L’ensemble des différents
Programme Biologique Spécial Bien-Fondé de la Nature (SBS)
selon la Germanische Heilkunde®, du Dr Ryke Geerd Hamer
L'utérus - Témoignages
Cancer du col de l'utérus de Madame Jocelyne K.
En 1995, suite à un test de routine, un frottis vaginal, lors de ma grossesse, mon gynécologue m'a averti d'une anomalie.
Un cancer est découvert au niveau du col de l'utérus. Une opération est expressément demandée (opération qui m'aurait fait perdre mon bébé).
Mon objectif était de m'assurer d'aller à terme, j'étais trop heureuse d'avoir ce bébé. Malgré les pressions des médecins (gynécologue, chirurgien) et en particulier l'appel téléphonique du gynécologue me disant que j'étais inconsciente, et que je laisserai des orphelins (2 enfants âgés de 8 et 5 ans) et un mari veuf, sans oublier que d'après lui, il ne me serait pas possible de faire naître l'enfant à terme ; pour lui, il serait forcément prématuré.
J'ai maintenu ma position en lui disant que c'était mon choix et ma vie, et par conséquent je refusait tout traitement et opération.
J'ai toujours pensé que la maladie, cancer ou autre, était en rapport avec un vécu, un choc psychologique. Ma soeur connaissait Andrée SIXT, elle l'avait rencontrée pour son cas personnel, et m'avait parlé des découvertes du Dr Hamer ; elle m'a encouragée à lui téléphoner pour être rassurée étant donné ce qui m'arrivait. Andrée n'a fait que confirmer ce que je pensais, mais elle m'a apporté les preuves scientifiques du bien-fondé des découvertes du Dr Hamer.
En effet, ne m'ayant jamais rencontrée, Andrée a su me dire, au téléphone, exactement le conflit qui a provoqué mon cancer. Ceci m'a littéralement choquée, car on ne se connaissait pas, et il était surprenant qu'elle puisse savoir de quoi il était question.
Je ne l'ai compris qu'après, car quand on connaît l'organe malade, la latéralité de la personne, et un peu de la vie quotidienne de la personne, on est en mesure d'indiquer la nature, la cause du choc conflictuel qui est à la base de la maladie.
Je n'ai donc suivi ni traitement, ni subi d'opération. J'ai continué à avoir des frottis tout au long de ma grossesse. J'ai accouché à terme d'un beau bébé de 3 Kg 230. Pour ma part, après l'accouchement, il m'a encore été proposé de faire l'opération. J'ai toujours refusé. Puis, sur la pression de mon médecin généraliste cette fois-là (ayant eu mon dossier médical), j'ai du faire un nouveau frottis et à cette époque mon bébé avait 2 ans.
Je l'ai accepté, car je devais le faire si je voulais obtenir un contraceptif oral.
Je ne vous dis pas la surprise du médecin, de cancer il n'y en avait plus. Il n'y avait plus rien de visible.
Le médecin m'a demandé ce que j'avais fait, quel traitement j'avais suivi. Moi, je voulais qu'elle me donne les résultats qui prouvaient que tout était guéri, il n'y a rien eu à faire, elle a refusé de me les donner. Alors j'ai dit: “Docteur, ne savez-vous pas que c'est au cerveau que cela se passe ? Mon bébé, n'est-il pas magnifique ?”
Merci Docteur Hamer, grâce à la Médecine Nouvelle, j'ai un 3ème enfant magnifique, heureux de vivre, et il fait la joie de toute la famille.
Jocelyne K
Cancer du col de l'utérus – AVRIL 1999
Isabelle : trente-huit ans – droitière
Avril 1999, j’ai consulté mon médecin gynécologue car j’avais de petits saignements. Il me fit un frottis puis trois jours plus tard m’annonça : « madame, j’ai une mauvaise nouvelle : le frottis est positif, il faut tout de suite intervenir car vous êtes jeune et ça va vite….
J’ai fait un choc terrible (DHS®) j’ai trente huis ans, je suis droitière et je viens de rencontrer mon compagnon avec qui nous avons décidé de vivre ensemble. Je suis restée bouche bée en entendant le diagnostic fatal du médecin, de plus m’incitant à faire vite, c’est une question de vie ou de mort. Sur le champ, le gynécologue prend les rendez-vous… pour examens…et éventuellement une hospitalisation.
