L’ensemble des différents

Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)

selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer

La leucémie

(cette explication ne tient pas compte et n'a rien à voir avec des leucémies dues aux irradiations)

La leucémie : maladie de la moelle, dans sa phase de guérison dont le relais se situe au niveau du mésoderme cérébral. Le mésoderme cérébral correspond au cortex (cerveau nouveau).

C'est un tissu qui se nécrose (mortification) dans la phase active du conflit.

  1. Conflit de dévalorisation généralisée infantile ou sénile ; il y aura une anémie, une perte de l'immunité, dira la médecine officielle.
  2. Conflit de dévalorisation spécifique, par exemple : conflit de dévalorisation sportive, c'est-à-dire proche de l'articulation du genou avec ostéolyses osseuses. Dans ce cas également, il y aura anémie. La médecine officielle constatera aussi une chute de l'immunité.

Anémie = appauvrissement du sang en globules.
Dans la médecine officielle, il y a souvent confusion entre anémie, leucémie et immunité. Pour la Médecine Nouvelle : anémie = appauvrissement du sang en globules dans la phase active d'un conflit de dévalorisation. Le patient est pâle, très fatigué, mange peu, dort peu, n'a pas de douleurs. Il y a résorption du tissu osseux (ostéolyse).

Leucémie = Dans la phase de solution du conflit, il y a une revalorisation de soi : la conflictolyse relance l'hématopoïèse (formation de nouveaux globules du sang blanc et du sang rouge, qui était arrêtée jusque là.

La chimiothérapie détruit également les cellules, comme la radiothérapie, mais en plus, elle bloque le phénomène de guérison au niveau du cerveau. Elle empêche l'oedématisation nécessaire au déroulement biologique pour restaurer la lésion cérébrale et l'organe. Le cerveau cherche toujours à remettre l'organisme dans l'état où il était avant la maladie ; pour cela, il se forme des œdèmes pour la restitution, l'évacuation, l'enkystement au niveau des organes, afin que tout fonctionne à nouveau naturellement. Avec la chimiothérapie, les personnes en vagotonie retombent à nouveau en sympathicotonie. Tant que la chimiothérapie est pratiquée, il ne peut y avoir de guérison.

En bref, les traitements chimiques et radioactifs empêchent le bon fonctionnement biologique naturel de guérison.


Témoignage

Leucémie chez un jeune enfant

Cher Helmut,

Nous nous sommes rencontrés durant l’été 2010 à Francfort/Main (séminaire 1). Je suis le patineur en roller, qui a publié: le professeur juif W. (qui n’est toujours pas accepté par ses compatriotes à ce jour).

N’étant pas personnellement concerné, j’avais laissé un peu de côté le thème de la médecine et plus précisément la science médicale Germanique, jusqu’à ce que  fin 2010, où j’ai été confronté à un événement familial. Je souhaite le partager et en témoigner :

Vers la fin de 2010, mon épouse a cessée de donner  le sein à notre fils âgé de 2 ans, car elle devait à cette période allaiter en même temps notre fille de 1 an qui  avait un grand besoin de lait maternel. La maman pensant être trop surmenée, a décidé de sevrer le petit garçon de 2 ans. Celui-ci alors n’a pas compris et  a ressenti un rejet de sa mère,  « ma maman ne m’aime plus… » Ma femme connaissait la Germanique, elle savait que les conflits pouvaient avoir des conséquences, mais elle n’en a pas pris garde, car allaiter 2 enfants en même temps lui semblait trop fatiguant.

Au début 2011, notre fils a dû résoudre son conflit, il a ressenti alors « ma maman m’aime de nouveau ! » Il a fait une poussée de fièvre à plus de 40° en quelques heures. Il est entré dans une profonde vagotonie, dormait quasiment 48 heures d’affilée. Puis les douleurs se sont manifestées. Notre question était : mais où se situent-elles ? L’enfant nous montrait ses mâchoires inférieure et supérieure, alors tout est devenu très clair. C’était exactement l’endroit en relation avec le sevrage de la tétée ! Il ouvrait sans arrêt sa bouche et montrait du doigt ses rangées de dents supérieures et inférieures. Ma femme  était infirmière et moi je travaille  dans le domaine des secours aux blessés depuis environ 20 ans. La vue des malades nous est familière. Il n’a pas été facile pour nous de laisser faire cette guérison sans consulter un médecin. Cependant nous savions que le médecin l’aurait immanquablement fait hospitaliser et prescrit une chimio après une prise de sang.

Les jours suivant il  était essentiellement en vagotonie : il dormait beaucoup, souffrait également et visiblement donnait vraiment une image de «grand malade ». Il ne pouvait pas se lever, lorsqu’il voulait marcher tout seul, il s’effondrait. S’ajoutèrent des saignements de la bouche et des joues (comme des points qu’on aurait pressé). Nous nous sommes accrochés à la certitude que c’était la phase de réparation. La fièvre a baissé 4 jours plus tard, mais les douleurs ont persistées pendant environ 4 semaines. Comme nous savions qu’il aurait été diagnostiqué comme leucémique par la médecine d’école, nous nous sommes imposé un silence absolu sur son état. Pendant tout ce temps j’étudiais de nouveau les livres de la Médecine Nouvelle et je/nous trouvais confortés dans notre conduite. Nous avons également fait part de notre choix à nos 3 enfants plus âgés (8, 10 et 11 ans) et ceux-ci ont participé au bon déroulement en constatant de visu le bien fondé du programme de la nature. Même aujourd’hui nous avons du mal à le croire ; un petit enfant qui présentait tous les symptômes de la ‘leucémie’ se guérit tout seul ! La maman s’est occupée spécialement de son protégé pour lui montrer qu’il n’était pas mis de côté, qu’elle ne privilégiait pas un autre. Environ 6 semaines après le premier accès de fièvre et les symptômes typiques de leucémie, nous avons devant nous un « minot » complètement régénéré qui rayonne de santé et de joie de vivre – nous en sommes si heureux et reconnaissant de cœur !

