beaucoup d’oies destinées à être sacrifiées pour la fête populaire, dans la nuit précédente, le patient entendit brusquement le chien aboyer. Vêtu de son seul caleçon, il se précipita dans le jardin, pour voir ce qui s’y passait. Il vit dans le noir la silhouette d’un homme qui cherchait manifestement à voler des oies.
Au dernier instant il reconnut son voisin devant lui. Au même moment un coup de hache s’abattit contre lui.
Il fut atteint à quelques centimètres du mamelon gauche par le coup de hache qui traversa les côtes et pénétra jusqu’à la garde dans la cavité thoracique.
Dans cet événement gravissime il s’agissait du classique et véritable « conflit d’attaque contre le coeur » avec mésothéliome¹ du péricarde.
Le médecin appelé supposa également que le cœur était atteint et pratiqua un massage cardiaque. Quand le médecin se rendit compte que le cœur continuait à battre, il ordonna le transfert à Tyrnau (Trnava), distant de 20 kilomètres, après avoir bandé la cage thoracique.

A l’époque cela s’est déroulé tout d’abord par un chemin long et difficile : c’est en  charrette à chevaux que qu’il fus transporté sur la route cahoteuse jusqu’à la gare de chemin de fer la plus proche, ensuite par le train jusqu’à Trnava.Le malade fut hospitalisé un certain temps.

Un deuxième constituant était le conflit moteur avec une paralysie motrice, un conflit typique de ne pas pouvoir fuir.
Après l’agression, le patient était tombé, comme foudroyé par un éclair.
Dans l’immédiat, son conflit biologique fut résolu dans tous ses constituants après son rétablissement et sa sortie de l’hôpital, du fait que le voisin avait été puni et  emprisonné.
Toutefois, quand le voisin fut relâché, le patient, par la force des choses, revivait constamment son conflit.Il faisait  de petites récidives de conflits ainsi que de brèves phases de solution lorsqu’ il ne voyait pas son voisin pendant quelques temps. 

  

http://www.germanique-france.com/images/Germanique/hachetravna/vicime%20hache.jpg
scanner du patient avec les foyers de Hamer

En raison de son âge, le patient a été obligé de quitter sa maison. Il est allé s’installer chez sa fille et son gendre, c’est à se moment là qu’il a fait une grande solution de conflits dans les trois domaines : 
Le mésothéliome du péricarde provoqua une tamponnade du péricarde² qui, depuis, semble à nouveau être en train de régresser. 
Les malaises dus au tamponnement du péricarde avaient été interprétés par la médecine d’école comme des troubles causés par des hémorragies cérébrales, appelés vertiges oscillants.
La solution de la paralysie partielle des deux jambes se renforça effectivement durant la phase de régénération, comme cela se produit habituellement dans les œdèmes de réparation  du centre moteur cortical.

A la fin de cette démonstration, le Prof. Jurga ne put que soupirer :
« Monsieur Hamer, cela m’a convaincu à 300%. Tout cela, vous ne pouviez ni le savoir, ni le deviner car, bizarrement, rien de tout ceci ne figure dans notre anamnèse. Je suis véritablement convaincu par le calme et l’assurance avec lesquels vous avez pu postuler ceci ! Alors, c’est que la Médecine Nouvelle doit être juste !

***

le patient de Trvana, âgé de 75 ans en 1978 qui, il y a 23 ans, avait reçu une hache plantée jusqu’à la garde dans la cavité thoracique, à proximité immédiate du péricarde.

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Remarque : ni les foyers de Hamer, ni leur équivalents ne furent jamais contestés, que ce soit au niveau psychique, cérébral ou organique.
De même que l’épanchement massif du péricarde avec une insuffisance cardiaque associée, qui est, à présent, déjà en voie de réduction, ne fut pas diagnostiqué non plus.Le malade a été extrêmement fatigué et pouvait à peine gravir des escaliers pendant un an seulement. 

¹Mésothéliome  = La « peau interne » de notre corps  comme, par ex. le péricarde dans la région du médiastin, fait partie des membranes dépendantes du cervelet. Nous distinguons ici le péricarde viscéral et pariétal. C’est pour cette raison que l’on appelle leurs cancers des mésothéliomes.
Cette   membrane sous la dépendance du cervelet est responsable de l’œdème que  l’on appelle dans la phase de réparation, épanchement si redouté du péricarde avec tamponnade du péricarde ! Une très bonne chose, en principe, mais tout de même redoutée en raison de complications au cours de la phase pcl, surtout s’il y a le Syndrome.Cependant, il est important de savoir que toutes les tumeurs régies par le cervelet dont le péricarde pour ce cas,  produisent des liquides en phase pcl, et ceci, aussi bien durant la réduction tuberculeuse qu’en l’absence de tuberculose c’est à dire sans réduction des tumeurs. 

²Tamponnade cardiaque est un épanchement péricardique compressif, une urgence médico-chirurgicale.