Mais comme je me sentais en pleine forme, j’en ai parlé à maman, qui me donna l’information sur le Dr Hamer, car elle-même a guéri d’un cancer du sein il y a maintenant quinze ans, et n’a fait aucun traitement, ni opération. Elle me dit : « que je ne dois pas me précipiter mais plutôt voir, ce que dit la Médecine Nouvelle® du Dr Hamer» Mon compagnon est totalement d’accord, d’autant que je n’ai pas encore d’enfant et envisager une ablation de l’utérus était pour moi hors de question.
Mai 1999 nous rencontrons Mme A et je fus surprise, d’apprendre en l’espace d’une heure trente la nature et la cause de mon cancer. En fait j’étais en phase de régénération et d’élimination, puisque j’avais des saignements, et cela j’ai pu le vérifier également sur les écrits du Dr Hamer (le tableau scientifique).
Voici l’historique de ma maladie :
En 1994, je me marie, tout va pour le mieux. Puis un jour en 1996 je me suis rendu compte que mon mari se détachait de moi… il prenait de la distance dans nos rapports intimes… Je me suis inquiété et j’ai essayé de le questionner. Mon mari s’est mis dans une colère terrible en me demandant des explications. J’avais des soupçons car une voisine m’a dit qu’elle avait vu mon mari en compagnie d’Isabelle qu’il avait fréquenté avant de me connaître, et que celle-ci venait de divorcer. J’ai au premier abord pensé qu’il l’a soutenait moralement et cela je le comprenais bien et c’est ce que j’ai dit à ma voisine, mais rien de plus…
Le temps à passé et un jour j’ai vu moi-même mon épouse en compagnie de cette femme dans un café, et que leur rapprochement était très affectueux.
Alors, j’ai voulu mettre les choses à plat… et mon mari me dit : « désolé mais j’ai retrouvé Isabelle et je suis retombé amoureux d’elle », alors je lui ai dit qu’il devait choisir entre elle et moi… et en mars 1997 il m’a quitté définitivement pour la rejoindre.
Durant les années 1997 à début 1999, j’ai mal vécu la séparation, car mon mariage était pour moi un mariage d’amour. Nous n’avons pas encore d’enfant. Je l’ai ressenti comme une frustration et une séparation terribles à vivre et à l’époque j’avais souvent des douleurs dans le bas ventre, mais je n’y prêtais pas attention, obnubilé par cette séparation.
Voilà qu’au début 1999, je rencontre mon nouveau compagnon, cela comble ma solitude et nous nous aimons, et décidons de vivre ensemble.
C’est en avril 1999 que j’ai ressentis les premiers symptômes de régénération, avec des saignements. En même temps je me sentais bien, c’est pour cela que lorsque mon gynécologue m’a annoncé que c’était grave, je ne pouvais pas le croire, surtout croire en la gravité de la chose. J’avais pensé que les saignements étaient provoqués par un dérèglement naturel de mon cycle, je ne me suis jamais inquiété jusqu’à ce diagnostic quasi fatal, d’autant que la douleur que je ressentais dans le bas ventre avait disparue.
Grâce à mon nouveau compagnon et à l’explication précise selon la médecine nouvelle®, je n’ai plus eu de peur, car je sais que je solutionne totalement le conflit de séparation et de frustration. Je dois aussi dire l’importance de mon entourage, ma maman, mon compagnon et toute ma famille qui m’ont soutenu durant le temps de guérison.
J’ai saigné environ pendant quatre mois, puis tout est rentré dans l’ordre, je ne suis jamais retourné chez le gynécologue.
En 2000 à l’âge de quarante ans, j’ai reçu le plus beau cadeau de ma vie : je deviens maman d’un petit Guillaume. Merci également à Mme Andrée, non seulement grâce à son aide j’ai solutionné définitivement mon conflit mais je suis comblé car j’ai donné naissance à un petit garçon que mon compagnon et moi chérissons. Alors je peux seulement ajouter MERCI, Merci Dr Hamer, et je souhaite que toutes les femmes et les hommes de part le monde, puissent bénéficier de ces sciences de la vie.
« Mon conflit, je tiens à le décrire, car il peut éclairer d’autres femmes.
F. H.
Commentaire :
Il faut bien mettre en évidence, le cas de cette personne, qui consulte son gynécologue, en phase de régénération pour la médecine Nouvelle® parce qu’elle souffre de métrorragies et qui reçoit un diagnostic fatal de la part de son médecin de la médecine d’école. L’attitude du médecin est sans appel : la situation est très grave. Avec la Médecine Nouvelle®, le médecin lui aurait dit : « Madame vous êtes en phase de régénération du col de l’utérus, et aurait cherché avec elle la nature et la cause de ce symptôme, soit la solution d’un conflit de frustration sexuelle. Comme elle est dans une phase de solution, il faut ne plus récidiver et son col de l’utérus va se régénérer naturellement au bout de trois à six semaines. Le but étant que la femme puisse de nouveau s’accoupler et tomber enceinte.