De tout cœur, merci au Dr Hamer et à toi, cher Helmut, pour ton travail ! J’ai envoyé aujourd’hui mon récit à l’université de Sandefjord, récit que notre caisse d’assurance maladie considère comme nul et non avenu sur une base légale.

Avec mes meilleures salutations.

Dieter M.

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Remarques de H. Pilhar:
Les réflexions de la médecine d’école dans son ‘combat contre le cancer’ prennent la direction proposée par le Dr Virchow : « La cause des maladies est à chercher dans les cellules ! »

Le Dr. Virchow est bien connu pour son aphorisme : « J’ai déjà disséqué tant et tant de cadavres et n’ai jamais trouvé une âme ! »  Ce faisant il a fortement contribué à ce que la médecine actuelle a de plus brutal, on ne reconnaît pas à l’individu une âme (psyché).Cette vision personnelle du Dr Virchow est contredite scientifiquement par le Dr Hamer depuis 30 ans.

Dans ce témoignage d’aujourd’hui, cet enfant de 2 ans a vécu un conflit psychique et biologique (dévalorisation de soi)  et l’a résolu. C’est au Dr Hamer qu’on doit de pouvoir comprendre le déroulement de ces SBS décrit dans ses livres qui  fonctionne de la même façon chez les humains comme chez les animaux. En ce qui concerne le conflit de dévalorisation de soi, voici le déroulement de son programme biologique bien-fondé :

Pendant la phase active du conflit l’os est ostéolysé et les analyses sanguines marquent une dépression (anémie), sans douleurs. 

Pendant la phase de réparation, l’os est recalcifié avec inflammation du périoste (douleurs) et la moelle osseuse régénère les cellules sanguines mais en surplus (leucémie). L’état de faiblesse est le symptôme typique de cette phase de réparation.
Pratiquement, personne ne devrait succomber à une telle phase de réparation. Et pourtant, on pousse ce pauvre patient avec sa réparation leucémique dans une panique affreuse (cancer du sang !) et c’est la catastrophe parfaite, car il s’en suit les conflits iatrogènes desquels il devient ensuite très difficile de sortir.

Dans la Science Médicale Germanique nous parlons aussi de la « chance de la leucémie » ! Par chance on est arrivé à résoudre le conflit de dévalorisation, car il faut le résoudre sinon on meurt d’anémie sanguine ou bien les os se brisent. Même un lumbago s’accompagne toujours d’une petite leucémie.

Si l’enfant avait été suivi par la médecine d’école, il aurait subit un prélèvement sanguin, qui aurait révélé des cellules sanguines modifiées et que l’on aurait diagnostiqué : ‘cancer du sang’. Ces leucocytes immatures auraient été qualifiés  de cellules malignes alors qu’elles viennent juste d’être élaborées par la moelle osseuse.

La logique de la médecine d’école est de dire : « bon, nous ne savons pas pourquoi ces cellules sont modifiées, mais nous allons les éradiquer avec des produits issus des gaz toxiques.
Peu de personnes survivent à cette thérapie quasi mortelle. Et ceux qui survivent, sont souvent gravement atteints pour le reste de leur vie (stérilité etc.).

L’affirmation que la mort est inéluctable si l’on n’intervenait pas  est une affirmation qui ne repose sur rien. Il n’existe en effet aucune étude qui montrerait ce qui se passerait si on ne pratiquait aucune « thérapie » sur des patients atteints de cancer. Pas une ! On dit simplement : « Ne rien faire est inacceptable d’un point de vue éthique ». 

La psyché (l’âme) de ce garçon de 2 ans intéresse peu ces Dr professeurs d’université. Visiblement ces « Dieux en Blanc » sont aussi habitués à voir un tel enfant quitter l’hôpital dans un cercueil après des mois de torture par anémie sanguine provoquée par la chimio. Ceci est aussi à prendre en considération, car ces messieurs les professeurs n’ont en rien l’intention d’y changer quelque chose.

Ces cancérologues connaissent le Dr Hamer, tous le connaissent (car en 2005 chacun a reçu un courrier) ! Le cancérologue regarde le cancéreux comme le boucher regarde l’animal malade – dépourvu d’âme ! Et par-dessus le marché se laisse glorifier dans notre société avec des titres ronflants d’ « expert », « de grande renommée », de « spécialiste du cancer »… Tout simplement écoeurant !

Je suis heureux d’avoir apporté ma contribution dans ce témoignage. Je félicite ces parents pour leur sagesse.

PS.Que ce serait-il passé dans le cas de ce petit garçon si cela avait eu lieu, voici 100 ans dans un petit village de paysans en Allemagne ? Qu’auraient fait les parents ? Qu’aurions nous fait dans un cas pareil dans le passé ? Rien ! La maman se serait occupée instinctivement un peu plus de son petit garçon et celui-ci aurait retrouvé la santé de même. Voyez à quel point il est important de ne pas paniquer ? Sans panique on y arrive dans presque tous les cas !La médecine d’école tente de nous dominer en insufflant une peur dogmatique (tout comme le prêtre) ! Le Dr Hamer essaye de nous enlever cette peur avec l’aide de la merveilleuse biologie de notre mère nature.

Aidez à faire légaliser la Science Médicale Germanique ! Serait-elle légale, votre enfant aussi aurait une chance !

Avec mes meilleures salutations.