Mais souvent, comme le cas de cette femme, les patientes vont consulter avec une maladie et en ressort avec deux ou plus… et la première le plus souvent : la condamnation « à mort »… vous devez faire vite, c’est grave…
Heureusement, sa maman et son compagnon ainsi que tout l’entourage ont été d’une valeur inestimable. Il est impossible de guérir avec la découverte du Dr Hamer, si l’entourage n’est pas en harmonie avec le patient… c’est une des causes des plus importantes pour la guérison.
Petite explication scientifique sur ce cancer si fréquent chez la femme :
L’ulcère du col de l’utérus et des veines coronaires sont souvent concomitants lors du conflit actif de frustration sexuelle (séparation), et/ou n’avoir pas pu ou de ne pas pouvoir accomplir l’acte sexuel.
Lorsque débute un conflit sexuel commence un SBS® synchrone.
A l’intérieur de l’orifice et du col de l’utérus (épithélium pavimenteux), dont la sensibilité suit le « schéma de la peau externe » et à l’intérieur de la tunique des veines coronaires, dont la sensibilité suit le « schéma de l’épithélium pavimenteux du gosier »
Phase ca : ulcération du col et de l’orifice de l’utérus et simultanément ulcération des veines coronaires.
Phase pcl : régénération du tissu ulcéré, avec œdématisation et saignements du col de l’utérus.
Les femmes sont pratiquement toujours opérées dans la phase de régénération du col de l’utérus et des veines coronaires, puisqu’elles consultent parce qu’elles saignent.
C’est pour cela que parfois les femmes ayant un cancer du col de l’utérus font dans la phase de régénération des ulcères des veines coronaires une embolie pulmonaire (plus ou moins importante). Celle–ci est accompagnée de tachycardie qui est la crise épileptoïde du centre du rythme cardiaque gauche (au cerveau) qui se normalise par la suite.
Dans la médecine d’école, les médecins se sont aperçus de cela, car lorsqu’ils opèrent le col de l’utérus, ils mettent les patients sous anticoagulants pour éviter l’embolie pulmonaire, mais ce qu’ils ignorent c’est qu’obligatoirement les veines coronaires qui se sont ulcérées se réparent en même temps que le col de l’utérus. Alors ces anticoagulants, au moment des œdèmes peuvent être la cause d’hémoragie, à cause de la fluidification du sang.
Pour aider les patients, il vaudrait mieux éviter d’interférer dans les systèmes logiques de la nature. C’est sans doute ce qui offre les plus grandes chances de survie. On devrait tranquilliser les patients et leur donner du café (qui remet en légère sympathicotonie et diminue l’œdème).
C’est au niveau de l’aire cérébrale gauche que nous pouvons voir l’œdème régresser.
Cancer de l'utérus
Chère Andrée,
Je voudrais vous remercier pour la clarté et l’exactitude avec laquelle vous expliquez la GNM. Je me suis rendue compte que la lecture de livres n'est que la première étape pour comprendre ces lois de la nature. Suivre un séminaire nous aide à comprendre, à assimiler, à écouter les signaux de notre corps et alors nous prenons conscience qu’ils ont tous un sens, qu’il n’y a rien de néfaste.
Je voudrais également vous remercier pour ce que vous avez expliqué à mon mari au sujet de mon problème. Cela a été un soulagement pour moi, car la médecine d’école m’a diagnostiqué un cancer de l’utérus avec une sentence de mort imminente. Grâce à votre explication, j’ai compris qu’il s’agissait du bon sens de mon vécu et que cette « tumeur déclarée mortelle par le médecin » était inoffensive. Elle ne grandirait plus car le conflit avec mon mari est solutionné depuis plus d’un an. Malheureusement, je n’ai appris l'existence de la GNM que fin septembre 2010, juste après le diagnostic fatal du médecin, qui m’avait déclenché une peur viscérale. Je dois dire que vous avez changé ma vie, lorsque je vous ai entendue. Le rideau qui me masquait la lumière de la vérité est tombé. En même temps, je suis attristée par le fait que la plupart des gens, simples connaissances ou amis, ne sont pas prêts à comprendre ce que j'ai découvert. Certains d'entre eux, malheureusement, sont traités et succombent aux toxiques traditionnels. Je tiens à vous remercier pour la phrase "N'ayez pas peur", qui a changé ma vie.
Merci, sincèrement et avec amitié, Rosy